Hydroxychloroquine : comment Big Pharma a laissé mourir des centaines de milliers de personnes sans soins pour faire des bénéfices

Anthony Fauci est depuis 50 ans commissaire à la santé des États-Unis. Il a été conseiller en chef pour la santé publique de huit présidents américains successifs, de Ronald Reagan à Joe Biden.
À partir de 1968, il occupe différentes fonctions au sein du National Institute of Allergy and Infectious Diseases (NIAID), dont il est le directeur depuis novembre 1984. Son salaire annuel de 417 608 dollars fait de lui le mieux payé des fonctionnaires généraux des États-Unis. Anthony Fauci distribue chaque année 6,1 milliards de dollars d'argent public à la recherche scientifique, ce qui lui permet de contrôler et dicter les programmes d'études dans le monde entier. Anthony Fauci contrôle à tous les niveaux la politique de santé américaine, dépendante des intérêts financiers considérables des lobby pharmaceutiques (Big Pharma) qui entrent en collision avec une véritable politique de santé de protection des citoyens américains.

Par exemple, l'argent public de la recherche médicale investi dans les sociétés Big Pharma, permet à ces dernières en retour de rétribuer via un système de redevances légal, les bénéfices des ventes des médicaments et vaccins aux fonctionnaires du NIAID, qui peuvent empocher jusqu'à 150 000 dollars par an chacun, aux frais du contribuable américain donc.

Le Dr Francis Collins (au centre), directeur des Instituts Nationaux de la Santé (NIH) et le Dr Anthony Fauci (à droite), rencontrent un des géants du financement des lobby pharmaceutiques, Bill Gates (à gauche) pour discuter des opportunités de recherche en santé mondiale en juin 2017 au NIH.

Pour traiter les malades de la covid-19 suite à l'apparition de l'épidéme début 2020, des médecins ont suggéré des traitement par l'hydroxychloroquine (HCQ), médicament utilisé depuis 65 ans par des millions de personnes partout dans le monde de manière massive, surtout en Afrique pour lutter contre le paludisme, et également contre les coronavirus depuis 2005, elle n'a pas d'effets secondaires particuliers si la substance est utilisée selon les prescriptions recommandées.

Dès le printemps 2020, de multiples études à travers la planète ont montré la grande efficacité de la HCQ contre le COVID-19 si elle est prise assez tôt, donc avant l'apparition de symptômes graves, et à doses raisonnables, par exemple en Chine, France, Arabie Saoudie, Iran, Italie, Inde, à New-York, dans le nord de l'état de New-York, dans le Michigan et au Brésil.
Mais la HCQ représente un grave danger pour Anthony Fauci et Big Pharma pour trois raisons simples :

  • elle est facile à produire
  • elle est peu chère (10 dollars par dose, à comparer par exemple à la Remdesivir, médicament breveté par le géant pharmaceutique Gilead à 3 000 dollars la dose, profits commerciaux engrangés pour Anthony Fauci)
  • elle est non brevetée

La manne financière considérable liée à la production de futurs médicaments brevetés ou de vaccins par Big Pharma, incluant ceux de la "Bill and Melinda Gates Fondation", et sa plateforme GAVI promouvant la vaccination généralisée à travers la planète depuis l'an 2000, pourrait être alors entravée par cette substance efficace.

Il faut savoir que l'homologation de vaccin expérimentaux n'est attribuée que si aucun autre traitement alternatif efficace n'existe sur le marché.
Il est donc vital et urgent de dénigrer et même de faire interdire par tous les moyens possibles, tout ce qui pourrait concurrencer la commercialisation de médicaments brevetés par Big Pharma et les vaccins en préparation.

En mars 2020, la Food and Drug Administration (FDA) a fait saisir et mis sous clef dans la "Strategic National Stockpile" 63 millions de doses de HCQ pour éviter qu'elles ne soient distribuées et utilisées contre le traitement de la COVID-19, privant ainsi la possibilité de soigner des personnes.

