Pour marquer le lien indéfectible liant la république française à la franc-maçonnerie, le président de la république Emmanuel Macron a été invité à plusieurs reprises dans les loges occultes.
Le 8 novembre 2023, il était invité au Temple maçonnique du Grand Orient de France, rue Cadet à Paris, pour le 250ème anniversaire de la création de cette loge prestigieuse.
Extraits de son discours devant les élites maçonniques du Temple : "Face à l'opposition cléricale et aux fractures de l'histoire du XIXème siècle, dans l'alternance des rois et des empereurs, la franc-maçonnerie finit par s'identifier au projet républicain, et la république s'éleva pierre à pierre. L'apport de la franc-maçonnerie est une vérité historique, il n'y a ici ni complot, ni dessein secret."
"Pendant des décennies, l'oeuvre maçonnique et le combat républicain se rejoignirent pour presque se confondre."
"La franc-maçonnerie donnera à la république ses assises et son mouvement. Seule organisation civique d'importance face à l'Église, elle engendra presque à elle seule le Parti Radical dont les membres tinrent debout les murs de cette maison neuve qu'était alors la république. Elle donna à la république toute sa puissance spéculative, qui procédait de l'activité intellectuelle des Frères, les Loges de la raison furent les forges de nos lois."
"Aussi longtemps que la franc-maçonnerie sera au travail, la république sera en éveil".
Rappelons que les réseaux maçonniques militent publiquement contre les patriotes (en particulier contre le Rassemblement National) pour installer un universalisme sans identité, sans religion, sans culture, un peuple français déraciné sans patrimoine et sans héritage ouvert à l'immigration de masse sans aucune limite pour imposer le multiculturalisme fraternel et le métissage : Liberté, Égalité, Fraternité, la devise maçonnique est déclamée sur tous les frontons de nos institutions.
Une utopie qui conduit au conflit civilisationnel et à la guerre civile.
Le 5 mai 2025, le président Emmanuel Macron donne un discours devant les dignitaires religieux de la franc-maçonnerie de la Grande Loge de France. Preuve de la puissance de cette organisation, on voit que un colonel de l'armée vient déposer les dossiers sur le pupitre du président.
Dans le Temple maçonnique de la rue de Puteaux à Paris, Emmanuel Macron explique que : "Les francs-maçons, dont la naissance est contemporaine de l'émergence de l'esprit des Lumières, en sont les enfants tout naturels."
"La franc-maçonnerie est l'atelier de la république en quelque sorte, c'est un fait historique."
"Toute cette histoire montre que la république en franc-maçonnerie est plus que chez elle, elle est dans son foyer et dans son cœur."
"La liberté a le visage de Pierre Simon, ce médecin qui fut aussi votre Grand Maître, que vous convoquiez à l'instant, et qui a tant fait pour faire avancer la liberté, la liberté des femmes, grâce à la contraception d'abord, le droit à l'avortement ensuite, en faveur duquel il s'engagea au côté de Simone Veil."
La plus grande victoire de la franc-maçonnerie et des droits de l'homme, donc de l'individualisme sur le bien commun, fut effectivement sans conteste l'adoption de la loi sur l'autorisation de l'Interruption Volontaire de Grossesse (IVG) en 1975 après un combat acharné mené par le ministre de la Santé Simone Veil.
Le président Emmanuel Macron est entré dans l'Histoire en faisant inscrire dans la constitution française, le droit à l'avortement : "Fondé sur le travail des parlementaires et des associations, le projet de loi constitutionnelle sera envoyé au Conseil d'État cette semaine et présenté en Conseil des ministres d’ici la fin de l'année. En 2024, la liberté des femmes de recourir à l'IVG sera irréversible." Emmanuel Macron sur X, le 29 octobre 2023
Le 4 mars, les élus inscrivent définitivement l'avortement dans les gènes de la république. La France de Macron devient ainsi officiellement un État criminel, célébrant le sacrifice satanique de la culture de mort, le droit de tuer des enfants dans le ventre de leur mère, dans une cérémonie commémorative proprement luciférienne.
Le monument des droits de l'homme et du citoyen inauguré sur le champs de Mars à Paris par Jacques Chirac pour le bicentenaire de la révolution française en 1989, est une revanche satanique du serpent sur Dieu.
C'est la reconstruction du Temple de Jérusalem qui avait été détruit par le Christ, pour que l'homme puisse vénérer le serpent de la géhenne.
On trouve tout en haut du monument des droits de l'homme et du citoyen sur le champs de Mars à Paris, le serpent de la géhenne Ouroboros, vénéré par toutes les statues entourant l'édifice.
