La militante afro-féministe Douce Dibondo diffuse sa haine de la race blanche sur Konbini

Dans son essai "La charge raciale : vertige d'un silence écrasant" aux éditions Fayard, l'essayiste Douce Dibondo fait de la propagande de haine de la race blanche, en luttant contre une supposée "charge raciale" qui serait dirigée contre les Noirs en particulier.

Cette théorie purement wokiste suppose que les Noirs et les personnes non-Européennes d'origine, vivraient en France dans un milieu hostile raciste.

La militante afro-féministe utilise également le média en ligne français Konbini, pour développer sa haine de la race blanche auprès de la jeunesse d'origine immigrée.

Pourtant, dans des villes comme Saint-Denis, La Courneuve, Pierrefitte, Aubervilliers, etc... tous les boulangers, les épiciers, les bouchers, les restaurateurs, les vendeurs de fruits et légumes dans les marchés, ... sont africains ou d'origine extra-européenne, c'est un fait, c'est une réalité.
Ils ne sont ni maltraités, ni enfermés dans des cages, et ne vivent pas dans l'oppression.
Ils ont des voitures, des maisons, des appartements, des ordinateurs, des smartphones, des familles, des enfants.

Cette propagande raciste, qui serait immédiatement condamnée à de la prison ferme si elle venait des milieux d'extrême-droite à l'encontre des Africains, est totalement libre, déshinibée, et assumée lorsqu'elle vient des milieux wokistes qui dénigrent et rejettent la race blanche.

Deux poids, deux mesures ?

Pourquoi l'État n'interdit-il pas cette propagande haineuse ?

J'invite donc, si elle n'aime pas la race blanche, Douce Dibondo à retourner dans son pays pour vérifier si c'est mieux !