L'esprit révolutionnaire juif

L'histoire de la civilisation européenne et occidentale est essentiellement de nature religieuse, et ne peut se comprendre qu'au prisme des textes et idéologies fondés sur la Bible, le Talmud et la Kabbale.
Avec la Révélation dans l'Incarnation de Jésus Christ il y a un peu plus de 2000 ans, la loi mosaïque du peuple juif est transcendée en loi des Évangiles du Nouveau Testament, "tout est accompli" comme dit le Christ.
Le Temple de Jérusalem est détruit en 70, le judaïsme n'est plus, et la communauté juive est dispersée à travers les continents par les Romains.
Face à cette détresse, cette errance sans fin, devant le refus d'accepter les prophéties de l'Ancien Testament et de reconnaître la venue du Christ, les Juifs réinterprètent alors la Bible en créant de nouveaux textes, les Talmuds de Jérusalem et Babylone, violemment antichrétiens, blasphémateurs, et insultants envers le Christ et Sainte Marie.
Pendant ce temps, la royauté s'installe en France à partir de Clovis, lieutenant du Christ reprenant l'héritage du Roi David de l'Ancien Testament par le Saint chrême qui établit la succession des rois de France sous l'Incarnation de Jésus Fils de Dieu (testament de Saint Rémi). Les Évangiles sont annoncés dans toute l'Europe.
Organisés en communautés, les juifs installés dans les royaumes européens s'entraident en réseaux, et il arrive parfois qu'ils s'entendent pour organiser des escroqueries et de fraudes en tous genres profitant de la crédulité des non juifs afin d'amasser leurs biens par l'usure, un droit prescrit dans le Talmud. En représailles, les juifs sont alors sporadiquement persécutés par les populations locales, en colère après avoir été spoliées, et les Talmuds brûlés.

Pour rétablir l'ordre et éviter le chaos, les royaumes chrétiens ordonnent progressivement l'expulsion des juifs de leur territoire (Angleterre 1er novembre 1290, France 17 septembre 1394, Espagne 29 avril 1492, Portugal 5 décembre 1495) et ailleurs en Europe.

Miniature représentant l'expulsion de Juifs de France (portant rouelle à la ceinture) en 1182 par Philippe Auguste, (Chroniques de la grande France). Éloignés et rappelés plusieurs fois, ils seront définitivement expulsés par Charles VI en 1394, avant de revenir progressivement par la sécularisation des nations européennes au XVIIIème siècle.


Expulsion des juifs de Francfort-le-Main le 23 août 1614

L'expulsion ne remet pas en cause la pénétration des idées talmudistes, et une gnose biblique émerge progressivement dans le courant du Xème siècle: la Kabbale, une mystique juive, interprétation ésotérique et occulte de l'Ancien Testament pour donner un but messianique à la diaspora juive errante.
La Kabbale évolue au fil des siècles, parmi ses principaux idéalistes on trouve Rabbi Akiba, Isaac Louria, Sabbataï-Tsevi, Jacob Frank,... tout d'abord diffusée en Provence, où les Juifs ont le droit de vivre en nombre, vont naître de cette mystique mi-juive, mi-chrétienne, le catharisme et la doctrine des Vaudois, violemment anticatholiques, imprégnées de gnose et de Kabbale, qui essaimeront par la suite dans la France et le reste de l'Europe sous de nouveaux idéaux dérivés (Renaissance, protestantisme, ...)

Après leur retour progressif dans une Europe de plus en plus sécularisée, toute la trame politique des élites kabbalistiques juives pendant les siècles suivants va consister à accélérer la propagation des idées dans le but de rejeter les deux piliers qui subsistent du christianisme, à savoir l'Incarnation du Fils de Dieu et la royauté, donc tout ce qui pourrait rappeler les origines chrétiennes de la France, responsables pour eux de leurs souffrances et du mal sur Terre (qelipot). 