L'homme prétend ainsi prendre la place de Dieu, devenant seul maître de sa destinée, comme l'avaient faits Adam et Ève. En réalité, il se soumet ainsi au serpent, car sa soif de pouvoir sans limites n'est jamais rassasiée, toujours en demande. Le monument du bicentenaire est une parfaite allégorie de la défiance contre Dieu, tous les personnages représentés autour du Temple se prosternant devant le serpent.
La déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1789 institue la domination de la république judéo-maçonnique sur la France.
L'affiche officielle montre le triangle maçonnique et son oeil, survolant les tables de la Loi, et juste au-dessus du bonnet phrygien, le serpent de la géhenne Orouboros, symbole de la révolte de l'homme contre Dieu.
Cette adoration du serpent, est un rejet pur et simple de l'Église catholique, en utilisant tous les moyens à disposition.
Outre l'immigration de masse, l'invasion par l'islam est un des chevaux de bataille de la république.
Macron s'emploie personnellement à noyauter l'Église catholique en finançant l'essor de l'islam en France.
Lors de son discours de lutte contre le séparatisme du 2 octobre 2020 aux Mureaux dans les Yvelines, le président Emmanuel Macron annonce une aide de 10 millions d'euros avec vos impôts pour financer l'apprentissage de l'islam, et la construction d'écoles coraniques.
Extrait du discours d'Emmanuel Macron à Abu Dhabi lors de l'inauguration du Louvre aux Émirats Arabes Unis le 9 novembre 2017 : "Ceux qui font croire que l'islam se construit en détruisant les autres monothéismes sont des menteurs"
Remplacer le christianisme par l'islam : la république du serpent, c'est le suicide de la France et de son héritage catholique.
Depuis plus de 30 ans, le réalisateur et comédien juif Mathieu Kassovitz se définit comme un fervent défenseur du multiculturalisme universel, du métissage ainsi que de l'apport de la richesse de la diversité en France. Il combat avec rage les courants politiques qui s'opposent à la mise en place de cet universalisme, en particulier le RN et les identitaires patriotes.
Son film culte "La Haine", qui a obtenu le César du meilleur film en 1996, encensé par la critique et par toute la gauche progressiste, racontait déjà les péripéties de trois jeunes de banlieue, un Noir, un Arabe et un Juif en révolte contre le racisme systémique de la société française.
Haine de la police, haine des Blancs, haine de la France. Les minorités juives, arabes, musulmanes et noires, réunies pour lutter ensemble contre l'oppression de tout ce qui constitue l'identité et la culture française, on retrouve là toute la rhétorique du talmudisme messianique.
Dans cette scène extraite du film "La Haine", un Blanc est considéré comme raciste par sa seule apparence physique, et se fait insulter par deux des héros du film. Dans le but d'inculquer dans les mentalités que le Blanc est par nature raciste et intolérant.
Se définissant lui-même comme militant juif et protecteur de l'identité du Peuple Élu, Mathieu Kassovitz a récemment défrayé la chronique en affirmant sur la chaîne France 5 le 19 mai 2025 que "il n'y a plus de Français de souche, ça n'existe plus" !
Le 25 mai, il enfonce le clou sur LCI : "Il y a des Français de souche, ça s'appelle des fins de race. Leurs enfants vont se mélanger avec les autres et c'est tant mieux pour nous tous (...) Vous voulez fermer les frontières et rester entre Blancs ? Ça ne marche pas !"
Un discours purement raciste, mais qui laisse cependant sans réaction les intervenants sur le plateau, ce qui montre la puissance du lobby juif interdisant toute réaction contestataire. Les journalistes se censurent eux-même de peur d'être mis au placard, voire même d'être condamnés.
Mathieu Kassovitz trouve là un moyen d'exprimer sa rancœur, son mépris et sa haine contre la France et les Français, sans que ces derniers n'aient le droit de réagir, car sinon, ils seraient immédiatement traités de racistes et de fachos nazis antisémites. Les Français sont donc condamnés à devoir disparaître en étant humiliés chez eux.
Imaginez un instant qu'un chroniqueur ait attaqué la communauté de Mathieu Kassovitz en déclarant que "il n'y a plus de juifs, ça n'existe plus, c'est une fin de race", il aurait été condamné à un procès, une amende et probablement à une peine de prison !
Par le passé dans un entretien pour le quotidien belge "La Libre", le réalisateur avait déjà exprimé son aversion pour la race blanche : "Dans 50 ans, il n'y aura plus de racistes, juste des poches de Blancs séparatistes. On va tous se mélanger; le métissage est inévitable. Et au bout d'un moment, cela ne fera même plus partie de la conscience commune de juger quelqu'un pour la couleur de sa peau, parce que tu sauras même plus de quelle couleur est sa peau."