 

ANTHONY FAUCI ET LES LOBBY PHARMACEUTIQUES LAISSENT MOURIR LES MALADES DU COVID-19 PAR CENTAINES DE MILLIERS CHEZ EUX SANS TRAITEMENTS

Aussi incroyable que cela puisse paraître, Anthony Fauci, le Pape de la santé aux États-Unis, n'a donc défini en 2020 aucun protocole de traitement préventif ou même d'atténuation des effets de la maladie covid-19, pour adopter au final une politique de stratégie suicidaire : renvoyer les gens malades du covid-19 chez eux sans traitement, même pas de la vitamine D, et attendre que ces personnes âgées soient dans des états critiques avant leur admission à l'hôpital, où il devient alors trop tard pour agir. Anthony Fauci comptant uniquement sur les futures médicament brevetés (comme le Remdesivir) par les lobby pharmaceutiques et les futurs vaccins à ARN Messager, dont il reçoit de fortes comissions.

Entretien avec le dr. Peter McCullough dans laquelle il démasque les lobby pharmaceutiques interdisant toute prescription de traitements contre la covid-19 en dehors des vaccins.

Des médecins et scientifiques éminents, y compris parmi les plus publiés et les plus chevronnés du pays, ainsi que des spécialistes de première ligne de la covid-19, tels que Peter McCullough, Pierre Kory, Ryan Cole, David Brownstein et Harvey Risch, pensent que 80% des dèces attribués à la covid-19 sont imputables à l'exclusion par le Dr Fauci des traitements précoces et des remèdes non brevetés.
Le Dr Pierre Kory le dit clairement : "La suppression des traitements précoces par le Dr Fauci entrera dans l'histoire comme ayant causé la mort d'un demi-million d'Américains dans les unités de soins intensifs."

 

Le désastre humanitaire du printemps 2020 aux États-Unis, la politique de santé menée par Anthony Fauci conduit à la mort de milliers d'Américains restés sans soins et admis à l'hôpital trop tard dans des états critiques, ils sont enterrés rapidement dans des fosses communes.  Aucun pays au Monde ne revendique un taux de mortalité du covid-19 aussi élevé que les États-Unis.

Le Canada, la France ont suivi la politique catastrophique de santé américaine, la HCQ utilisée en vente libre depuis des décennies, est "classée sur la liste II des substances vénéneuses sous toutes ses formes" le 13 janvier 2020 en France, soit deux mois avant la déclaration de la pandémie covid-19 par l'OMS. On ne peut que constater l'incroyable influence des lobby pharmaceutiques à l'échelle internationale.
 

Le 31 mars 2020, la France déconseille l'accès à l'hôpital pour les personnes âgées malades du covid-19, une commission d'enquête révèle le 7 juillet 2020 devant le Sénat que, tout comme aux États-Unis, des milliers de personnes sont mortes en soins critiques sans traitement !


LES LOBBY PHARAMACEUTIQUES DIRIGENT DES EXPÉRIMENTATIONS MORTELLES DANS LE BUT DE DÉNIGRER LA HCQ

Pire, pour prouver que la HCQ est un produit nocif, le Dr Fauci, Bill Gates et l'OMS ont financé des groupes de chercheurs mercenaires pour réaliser une série de près de 20 études, toutes recourant à des protocoles frauduleux délibérement conçus pour présenter l'HCQ comme substance dangereuse.
Les tests "Recovery", "remap-COVID" et "Solidarity" sont commandités par les gouvernements américain et britannique et financés entre autres par le "Bill et Melinda Gates Fundation".
Dans les 17 études de l'OMS, au lieu d'utiliser des doses de traitement standard de 400 mg/jour, on avait administré une dose quotidienne à la limite de la létalité en commençant à 2400 mg le premier jour, et 800 mg/jour par la suite, ce qui a provoqué sciemment la mort de patients qui auraient pu être traités correctement par la HCQ. Une action tout simplement criminelle, qui n'a à ce jour donné lieu à aucune condamnation.
L'essai désastreux "remap-COVID"  a été conduit sur 200 sites dans 14 pays en Australie, Belgique, Canada, Croatie, Allemagne, Hongrie, Irelande, Pays-Bays, Nouvelle Zélande, Portugal, Roumanie, Espagne, Royaume-Uni et États-Unis.
L'essai "Recovery", administration de la HCQ a des doses toxiques, a valu pourtant à son commanditaire Peter Horby, d'être adoubé Lord par la reine Élizabeth II