La Kabbale prétend que les juifs sont le peuple de Dieu (En Sof, l'Être Suprême) qui doit souffrir de convulsions, par étapes, pour que l'humanité progresse et enfante une unité Une et indivisible. Chaque étape, chaque catastrophe, chaque révolution secouent le monde pour le "réparer" (Tikkoun olam)

et rapproche le peuple juif du jour où il retrouvera sa nation d'Israël d'avant le christianisme grâce à la venue du vrai Messie, c'est-à-dire pour les kabbalistes, la nature propre de l'humanité (époque de Noé) non souillée par le Christ. Il faut pour cela, détruire tout ce qui subsiste de l'Incarnation christique.

Les révolutionnaires vont s'imprégner de cet univers kabbalistique qui servira de modèle à la république universelle humaniste prônée par la franc-maçonnerie, en particulier avec le noachisme, religion dérivée de la Kabbale, qui aboutira aux révolutions américaine (1776) et française (1789)
La constitution d'Anderson de la franc-maçonnerie britannique, base également de la constitution américaine, fait mention de l'idéal noachide dans ses textes :

« Un maçon s’oblige à observer la loi morale comme un vrai noachide; et s’il comprend droitement le métier, jamais ne sera stupide athée ni libertin sans religion, ni n’agira jamais contre sa conscience. Au temps jadis, les maçons chrétiens devaient se conformer aux usages chrétiens de chaque pays où ils voyageaient ou travaillaient. Mais la maçonnerie existant en toutes les nations même de religions différentes, le seul devoir est aujourd’hui d’adhérer à cette religion où tous les hommes s’accordent (sauf pour chaque frère à garder son opinion particulière), c’est-à-dire d’être hommes bons et vrais, ou hommes d’honneur et de probité, n’importe les appellations, religions ou croyances qui les distinguent : car ils s’accordent tous sur les trois grands articles de Noé, et c’en est assez pour préserver le ciment de la loge. Ainsi la maçonnerie est le centre de leur union, et le moyen de concilier des personnes qui auraient dû, autre­ment, rester sans cesse éloignées les unes des autres.»
Constitution d'Anderson (1738), de James Anderson, un des pères fondateurs de la Franc-maçonnerie en Angleterre, qui essaimera aux États-Unis avec le Rite Écossais Ancien et Accepté, puis en France en 1789

 

Le 21ème degré franc-maçon du Rite Écossais Ancien et Accepté (REAA), s'intitule "Noachite ou Chevalier Prussien". Imprégnation de l'idéal kabbalistique (noachisme) dans la franc-maçonnerie.

Le livre du député et révolutionnaire Anacharsis Cloots est frappant de clairvoyance, il dévoile comment le fait d'avoir finalement établi les juifs comme citoyens français en 1791, a ouvert la porte à la mondialisation universelle kabbalistique anti-catholique, grâce à la puissance et à l'argent des juifs, extraits :

"Au reste, le peuple fera justice lui-même de l'absurde catholicisme. L'Église romaine est un édifice bâti sur l'infaillibilité; on ne saurait en ôter une seule pierre sans que toute la fabrique ne s'écroule. Déjà, la plupart des hommes libres se refusent à courber la tête en vils esclaves dans un confessional; or, sans la confession, point de communion; il est oiseux d'entendre la messe lorsque on renonce à l'absolution du sacerdoce. C'est sur les débris de tous les trônes que nous bâtirons l'édifice de la République Universelle. Tant que la plupart des français assisteront aux sorcelleries de la messe, tant qu'ils croiront que trois font un, et que la partie est plus grande que le tout, et qu'un corps existe en plusieurs lieux à la fois, et qu'un homme efface les péchés d'un homme, il sera difficile de les guérir de la duperie du fantôme royal. La royauté est une espèce de prêtrise non moins absurde que tout autre sacerdoce."