En tant que juif talmudiste, Mathieu Kassovitz voue également une haine incommensurable à l'Église catholique, accusée de persécutions contre les Juifs.
En 1963, pendant la guerre froide, pour décrédibiliser le Pape Pie XII et l'Église catholique ouvertement anti-communiste, les soviétiques vont récupérer une fiction théatrale écrite par l'Allemand Rolf Hochhuth, "Le Vicaire", voulant montrer la prétendue inaction du Pape face à la barbarie nazie contre les Juifs, pour en faire un message de propagande politique. En 2002, la pièce controversée de Hochhuth sera adaptée en film par le réalisateur Costa-Gavras, avec Mathieu Kassovitz dans le rôle d'un prêtre, Ricardo Fontana, qui n'a jamais existé dans la réalité. Ce prêtre de fiction tente d'alerter le Pape qu'un génocide des Juifs est en cours, mais ce dernier reste froid, sourd et indifférent, expliquant qu'il "veut la paix à tout prix" avec Hitler, et ne fait donc rien. Il devient de fait un complice du nazisme. Aucun des protagonistes proches du Pape tels Robert Leiber, d'Arcy Osborne, Ludwig Kaas ou Josef Müller, qui ont joué un rôle fondamental dans la résistance catholique au sein du Vatican, ne sont mentionnés dans le film.
L'affiche du film de propagande anti-catholique "Amen." de Costa-Gavras sorti en 2002, avec en vedette Mathieu Kassovitz dans le rôle d'un prêtre fictif. La croix chrétienne et la croix gammée sont entremêlées, dans le but de montrer une soi-disant complicité entre les actions du Pape Pie XII et le Reich nazi.
Cette propagande idéologique sans fondements, est largement démentie par les faits historiques, et la reconnaissance internationale des actions du Pape Pie XII, en particulier par la communauté juive. Le 13 février 1945, Israële Zolli (1881-1956), Grand Rabbin de Rome, se convertit au catholicisme et prend pour nom de baptême Eugenio, en hommage à Pie XII. En 1963, Pinchas Lapide, qui fut consul d’Israël à Milan pendant le pontificat de Pie XII, déclare au journal Le Monde : "Je peux affirmer que le Pape, le Saint-Siège, les nonces et toute l’Eglise catholique ont sauvé de 150 000 à 400 000 juifs d’une mort certaine… L’église catholique sauva davantage de vies juives pendant la guerre que toutes les autres églises, institutions religieuses et organisations de sauvetage réunis". (Le Monde le 13 décembre 1963). "Pendant la décennie de terreur nazie, quand notre peuple a subi un martyre terrible, la voix du Pape s'est élevée pour condamner les persécuteurs...Nous pleurons un grand serviteur de la paix." Golda Meir, Premier Ministre israélien, octobre 1958.
À noter que Mathieu Kassovitz est un militant juif de gauche, favorable à la diaspora édictée par le talmudisme messianique (Kabbale juive). Kassovitz se rend actif par des pétitions auprès d'organisations internationales juives talmudistes comme l'UJFP ou encore le collectif Tsedek!, en guerre contre le racisme d'État français, l'islamophobie, menant un combat pour libérer la Palestine de l'occupant israélien, et luttant pour la défense des droits des personnes LGBTQ+.
La théorie de l'évolution est une conséquence naturelle du Péché Originel, matérialisée dans la Bible par le serpent incitant l'homme à la convoitise et à la puissance. C'est le refus de reconnaître son Créateur, c'est le pouvoir de l'homme sans limites, prétendant se gouverner et gouverner le Monde seul. C'est donc une tentative sournoise d'éradiquer Dieu de la vie humaine, de manière pseudo-scientifique, en prétendant que la création de la vie est purement naturaliste, donc sans intervention divine.