 

LE JOURNAL "THE LANCET" LANCE UNE PUBLICATION FRAUDULEUSE CONTRE LA HCQ

Dans le cadre de campagne contre la HCQ, le prestigieux journal scientifique "The Lancet" a publié une étude censée démontrer l'inefficacité de la substance HCQ contre la covid-19.
Sauf que des spécialistes se sont penchés sur la question, et ont démonté la fraude et les conflits d'intérêts, impliquant en particulier le Dr. Sapan Desai, co-auteur de l'étude, qui a refusé de révélé le nom des hôpitaux ayant participé à l'étude, ainsi que le Dr. Mandeep Mehra, directeur de l'hôpital américain de Brigham financé par le géant pharmaceutique américain Gilead, qui mène également des essais sur la substance brevetée Remdesivir, concurrent commercial direct de la HCQ.


Face à l'évidente manipulation constatée, "The Lancet" a annoncé, jeudi 4 juin 2020, le retrait de l’étude publiée le 22 mai 2020 dans ses colonnes, qui suggérait que la HCQ, associée ou non à un antibiotique comme l’azithromycine, augmentait la mortalité et les arythmies cardiaques chez les patients hospitalisés pour Covid-19.
Cette étude avait été suivie en France d’une abrogation de la dérogation qui permettait l’utilisation de cette molécule contre le nouveau coronavirus SARS-CoV-2 et de la suspension d’essais cliniques destinés à tester son efficacité.
Le "New England Journal of Medicine" (NEJM) a fait de même pour un article publié le 1er mai dans ses colonnes, qui déclarait que la prise de traitements antihypertenseurs n’avait pas d’influence sur la gravité du Covid-19. Dans les deux cas, l’auteur principal de l’étude était Mandeep Mehra (de la Harvard Medical School) et les données provenaient de Surgisphere, une nébuleuse société de statistiques américaine, ayant apparemment des intérêts à dénigrer la HCQ.
À ce jour, on ne sait toujours pas précisément quels sont les tenants et les aboutissants ayant autoriser la publication de ces articles délirants dans des revues renommées internationalement.

Le 29 juillet 2020 sur la chaîne américaine MSNBC, Anthony Fauci dénonce le danger du traitement des malades de la covid-19 par la HCQ, alors qu'il sait déjà pertinemment que les études qu'il met en avant comme preuves sont frauduleuses.
 

Le Dr. Peter McCullough devant le Sénat américain le 19 novembre 2020 pour dénoncer l'escroquerie et la fraude menée par l'académie de médecine, qui ont impliqué "The Lancet" et "Le New England Journal of Medicine"

 


PROPAGANDE DES MASS-MÉDIA CONTRE LA HCQ

Les lobby pharmaceutiques ont pour partenaires et sponsors les géants du Net et des réseaux sociaux pour développer une propagande massive et dirigée contre la HCQ.
Google a conclu des partenariats lucratifs avec tous les grands fabricants de vaccins, dont un de 715 millions de dollars avec GlaxoSmithKline. Youtube, Facebook, Twitter, Instagram interdisent de même toute analyse favorable à la HCQ.
Exemple parmi des milliers d'autres, en août 2021, Peter Hotez, le médecin de la chaîne CNN, collaborateur du Dr Fauci, a publié un article dans une revue scientifique appelant à une législation pour "étendre les protections fédérales contre les crimes de haine" afin de lutter contre les péjugés de "l'extrême-droite", et transformer toute critique du Dr Fauci en délit.
Mais Peter Hotez oublie de préciser qu'il a reçu des millions de dollars de subventions du NIAID depuis 1993, et plus de 12 millions de dollars de Bill Gates pour son institut de médecine tropicale de l'université Baylor. On voit que les conflits d'intérêts sont majeurs dans ce type d'affaire.