"Nous trouvons encore de puissants auxiliaires, de fervents apôtres dans les tribus judaïques, qui regardent la France comme une seconde Palestine. Nos concitoyens circoncis nous bénissent dans toutes les synagogues de la captivité. Le Juif, avili par le monde, est devenu citoyen français, citoyen du monde par nos décrets philosophiques. Cette fraternisation alarme beaucoup les princes allemands; d'autant plus que la guerre ne saurait ni commencer ni durer, en Allemagne, sans l'activité, l'intelligence, l'économie et le numéraire des Juifs. Les magasins, les munitions de toute espèce sont fournis par les capitalistes hébreux et tous les agents subalternes de l'approvisionnement militaire sont de la même nation. Il ne faudra que s'entendre avec nos frères les rabbins pour produire des effets étonnants, miraculeux." 
Anacharsis Cloots - "La république universelle du genre humain" (1792)
 

Le monument des droits de l'homme et du citoyen, inauguré par Jacques Chirac pour la commémoration du bicentenaire de la révolution française en 1989 sur le champ de Mars à Paris, est un des symboles maçonniques de la tentative de reconstruction ("réparation" Tikkoun olam) du Temple de Jérusalem détruit par le Christ. L'adoration du Serpent de l'arbre de la connaissance du Bien et du Mal pour construire la République Universelle sans l'Incarnation de Dieu, est la clé du pouvoir sans limites que veulent obtenir les élites kabbalistes.

Le corpus chrétien a également été massivement attaqué au cours des siècles, en particulier pendant la révolution française et la loi de séparation de l'Église et de l'État (1905), les Papes ayant pourtant maintes fois alertés sur le danger de la franc-maçonnerie. Mais un coup terrible fut porté lors du Concile Vatican II (1962-65), orchestré par des prélats acquis à la cause noachide, comme les cardinaux Rampolla et Augustin Bea.
Infiltré par des intellectuels juifs éminents, tel Jules Isaac, et des organisations internationales puissantes comme le B'nai Brith ou le Congrès Juif Américain (AJC), le Vatican cédera aux pression exercées pour abolir tout ce qui dans le catholicisme était nuisible aux juifs. (Look Magazine - "How the jews changed catholic thinking" - 25 janvier 1966)

Le cardinal Augustin Bea en discussion avec le rabbin Abraham Heschel lors d'une rencontre au siège du Congrès Juif Américain (AJC) à New York, pendant le Concile Vatican II.

Le but est d'aboutir à un œcuménisme, une structure mondiale proche du noachisme, dénaturant l'Incarnation du Christ. C'est la "réparation" (Tikkoun olam) kabbalistique appliquée à l'Église catholique, après avoir été appliquée à la royauté française en 1789, les deux piliers de la France sont pour le moment à terre.

Ce Tikkoun olam étant presque complètement réalisé au Vatican, le "Pape" François, est aujourd'hui aux ordres de la finance mondiale, en particulier avec les accords du « Council for Inclusive Capitalism with the Vatican » (Conseil pour un capitalisme inclusif avec le Vatican) signés en décembre 2020 avec Lynn Forester de Rothschild et des multi-milliardaires du Nouvel Ordre Mondial ("Gardiens") peu scrupuleux du bien commun des peuples.

Le Pape François entouré des puissants hommes d'affaires (et de Lynn Forester de Rothschild à sa droitedu "Conseil pour un capitalisme inclusif avec le Vatican" et de prélats.

Pourtant, le Pape, Vicaire du Christ, devrait savoir que l'Église catholique n'est pas de ce monde, et n'a pas à se plier aux diktats de l'argent et de ses marchands du Temple, aux ordres de Mammon.
 

Le Christ chassant les marchands du Temple - Valentin de Boulogne (1618)

"Le gardien de la paix et de la sécurité internationales", statue érigée devant le siège des Nations Unies à New York, ressemble étrangement à la Bête de l'Apocalypse décrite dans la Bible et dans les prophéties de Daniel :
"La bête que je vis était semblable à un léopard, et ses pieds étaient comme les pieds d’un ours, et sa gueule comme la gueule d’un lion; et le dragon lui donna sa puissance, et son siège, et une grande autorité."
Apocalypse 13:2

En fait une véritable aliénation, qui revient en réalité à revenir au monde qui pré-existait avant la venue du Christ : l'esclavage, l'adoration du Serpent, les sacrifices humains.
Simple coïncidence ou aboutissement du messianisme juif ?