La théorie de l'évolution n'est pas récente, puisqu'elle était déjà en vogue chez les orientalistes monistes et les philosophes de la Grèce antique (voir première vidéo de Julien Perreault ci-dessus). Au XVIIIème siècle, les franc-maçons ont été parmi les premiers à prétendre que l’homme venait du singe (le grand-père de Darwin, le franc-maçon Erasmus Darwin ainsi que tant d’autres) sans preuves expérimentales, dans le but de décrédibiliser le christianisme et la Création divine pendant une époque pré-révolutionnaire, ce qui a permis d'asseoir les idéologies progressistes en écartant Dieu. L'humanisme de la Kabbale repris par les philosophes des Lumières va permettre la construction de théories idéologiques orientées afin de guider l'homme vers le progrès, sans aucune autorité éthique ou morale venant de Dieu : socialisme, marxisme, communisme, trotskisme, léninisme, national-socialisme, stalinisme, maoïsme, etc... censées améliorer en permanence l'humanité, mais malheureusement à l'origine de dizaines de millions de morts en camps de concentration pendant le XXème siècle. Ce "progrès" constant de la société en mouvement permanent, s'est projeté dans la théorie de l'évolution de Darwin pour le monde biologique. Pour les évolutionnistes, les espèces, les êtres vivants n'existent pas par eux-mêmes, seul est le devenir, une perpétuelle évolution de créatures informes vers le progrès, ayant pour origine un panthéisme moniste, où tout est engendré par la nature en mouvement éternel, par la sélection et la compétition : le plus fort physiquement plus adapté à son environnement remplace le plus faible. Une négation de la Grâce Divine, et de la finalité de l'homme, créature faite à l'image de Dieu.
"Ces malheureux sauvages ont la taille rabougrie, le visage hideux, couvert de peinture blanche, la peau sale et graisseuse, les cheveux mêlés, la voix discordante et les gestes violents. Quand on voit ces hommes, c'est à peine si l'on peut croire que ce soient des créatures humaines. On se demande souvent quelles jouissances peut procurer la vie à quelques-uns des animaux inférieurs; on pourrait se faire la même question, et avec beaucoup plus de raison, relativement à ces sauvages." Charles Darwin - "Voyage d'un naturaliste autour du monde"
L'ÉVOLUTION, THÉORIE EN CONFLIT AVEC LA SCIENCE ET LA RAISON
En se basant sur l'expérience et la raison, on constate que la théorie de l'évolution défie toute logique :
- On constate en effet que la Création ne va pas en se complexifiant, au contraire, puisque le désordre augmente dans l'univers. Il y a de moins en moins d'espèces sur Terre.
- la théorie de l'évolution prévoit implicitement qu'un nuage de gaz composé de molécules diverses qu'on laisserait naturellement évoluer pendant des millions d'années, engendrerait à terme des tomates, des cerisiers, des baleines, des diplodocus, des panthères, des perroquets, des ours et des hommes, ce qui est difficilement conciliable avec les lois de la thermodynamique actuelle, l'augmentation de l'entropie et donc du désordre dans l'univers croissant avec la flèche du temps.
- la négation du libre-arbitre de l'homme. Le libre-arbitre signifierait que l'homme a une conscience et une volonté propre qui échapperaient aux lois de la nature, donc surnaturelles. Ce que les évolutionnistes ne peuvent admettre, puisque l'homme n'est qu'un rouage du mécanisme de l'évolution naturelle. En conséquence, l'homme n'est plus responsable de ses actes. Il ne pourrait par exemple à terme être jugé pour des crimes ou malveillances. Or, on constate effectivement que de plus en plus de multirécidivistes condamnés des dizaines de fois pour agressions ou viols se retrouvent libres assez rapidement, ce qui constitue un délitement de nos sociétés.
- les fossiles polystrates, notamment des arbres, se retrouvent traversant des strates du sol censées créées sur des millions d'années, ce qui est techniquement inexplicable. L'éruption du volcan de Saint Helens en 1980 aux USA, a montré que des strates peuvent se former très rapidement (en l'espace de deux ans), et que les couches de strates n'ont pas forcément l'âge qu'on veut leur attribuer lorsque l'on y découvre des fossiles.
Analyse du docteur en biologie Brad Harrub, de multiples exemples de fossiles polystrates qui ne pourraient exister dans des couches de strates censées s'être formées sur des millions d'années, observables à travers le Monde.
Il n'y aurait donc pas de finalité dans la nature, le hasard et la nécessité seraient seules causes de l'existence des plantes, des animaux et des hommes, des maillons faisant partie d'un improbable mécanisme, voué à disparaître lors de leur prochaine mutation vers autre chose (qui aura lieu quand ? Les évolutionnistes ne donnent pas d'explications, ni de réponses).
Le biologiste moléculaire Douglas Axe explique pourquoi la théorie de l'évolution est incohérente avec la science
Pour comprendre l'absurdité de ce raisonnement, par analogie, on peut analyser la construction d'une charrette à partir d'un manuel d'instructions recopié de générations en générations pendant des siècles. Les ingénieurs fabriqueront des roues en bois de la charrette plus ou moins grandes, la couleur du plateau sera plus ou moins claire en fonction des pigments de couleur disponibles à l'époque de la construction, le bras sera plus ou moins grand en fonction des erreurs de copies de sa dimension, etc... Mais au bout de millions d'années, pour les créationnistes, le résultat sera toujours une charrette, plus ou moins opérationnelle, ce qui est le bon sens même. Les évolutionnistes prétendent que à force de recopie et grâce à l'intervention subreptice du hasard et de la sélection, on n'aura plus une charrette, mais une voiture, un train, un avion, voire même une navette spatiale !