 

LE DOCTEUR DIDIER RAOULT DANS LA TOURMENTE

En France, victime de harcèlement par la propagande médiatique des lobby pharmaceutiques à l'échelle internationale, le docteur Didier Raoult qui a très tôt étudié, expérimenté et vanté les mérites de la HCQ sur ses patients, est sanctionné le 3 novembre 2021.
Il est reproché au Pr Didier Raoult, en particulier dans un article de Médiapart, plusieurs infractions au code de déontologie médicale dans sa promotion de la HCQ comme traitement contre le Covid-19 et "d'expérimentations sauvages" non conformes menées sur des patients contre la tuberculose.
L'Agence Nationale de Sécurité du Médicament et des produits de santé (ANSM) a par la suite montré qu'aucune "expérience sauvage" n'avait été conduite sur la tuberculose par le professeur Didier Raoult à l'IHU de Marseille, démontant la supercherie de Médiapart.


Le 4 novembre, c'est Olivier Véran, ministre de la Santé Olivier Véran et Frédérique Vidale, ministre de l'Enseignement supérieur et de la recherche, qui ont demandé à l'Inspection générale des affaires sociales et l'Inspection générale de l'éducation, du sport et de la recherche de mener "une mission de contrôle" à l'IHU.
"Ce sont les médecins qui se plaignent de nous, pas les patients", avait lancé Didier Raoult lors de l'audience, assurant avoir reçu "plus de 600 000 patients" au sein de l'IHU durant la crise sanitaire, "sans aucune plainte" de leur part.
Fin novembre 2021, l'IHU a enclenché le processus de sélection d'un nouveau directeur pour succéder à Didier Raoult, sans préciser quelle serait la date de sa prise de fonction.
Le 20 avril 2022, Didier Raoult porte plainte pour diffamation contre Mediapart et l'Assistance publique des Hôpitaux de Marseille.

 

LES MÉDECINS AMÉRICAINS PRÉSCRIVENT LA HCQ COMME TRAITEMENT EFFICACE CONTRE LA COVID-19

Des médecins ont bien évidemment dénoncé la politique sanitaire désastreuse de Anthony Fauci.
Le 1er juillet 2020, le Dr. Peter McCullough et son équipe ont élaboré le premier protocole basé sur des signes d'amélioration et de sécurité acceptables incluant la HCQ. Ils ont soumis le protocole à l"American Journal of Medicine". Cette étude, intitulée "The Pathophysiologic Basis and Clinical Rationale for Early Ambulatory Treatment od COVID-19" est devenue le document le plus téléchargé au monde pour aider les medécins du covid-19. L"Association of American Physicians and Surgeons" (AAPS) en a par exemple fait depuis son guide de traitement officiel du covid-19.

"This virus has a cure" (ce virus a un remède) vidéo d'une conférence de presse de America Frontlines's Doctors (AFD) censurée sur les plateformes Youtube et Facebook, démontrant les possibilités de traitements alternatifs contre la covid-19, le 27 juillet 2020.

Cet article est écrit à partir d'un chapitre de la monumentale compilation de plus de 600 pages présentée par Robert F. Jr. Kennedy dans son livre "Anthony Fauci, Bill Gates et Big Pharma, leur guerre mondiale contre la démocratie et la santé publique". dénonçant un scandale sanitaire à l'échelle internationale sans précédent, dont je recommande vivement la lecture.

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