Le kabbaliste juif Vincent Peillon, ministre de l'Éducation Nationale dans le gouvernement socialiste de François Hollande, promeut une religion de type noachide, la laïcité :
"La république pour s'établir a besoin de former sa propre religion, qu'ils vont appeler d'ailleurs, et ça c'est un paradoxe incroyable, c'est un étonnement pour moi jeune chercheur, la laïcité. C'est une religion de la liberté, c'est une religion des droits de l'homme, c'est une religion de l'humanité partagée, c'est une religion de l'instruction, c'est une religion du libre examen, c'est une religion un peu hétérodoxe dans le sens qu'elle s'appuie sur tout un courant que l'on trouve à la fois dans la Kabbale, dans l'Illuminisme, avec l'idée que c'est dans le fond aux hommes de continuer la création Divine."

Sur le site judaïque Akadem, Vincent Peillon présente et commente son livre :"Jérusalem n'est pas perdue: La philosophie juive de Joseph Salvador et le judéo-républicanisme français" sur le penseur juif du XIXème siècle Joseph Salvador :

"Avant le judaïsme des rabbins, de la clôture qui a du préserver notre élection, unité du genre humain à l'origine, unité à la fin, et peuple moyen, peuple élu pour transmettre cette universalité du genre humain du début à la fin, on a une religion qui s'appelle l'hébraïsme. [...] Il (Joseph Salvador) a un rêve œcuménique comme les hommes du XIXème siècle, c'est la religion universelle : pour arrêter de se bagarrer les uns avec les autres, revenons à la religion mère, et la religion mère, c'est la religion hébraïque. Et ça tombe d'autant mieux que cette religion hébraïque porte un modèle politique, la république des hébreux, la loi de Moïse, qui est un modèle moderne, en ce sens qu'elle veut, en terme d'aujourd'hui, la démocratie. [...] C'est quand les protestants, avec la révolution anglaise puis la révolution américaine puis la révolution française, reviennent aux sources, leur modèle, on retraduit la Bible hébraïque, c'est la république des hébreux, la loi de Moïse.[...] Les juifs républicains français considèrent que la république française est celle qui met en oeuvre la pensée juive, c'est le cœur de l'histoire, qu'ils affirment, en disant que la France est en train de réaliser les valeurs mosaïques. La France républicaine, Liberté, Égalité, Fraternité, ces trois idées sont des idées juives, notre devise est une idée juive."

Ça a le mérite d'être clair. Pour Vincent Peillon, la république française est une création juive, extension d'un humanisme universel rejetant toute identité spécifique culturelle, religieuse et charnelle propre à la France.

Dans son discours inaugural du Centre Européen du Judaïsme le 29 octobre 2019 devant le Consistoire Central Israélite, le président Emmanuel Macron
explique comme Vincent Peillon, que la république française est un héritage du judaïsme, un humanisme universel sans passé ni racines. Pour Macron, les Français sont donc des déracinés, comme les Juifs :
"Je relisais, avant de venir vous voir, quelques écrits de la philosophe Simone Weil. Elle a eu des mots très durs sur le judaïsme. Et elle a souvent évoqué cette notion d'enracinement que l'époque contemporaine a parfois convoquée, je crois pouvoir le dire, à tort, en faisant référence à Simone Weil dans les termes où on l'a utilisée. Elle a des mots très durs sur le déracinement des Juifs, et elle a une phrase, dans un de ses écrits, terrible où elle dit : « les Juifs sont des déracinés, et au fond, c'est ce qui les met dans le même lot que les Lumières, 1789, l'Europe, la République. »
Et après elle continue, elle va jusqu'à la face sombre de la République en parlant du colonialisme.
Elle crée, ce faisant, quelque chose, d'une part, qui ne m'était pas apparu si clairement jusque-là, de ce qui, en effet, lie les Juifs à la République. Ce qu'elle appelle le déracinement, c'est le fait qu'il n'y a pas un lieu fixe, unique qui épuise tout, qu'il y a d'abord et avant tout toujours la dignité, la dignité de l'homme comme guide, qu'il y a ensuite l'hospitalité qui fait que décider d'habiter un lieu est toujours déjà l'ouvrir à l'autre, et qu'il y a toujours un rapport à l'universel.
Dans ce triptyque qui, je crois, construit aussi une part de vérité du judaïsme, il y a une part de vérité de ce qu'est la République. Peut-être que pour certains, la République est déracinée. Je crois très profondément que, partout où il y a la dignité de l'homme libre, l'hospitalité et le goût de l'universel, elle est là et ce centre en est la formidable métaphore."