Par les mécanismes de réplication de l'ADN et de son ARN et la copie et multiplication des cellules de l'organisme, serait-il possible qu'un couple type de limaces, après des millions d'années d'évolution, puisse par ses espèces intermédiaires, donner naissance à un ours ? Où sont les fossiles intermédiaires ?
De même, pensez-vous qu'une charrette, par la seule copie de son manuel d'instructions sur des millions d'années, puisse mener, grâce au hasard et aux erreurs de recopie du manuel, à la construction d'une Bentley par les ingénieurs ?
Pour saper toute contestation de cette doctrine, on manipule le vocabulaire et la sémantique, en jouant par exemple sur le sens des mots "espèce", "évolution", "singe", etc... Ce qu'avait décrit George Orwell dans son livre d'anticipation "1984" avec la novlangue.
L'homme ferait partie de la famille des "grands singes". Ce qui introduit dans les masses que l'homme est une variété de singe, et inhibe ainsi de manière inconsciente toute volonté de contestation de cette affirmation, pourtant un pur argument d'autorité.
En utilisant ce concept nominaliste pour brouiller les pistes, les évolutionnistes détachent les mots de leur véritable signification, les coupant ainsi de la réalité pour sombrer dans l'irrationnel. Un singe n'est pas un singe, et un homme n'est pas un homme, ils sont interpénétrés dans la chaîne du progrès perpétuel de l'évolution, ils n'existent pas en tant qu'êtres finaux, ils restent des formes en devenir dans la chaîne du temps.
Sauriez-vous, comme un enfant de quatre ans, différencier sur ces photos l'homme du singe ? Pas simple pour les évolutionnistes !
On se souvient de l'endoctrinement des masses, dans nos écoles, dans nos manuels de biologie, dans les documentaires, les films à la télévision, pour nous faire admettre que le squelette Lucy découvert en Afrique par le paléontologue Yves Coppens en 1974, était le chaînon manquant entre le singe et l"homme. Hourra, on avait enfin la réponse à l'évolution !
L'évolution de Darwin, ou la ridicule et fantasque histoire des fossiles humains préhistoriques
Les évolutionnistes, aveuglés par l'idéologie, oublient intentionnellement de préciser que ce que l'on observe, ce n'est pas l'évolution entre les espèces, mais des fossiles, que l'on interprète selon la libre fantaisie des découvreurs. Yves Coppens a simplement pour un temps eu un éclair de lucidité en remettant les pieds sur Terre.
Une dent plus carrée que celle découverte dans la strate sédimentaire inférieure ? Pardieu ! C'est un ancêtre de l'homme ! Les évolutionnistes prétendent que le squelette de Lucy est le maillon manquant entre l'homme et le singe, à l'aide de l'analyse de quelques os. La mâchoire ou les dents d'un chihuahua et de celles d'un dogue allemand sont très différentes, même s'ils appartiennent à l'espèce des chiens. Leur découverte dans des couches fossilisées différentes, permet-il pour autant de conclure que ces variétés sont séparées de millions d'années par l'évolution ?
Les théoriciens de l'évolution trouvent toujours des arguments philosophiques pour tenter de distordre la réalité de ce qu'ils découvrent pour la conformer à leur théorie.
Le scientifique évolutionniste qui doute de tout, est pourtant complètement aliéné par la vérité dogmatique et incontestable de la théorie de l'évolution, enchaîné dans un corps doctrinal qu'il ne peut et ne veut remettre en question, car c'est tout son monde qui sombrerait. Les idéologues évolutionnistes affirment donc de manière péremptoire la victoire du matérialisme et du naturalisme contre Dieu.
