IVG : La république de Macron devient officiellement un État criminel

La plus grande victoire des droits de l'homme, donc de l'individualisme sur le bien commun, fut sans conteste l'adoption de la loi sur l'autorisation de l'Interruption Volontaire de Grossesse (IVG) en 1975 après un combat acharné mené par le ministre de la Santé Simone Veil.


"L'avortement doit rester l'exception, l'ultime recours pour des situations sans issue.. mais comment le tolérer sans que la société paraisse l'encourager ?... Aucune femme ne recourt de gaieté de cœur à l'avortement. C'est toujours un drame, cela restera toujours un drame."
Simone Veil ouvre la boîte de Pandore le 26 novembre 1974 devant l'Assemblée Nationale. Une fois la loi adoptée le 17 janvier 1975, elle ne sera plus exception mais banalisée, au mépris de la vie humaine, par égoïsme et confort.

S'attribuer le droit de vie ou de mort sur un individu sans défense au nom d'intérêts égoïstes, est la quintessence même du pouvoir absolu convoité par les loges maçonniques, luttant depuis trois siècles pour détrôner Dieu et les lois naturelles, afin que l'homme prenne sa place.


Extrait de la fresque "L'apothéose de Washington" du dôme du Capitole, temple maçonnique à Washington, siège du Congrès (l'équivalent, très grossièrement, de notre Assemblée Nationale), représentant la puissance du pouvoir de l'homme, mis en valeur ici par le président George Washington prenant la place de Dieu.


Le président Emmanuel Macron veut rentrer dans l'Histoire en faisant inscrire dans la constitution française, le droit à l'avortement :
"Fondé sur le travail des parlementaires et des associations, le projet de loi constitutionnelle sera envoyé au Conseil d'État cette semaine et présenté en Conseil des ministres d’ici la fin de l'année. En 2024, la liberté des femmes de recourir à l'IVG sera irréversible."

Et effectivement, mercredi 28 février 2024, le Sénat a adopté, à 267 voix pour et 50 contre, le projet de loi visant à inscrire le droit à l'interruption volontaire de grossesse dans la Constitution.


Le 4 mars, les élus inscrivent définitivement l'avortement dans les gènes de la république. La France de Macron devient ainsi officiellement un État criminel, célébrant le sacrifice satanique de la culture de mort, le droit de tuer des enfants dans le ventre de leur mère, dans une cérémonie commémorative proprement luciférienne.


Si la loi civile autorise le meurtre d’une vie innocente, chaque individu peut en son âme et conscience refuser de commettre ce crime odieux. En effet, porter atteinte à la vie d’autrui n’est pas un droit, le fœtus humain n'a pas le même ADN que sa mère, il est donc un corps étranger, un être unique fragile, une identité à part entière, une vie en puissance appartenant à la communauté humaine.
 



Y mettre fin volontairement est un crime, commis de manière la plus horrible, révélé dans le célèbre documentaire du docteur en gynécologie Bernard Nathanson "le cri du silence" (âmes sensibles s'abstenir), où une échographie filmée en temps réel pendant un avortement, montre en détail la destruction du fœtus qui résiste et essaie d'échapper à la mort.


Un gynécologue montre ici les différents instruments utilisés pour réaliser l'acte d'avortement : pinces à découper les membres, tenaille pour écraser la tête, curetage pour évacuer les entrailles et les débris d'os. L'horreur à son comble. 

Visitation de la Vierge Marie, par Bradi Barth

Dans la Bible, la vie humaine est Sacrée, et il est du devoir de protéger les plus faibles, en particulier l'enfant lorsqu'il est encore dans le ventre de sa mère.

"Dès qu’Élisabeth entendit la salutation de Marie, son enfant tressaillit dans son sein, et elle fut remplie du Saint-Esprit."
Luc 1:42

"C’est toi qui as formé mes reins, qui m’as tissé dans le ventre de ma mère. […] Je n’étais encore qu’une masse informe, mais tes yeux me voyaient, et sur ton livre étaient inscrits tous les jours qui m’étaient destinés avant qu’un seul d’entre eux n’existe."
Psaume 139:13-16

"L’héritage que l’Éternel donne, ce sont des fils; les enfants sont une récompense."
Psaume 137:3

En France, plus de 230 000 avortements sont pratiqués chaque année, un véritable génocide à l'échelle industrielle.
Comble du cynisme, ce programme d'extermination de masse est financé entièrement par vos impôts, à hauteur de 115 millions d'euros par an.


« C’est une pauvreté de décider qu'un enfant doit mourir pour que vous puissiez vivre comme vous le souhaitez ».
Mère Teresa

« L'avortement tue deux fois. Il tue le corps du bébé et il tue la conscience de la mère. L’avortement est profondément anti-femmes. Les trois quarts de ses victimes sont des femmes : la moitié des bébés et toutes les mères »
Mère Teresa

"Le plus grand destructeur d'amour et de paix est l'avortement qui est la guerre contre l'enfant. La mère n'apprend pas à aimer, mais tue pour résoudre ses propres problèmes. Tout pays qui accepte l’avortement n’enseigne pas à son peuple à aimer, mais à utiliser toute violence pour obtenir ce qu'ils veulent ».
Mère Teresa

L’institut de sondage Opinion Way dans une étude de 2013 révélait que 85 % des femmes déclarent avoir ressenti une souffrance au moment de l’IVG médicamenteuse, y compris une souffrance morale pour 82 % d’entre elles.


Les responsables du "Planning familial" aux USA n'ont aucun scrupule à vendre les organes de
fœtus avortés pour se faire de l'argent, une déshumanisation et une désacralisation de l'homme, le réduisant au niveau d'un meuble ou d'une voiture.

Les sociétés humaines ont toujours été organisées à partir d'un groupe de personnes interagissant entre elles, spécifiant des lois, des rites, des traditions, dont la religion constitue en règle général le ciment, protégeant la famille, le patrimoine et l'héritage, c'est ce qu'on appelle le bien commun.
La stabilisation d'une société repose sur la transmission de ce patrimoine, du savoir accumulé, pour qu'elle puisse prospérer et se perpétuer de générations en générations.
Et qui permet cette régénération ? Les enfants, qui représentent l'avenir de la société.
C'est pour cela, que dans les sociétés humaines, une femme n'a pas le droit de vie et de mort sur son enfant, car il est un bien de la communauté.

Quand une civilisation tue ses enfants en masse en refusant le « miracle qui sauve le monde » par lequel Hannah Arendt qualifiait la naissance, elle finit soit par s'éteindre, soit par être submergée.
Face à ce déclin démographique, l'extinction de la population française est programmée à grande échelle par l'ONU et l'UE pour être remplacée par une population extra-européenne (berbères, arabes, asiatiques, africains subsahariens), une "migration de remplacement", l'avènement d'une Europe noire.


Le culte maçonnique des "droits de l'homme" est une grave anomalie favorisant l'individualisme, le confort, l'égoïsme et l'instantané (je veux tout, et tout de suite), au détriment de la pérennité de la société.
Cet égoïsme rend aveugle ceux qui ont délaissé la communauté et abandonné Dieu et le bien commun au nom du refus du don de soi, du sacrifice, ce qui peut amener en quelques décennies à l'extinction de la communauté tout entière, laissant place à une tiers-mondisation du pays.

Aucun commentaire:

Publier un commentaire