Le militant internationaliste juif Robert Badinter, ancien Garde des Sceaux sous François Mitterrand, en conférence devant l'Union Libérale Israélite de France, fait entendre que la terreur communiste, qui a fait des millions de morts dans les camps de concentration en URSS, dans les pays d'Europe de l'est, en Chine, au Cambodge, à Cuba au XXème siècle est une idéologie issue de l'esprit révolutionnaire juif :
"Il faut souligner l'importance extrême du parti communiste. Le nombre de jeunes dont les parents venus de toute l'Europe centrale et orientale était très important. Notamment il y avait des quartiers juifs très sympathiques, mêlés aux populations usuelles prolétaires des banlieues à l'est de Paris : Fontenay-sous-Bois, ça valait pour Montreuil, Saint-Mandé. ILs étaient là en nombre et leurs enfants étaient nés en France.
Le parti communiste avait le contrôle politique à partir de 1920 de ces banlieues là. Un grand nombre d'associations qui fleurissaient entre 1919 et 1939, étaient des associations dans lesquelles les juifs venus d'ailleurs notamment du Yiddishland, se réunissaient entièrement sous le contrôle politique du parti communiste. L'importance que jouaient dans les banlieues parisiennes, au sein des communautés juives, le parti communiste, est aujourd'hui complètement gommé. Personne ne pense que les juifs étaient pour la plupart pour nombre d'entre eux, des communistes.
Et à propos de la MOI (Main d'Oeuvre Immigrée), qui est une pépinière de héros, vous mesurez que c'était comme communistes, pas comme juifs sionistes, mais comme communistes internationalistes qu'ils militaient dans la MOI et étaient dans les fonctions les plus engagées de la MOI. La main d'oeuvre ouvrière immigrée, c'était pour beaucoup des juifs du Yiddishland, et ils étaient communistes.
Et il faut le savoir, ce n'était pas la défense des juifs qui les animaient en premier, c'était l'idéal communiste. Ils étaient des militants du parti communiste."
"Au Mont Valérien, qui est le lieu où on a fusillé le plus grand nombre de résistants, j'étais à ce moment-là parlementaire des sénateurs des hauts-de-Seine, pour les cérémonies patriotiques, il faisait très beau ce jour-là, je me suis promené, je suis monté à la clairière des fusillés, je remarque que le nombre de noms juifs venus d'Europe centrale et du Yiddishland est considérable. Ils n'étaient pas eux pour la plupart, des gaullistes, c'était des communistes."
"À l'époque, j'étais marxiste, et résolument internationaliste, pas sioniste, après j'ai changé, mais le lendemain de la guerre mondiale, ce n'était pas comme ça."

Robert Badinter, dans son discours à l'UNESCO le 6 décembre 2016 sur l'antisémitisme, exclut totalement la cause de la persécution des juifs en Europe et au Moyen-Orient pendant des siècles (communautarisme, exploitation des populations locales, usure, blasphèmes du Talmud), et ne présente l'antisémitisme que comme vecteur de rejet du "peuple chrétien", de Jésus et de l'Église catholique, négation traditionnelle kabbalistique de l'Incarnation du Christ :
"La première forme, c'est l'antisémitisme religieux. Depuis l'Edit de Constantin, reconnaissant le christianisme comme religion officielle, en 313, jusqu'au 20e siècle, l'antisémitisme s'est toujours nourri de la haine du peuple déicide, celui qui avait tué Jésus Christ. A travers les persécutions et les massacres, la possibilité était souvent - pas toujours – offerte aux juifs d'échapper à la mort ou à l'exil par une conversion forcée, quitte à redevenir juif quand les temps seraient moins cruels. La longue histoire, culturellement si riche des Marranes, notamment dans les Etats ibériques, en est une illustration."
"Ce que je voudrais simplement souligner, c’est ceci, qui me paraît le plus riche d’avertissement et de sens : il est tout à fait remarquable et difficilement compréhensible qu'un grand peuple chrétien, cultivé entre tous les peuples d’Europe, d’où étaient issus un grand nombre de génies dans l’art, dans la pensée, dans la recherche scientifique, et de lauréats du Prix Nobel, parmi lesquels un certain nombre de juifs, que ce peuple-là fut le porteur, l’animateur et le réalisateur des plus terribles persécutions contre les juifs qui aient jamais désolé l’histoire de l’Europe. Il est essentiel de s’en souvenir, car il n’y avait pas en Europe de pays où l’amour de la culture, l’enseignement de la culture, la passion de l’art, notamment musical, et la recherche scientifique fussent portés plus haut que dans l’Allemagne jusqu’à la fin de la République de Weimar."