Leur conception est condamnée à être enfermée dans un monde étriqué purement mécaniste et illusoire, une nouvelle religion matérialiste : "Dans le schéma de pensée évolutionniste, il n'y a plus besoin, et il n'y a plus de place pour le surnaturel. La Terre n'a pas été créée, elle a évolué. De même pour les animaux ou les plantes qui la peuplent, y compris nous les humains, esprits et âmes, aussi bien cerveaux que corps, il en va de même pour la religion. Finalement, la vision évolutionniste nous permet de discerner, même incomplètement, les grandes lignes de la nouvelle religion qui, nous pouvons en être sûrs, apparaîtra pour servir les besoins de la nouvelle ère." Julian Huxley - discours de célébration du centenaire de la publication "de l'origine des espèces" de Charles Darwin en novembre 1959 à Chicago
Ce qui représente véritablement une pure folie, irrationnelle : "Le fou n'est pas l'homme qui a perdu la raison. Le fou est celui qui a tout perdu excepté la raison." G.K. Chesterton - "Orthodoxie"
"Un thomiste est un esprit libre, cette liberté ne consiste assurément pas à n'avoir ni Dieu ni maître, mais plutôt à n'avoir d'autre maître que Dieu, qui affranchit de tous les autres. Car Dieu est la seule protection des hommes contre les tyrannies de l'homme." Étienne Gilson - "Le philosophe et la théologie"
"Sous l'emprise de l'idéologie moderne, l'humanité n'a plus accès à la clé de son existence. l'incarnation de Dieu en Jésus Christ, et elle erre sans fin, perdue entre ciel et terre. Elle oscille entre un orgueil délirant et l'abjuration de toute grandeur. Elle se prend pour Dieu, et se trouve ravalée au rang de marchandise. Elle prétend dépasser la nature et finit par imiter les bêtes. Elle proclame sa liberté absolue et se précipite sous le joug de faux dieux tyranniques. Abandonnée à la contemplation de son propre vide, elle est prise de vertige et cherche bientôt le secours dans l'esclavage." Catholix reloaded - Frédéric Guillaud
LA THÉORIE DE L'ÉVOLUTION : UNE UTOPIE IRRÉALISABLE
L'utopie évolutionniste, c'est une vérité que l'on n'a pas le droit de contester, non prouvée dans les faits, elle est toujours remise à demain.
- on n'a jamais observé expérimentalement des mouches devenir autre chose que des mouches, malgré les milliers d'essais faits en laboratoire. Des caractères existants ou latents s'expriment ou pas et déterminent la variété de l'espèce, mais ne changent pas l'espèce.
- on n'a jamais observé l'apparition d'un nouvel organe dans une espèce
- on n'a jamais observé une complexification d'un organisme par mutation pour obtenir une nouvelle fonctionnalité
- on ne comprend pas l'interdépendance des organes très différents pour faire fonctionner un organisme de manière complètement harmonieuse. L'incroyable complexité du fonctionnement d'une simple cellule humaine, capable de produire des dizaines de milliers de protéines différentes pour faire fonctionner des milliers de machines biologiques moléculaires qui fonctionnent en cascade gérant notre système de reproduction et immunitaire (production d'anticorps,...), la coagulation du sang, la vision, ... Si une seule de ces fonctionnalités est touchée, plus rien ne fonctionne et entraîne des conséquences désastreuses pour l'organisme, la mort ou de très graves maladies (mucoviscidose, mucolipidose de type II, etc... ). Comment l'évolution peut-elle expliquer l'apparition de ce formidable mécanisme ultra stable dont une simple modification conduirait à sa perte ?
- on n'a jamais observé les milliards d'espèces intermédiaires pour que l'évolution du microbe à l'homme puisse avoir lieu, où sont-ils ?
- on n'a jamais observé l'apparition de système biologique complexes, puisque contraire même aux principes élémentaires de la physique (augmentation de l'entropie)
- on n'a jamais expliqué l'apparition brutale dans les couches fossilisés d'espèces très diversifiées (explosion cambrienne), totalement contraire à l'évolution lente
- on n'a jamais expliqué l'émergence de la vie à partir de la matière inerte, aucune réponse à ce mystère, mais tout cela est chaque fois remis à demain.
Théorie de l'évolution de Darwin : toutes les espèces proviennent d'une même origine, le même organisme, LUCA, qui aurait vécu il y a 3 ou 4 milliards d'années, ce qui revient à dire que votre arrière-arrière... grand-mère était une limace ou une espèce de batracien. Non conciliable avec ce qui est observé et expérimenté. Bien sûr tout cela est purement spéculatif.
Evolution chez les créationnistes : les espèces créées ont une marge de variétés cloisonnées dans leur structure et génome. Les espèces définies et cloisonnées peuvent varier pour s'adapter à l'environnement, au climat, à la prédation, etc...) par la manifestation ou l'inhibition de gènes dans le génotype. Cette description correspond à ce qui est actuellement observé expérimentalement en génétique et biologie de la vie (expériences sur les mouches, moustiques, lézards, pinsons, papillons, etc...).
LA THÉORIE DE L'ÉVOLUTION NE PEUT ÊTRE CONTESTÉE, SOCLE DE LA SOCIÉTÉ MATÉRIALISTE SANS DIEU
Face aux échecs de plus en plus criant de la théorie de l'évolution, les évolutionnistes se radicalisent et deviennent de plus en plus intolérant face à leurs confrères qui oseraient contester la théorie. Qualifiés "d'obscurantistes", voulant "retourner vers le Moyen-âge", ces derniers préfèrent jouer profil bas, pour éviter d'être ostracisés, voire tout simplement renvoyés.
La théorie de l'évolution est le pilier de la société matérialiste, et c'est pour cela qu'elle ne peut être contestée. Ce n'est pas de la science, puisque les faits ne confirment pas ce qui serait attendu expérimentalement, mais de l'idéologie. Si la théorie de l'évolution s'écroule, c'est tout le paradigme de la société matérialiste sans Dieu qui en serait bouleversé, ses lois libertariennes pourraient être remises en cause.
Cet extrait d'un article du journal progressiste "Le Monde" décrit très bien le dilemme : "Cette influence croissante des idées créationnistes ne serait pas si grave si elle n'avait pas de répercussions politiques, remarque Olivier Boisseau. Mais dès lors qu'on fait accepter, d'une façon prétendument scientifique, l'existence d'un concepteur à l'origine du monde, il devient facile d'appuyer des positions législatives très conservatrices, et de faire admettre certains comportements - l'homosexualité, la contraception, l'avortement - comme déviants." Sous ses aspects théoriques, le créationnisme constitue bel et bien un enjeu de société. Et plus encore lorsque celle-ci est en mal de repères. Car les tenants du "dessein intelligent" profitent avant tout d'une confusion des légitimités."
L'apport de la théorie de l'évolution à la science est nulle, mise à part des algorithmes informatiques pour des simulations virtuelles. De milliers de scientifiques étudient tous les jours la biologie moléculaire et la génétique très sérieusement et rigoureusement sans se préoccuper des origines, ni de la théorie pseudo-scientifique de l'évolution, qui est incapable de rendre compte du réel. D'ailleurs aucun pris Nobel n'a jamais été attribué à un évolutionniste.
Pour conclure, je laisse la parole à un physicien atomiste : "Il est pour moi, physicien, absurde de penser que l'univers se soit fait par hasard [...] Je ne conçois pas le monde sans un créateur donc un Dieu. Pour un physicien, un seul atome est si compliqué, si riche d'intelligence que l'univers matérialiste n'a pas de sens [...] Je ne peux croire, pour parler net, que le hasard et la nécessité soient les seuls responsables de l'évolution. Des cosmonautes qui découvriraient, sur la face cachée de la lune, une usine automatique d'aluminium en plein fonctionnement n'arriveraient pas à se persuader que cette usine s'est trouvée constituée par le seul jeu fortuit des réactions physico-chimiques entre les différents éléments présents sur la surface de notre satellite. Ils se croiraient plutôt victimes d'une hallucination. Or, la moindre bactérie est une usine physico-chimique bien plus complexe et d'une organisation bien plus ingénieuse qu'une usine automatique d'aluminium." Alfred Kastler - prix Nobel de Physique - "Cette étrange matière" (1976)
Jésus Christ est le bouc émissaire absolu, puisqu'il est venu ôter tous les péchés du Monde, son Sacrifice sur la Croix est le Don ultime pour l'humanité, qui abolit tous les sacrifices rituels humains.
Pierre Paul Rubens - Le Christ en Croix
Avant la venue du Christ, pléthore de philosophes et d'historiens romains et grecs rendent compte dans leurs récits des sacrifices rituels dans leur civilisation : Suétone, Manéthon, Sanchoniathon, Philon de Byblos, Hérodote, Platon, Pausanias, Josèphe, Philon le Juif, Diodore de Sicile, Denys d’Halicarnasse, Cicéron, César, Porphyre, Strabon, Macrobe, Plutarque, Quinte-Curce, Pline, Lactance, Arnobe, Minutius Félix, Dion Cassius, Tertullien ... :
"A l’approche de la guerre des Gaulois, sous la conduite de Viridomare, les Romains se virent forcés d’obéir à certains oracles, contenus dans les livres des sibylles, et se portèrent à enterrer tout vivants dans le marché aux bœufs deux Grecs, homme et femme, et deux Gaulois de même ; et à cause de ces oracles ils font encore aujourd’hui, dans le mois de novembre, des sacrifices secrets, que le peuple n’a pas la liberté de voir".
Malheureusement, avec le rejet du christianisme, en détruisant le patriarcat, c'est-à-dire la verticalité, la hiérarchie, l'autorité du Père qui a stabilisé et construit la France sur plusieurs siècles et la civilisation chrétienne européenne, pour le remplacer progressivement par un matriarcat indifférencié et faussement égalitaire, la société devient vecteur de conflits et de déflagrations qui atteignent leur apogée dans les temps actuels : le retour des sacrifices humains que Jésus Christ avait transcendé et aboli.