Le talmudiste et kabbaliste Bernard-Henri Lévy, protecteur de l'état d'Israël, vomit sa haine des états nations, de l'identité culturelle religieuse de la France et des Français sur les chaînes de télévision pour favoriser le métissage, le multiculturalisme, le vivre-ensemble, la République Universelle pour hâter ainsi la venue du Messie kabbalistique.

"Tant et tant de textes enfin, d’innombrables articles et discours de Vaillant-Couturier, mais d’autres aussi, j’y reviendrai, retrouvent les accents du chauvinisme le plus éculé, parfois même de la xénophobie la plus ignoble, pour chanter la gloire de Jeanne-la-paysanne, glorifier l’honneur et le parfum de nos terroirs, fustiger l"anti-France" aussi et le cosmopolitisme dissolvant des intellectuels bourgeois. Ce qu’on a oublié autrement dit, c’est que c’est le pays tout entier, de la droite à la gauche, de la gauche à l’extrême-gauche, de l’extrême-gauche à l’extrême-droite, qui, cinq ans avant Pétain, communiait dans le même cri rauque et déjà meurtrier :"La France aux Français !"
Bernard-Henri Lévy - "l’idéologie française" p32

"On n’écrit pas "L’Idéologie française" si l’on n’a pas, trente ans plus tôt, senti qu’il y a au cœur de la manière française d’être ensemble, au cœur de cette religion communautaire nationale qu’est la religion française, quelque chose qui laisse suinter la haine du Juif comme tel."
Bernard-Henri Lévy - "Comment je suis juif ?"

Bernard-Henri Lévy développe ce qu'est l'esprit révolutionnaire juif contre Dieu : les rabbins talmudistes sont supérieurs à Dieu et peuvent même modifier Sa loi, il n'y a pas de Rédemption ni de Salut après la mort, la révolution messianique pour imposer un Paradis terrestre doit donc s'effectuer sur Terre, par la volonté des hommes, supérieure à celle de Dieu :

"Je suis juif par ma très grande méfiance à l’endroit de tout ce qui peut m’arrimer et arrimer le sujet à l’esprit, au génie, à la clôture d’un lieu. Mon refus des nationalismes, la répugnance que m’inspirent les idéologies de l’enracinement, voilà ce que m’enseigne la pensée juive."

"Et cela parce que l’être juif me semble la meilleure école qui soit pour comprendre comment on peut être fidèle à un texte sans le sacraliser, comment on peut tirer son être d’une lettre sans en faire une idole ou un fétiche. « La loi des maîtres est supérieure à celle de Dieu et peut même la modifier », dit le Talmud. Dans le Talmud Baba Metsia, le récit extraordinaire de Rabbi Eliezer qui invoque le témoignage des anges et de la nature et du ciel, mais qui doit céder devant les arguments des maîtres car la Torah n’est pas au ciel. Et, toujours à ce même propos, cet autre fragment talmudique qui dit qu’une large part de la loi fut oubliée à la mort de Moïse. Eh oui ! Cette loi donnée, brisée, enseignée, oubliée et qui n’est plus dans les cieux, ce manque qui la troue irréversiblement et avec lequel il faut vivre, quelles que soient les protestations de la foule et du peuple, quel contre-feu, quel antidote à l’idée de la loi totale défendue par les fondamentalistes !"