Le conflit naît du fait que nos sociétés deviennent de plus en plus indifférenciées, égalitaires du point de vue idéologique (Liberté, Égalité, Fraternité), mais que cette égalité ne se reflète pas dans la réalité, on est alors de plus en plus confronté à des crises de violence sacrificielle mimétique.
Pour juguler les conflits, les prétendants au pouvoir se rassemblent temporairement sous une même bannière pour fustiger, torturer, communier dans la joie, le meurtre d'une personne ou d'un groupe de personnes, les boucs émissaires, dans le mépris de la dignité humaine.
Revendiquant un prétendu égalitarisme matriarcal qui donne les mêmes droits aux hommes qu'aux femmes, ces dernières déclarent disposer de leur corps comme bon leur semble. Le 4 mars 2024, les élus inscrivent définitivement l'avortement de masse dans les gènes de la république. La France de Macron devient ainsi officiellement un État criminel, célébrant le sacrifice satanique de la culture de mort, dans une cérémonie commémorative proprement luciférienne. Le bistouri du chirurgien mettant en charpie l'enfant dans le ventre de sa mère, remplace la livraison des enfants au feu en sacrifice à Moloch dans l'Antiquité.
Victime de la violence mimétique, le gouverneur de la Bastille, le marquis de Launay le 14 juillet 1789, qui après s'être rendu, sera moqué, poignardé puis décapité par une foule joyeuse en délire, sa tête promenée sur une pique dans les rues de Paris.
La princesse de Lamballe, cousine du roi Louis XVI, sera livrée à la foule, qui l'humiliera publiquement en la dénudant avant de lui faire subir les pires obscénités, puis sera décapitée.
Mort de la princesse de Lamballe, 3 septembre 1792 par Maxime Faivre (1908)
Et tant d'autres subiront le sort funeste d'une foule déchaînée qui n'a plus aucune limite dans l'horreur et la haine.
Plus proche de nous, l'acteur français Jean Rochefort évoque son traumatisme subi à l'âge de 14 ans, témoin de la foule hors de contrôle lynchant dans les rues toute personne ayant collaboré avec les Allemands pendant la Seconde Guerre Mondiale après la Libération de Vichy en 1945.
Tout comme les militants enivrés de la révolution française ou de la Libération, la mort de Jean-Marie Le Pen, leader politique d'extrême-droite, fut célébrée dans la joie, avec champagne et feux d'artifices, le soir du 7 janvier 2025 sur la place de la République : "Il est mort !", "Marine Le Pen, t’es la prochaine !", "Bardella on t'aura !", pouvait-on entendre scander, coupes de champagne aux lèvres et sourires radieux.
On remarque bien évidemment l'absence de drapeaux français, mais surtout la présence d'étendards LGBT et pro-palestiniens, la confrontation de ces deux groupes dans le monde réel (libertarianisme contre charia islamique), trouve momentanément une communion mimétique égalitaire (haine de la France et de ses institutions, haine de la police) dans la mort du bouc émissaire expiatoire, Jean-Marie Le Pen.
Comme dans les tribus primitives d'Amazonie, d'Afrique, d'Amérique du Nord ou d'Asie, un Totem est nécessaire pour expier et piétiner le cadavre, et c'est en général Marianne, la statue de la liberté place de la République à Paris, symbole féministe par excellence du matriarcat et du rejet du patriarcat, qui fait office de déversoir en rassemblant les foules.
"Marine, Marion, Lapidation !", pouvait-on lire gravé en lettres rouge sang aux pieds de Marianne le soir du 7 janvier 2025, entre autres joyeusetés du même acabit.
Si Marine Le Pen et Marion Maréchal Le Pen se seraient retrouvées place de la République ce soir là, la foule aurait-elle hésité à leur jeter la première pierre ?
L'Assemblée Nationale est aujourd'hui une parfaite manifestation de cette crise mimétique : Le NFP (composé de cinq partis qui ne partagent rien en commun), le RN, les LR et la macronie. Ces organisations politiques voulant chacune imposer leur programme, mais étant à peu près en égale représentation, tout est bloqué, et cela conduit aux dénonciations, aux invectives, voire presque au pugilat.
La démocratie sera le stade ultime de l'anarchie menant à la violence mimétique du tous contre tous, où chacun prétendra avoir le droit, parce qu'il est l'égal de l'autre, d'imposer sa propre vision du monde et de la politique.
Tout débouchera fatalement sur la violence sacrificielle, reste à déterminer qui seront les boucs émissaires.
Le tribun en action contre le militant communiste André Lajoinie en 1987