"Je crois cependant qu’entre la spiritualité juive et les autres, musulmane comprise, il y a une première différence essentielle : le commandement d’aimer la Torah plus que Dieu, d’aimer le Talmud plus que la Torah. Il y en a une deuxième : cette image d’un homme juif qui commence, comme dit Levinas, par dire non à Dieu ; le fait que « la grande gloire du Créateur est d’avoir mis sur pied un être qui l’affirme après l’avoir contesté »; cette « grande gloire » que c’est, pour Dieu, d’avoir « créé un être capable de le chercher ou de l’entendre de loin, à partir de la séparation, et presque de l’athéisme ». C’est cette différence, c’est cette définition de l’homme comme liberté et responsabilité face à Dieu, c’est cette théorie de l’empoignade, ce Dieu comme faille et comme appel, ce Dieu qui ne peut que manquer, c’est tout cela qui fait que c’est en m’adossant à la sagesse juive que je trouve les outils qui me permettent, théoriquement, philosophiquement, métaphysiquement, de penser les fondamentalismes d’aujourd’hui, tous les fondamentalismes, et notamment le fondamentalisme musulman."

"Le peu que je sais du judaïsme et de son génie, c’est que c’est la seule spiritualité qui n’enjoint pas de quitter le monde pour aller vers Dieu."
Bernard-Henri Lévy - "Comment je suis juif ?"

Le kabbaliste Jacques Attali veut "réparer le monde" (tikoun olam) avec le peuple juif pour imposer sa domination, y compris contre l'avis des autres peuples.

Jacques Attali : "La paix à Jérusalem est la condition de la venue du Messie, le Messie arrivera par une certaine porte de la vieille ville [...] On peut imaginer rêver d'un Jérusalem devenant capitale de la planète qui sera un jour unifiée dans un gouvernement mondial, c'est un joli lieu pour un gouvernement mondial"

La réparation du monde finale est le rejet TOTAL de l'Incarnation du Christ, Parole faite chair, image de la vie, force vivante de la Créature de Dieu et de sa liberté de penser. Le transhumanisme est la finalité pour effacer toute trace de cette marque divine sur l'homme : faire en sorte qu'il devienne une machine créée, modifiée et améliorée par l'homme; le Dieu Incarné n'aura alors plus sa place dans le cœur des hommes.
Le docteur Laurent Alexandre, médiatiquement présent sur quasiment toutes les chaînes de plateaux télé, est un des nombreux adeptes de ce transhumanisme. Tel un kabbaliste, il faut d'abord endoctriner les Français à se débarrasser de l'Église catholique pour la remplacer par l'islam :

"Les gens qui fantasment sur une France blanche délirent. La France sera demain café au lait et majoritairement musulmane. Cela ne me gêne pas du tout : c’est le choix que nous avons fait en acceptant une immigration de masse. La démographie est REINE."

[ Dans l'islam, Jésus est juste un prophète, il n'est pas l'Incarnation de Dieu sur terre, et ne pose donc pas idéologiquement de problèmes véritables aux messianistes juifs. L'islam du Coran est vu par les kabbalistes comme un Talmud juif adapté aux Arabes. (voir documentation sur les Dönme par exemple, ou les livres proposés à la fin de l'article)]

puis Laurent Alexandre attaque directement l'Église catholique parce qu'elle tente de préserver les valeurs morales de la France chrétienne, il s'en prend aux prêtres catholiques qui dénoncent les fameuses "valeurs républicaines" amorales de la religion maçonnique kabbalistique :

Pour avoir une idée du futur de l'humanité désincarnée et anti-catholique désiré par Laurent Alexandre, écoutez, ça fait froid dans le dos :

Anti-français et anti-catholique, Laurent Alexandre est donc bien vu par les kabbalistes, il intéresse en particulier les dirigeants du CRIF, et fut invité par son président Francis Kalifat le 21 novembre 2017 pour disserter sur la future transformation de l'homme en cyborg, en étant favorable à l'immortalité de l'homme sur Terre, à la sélection eugénique des embryons, à l'injection de composants électroniques dans le cerveau des enfants pour modifier leur mentalité et leur QI, à l'euthanasie, etc...

"On est rentré dans une phase démiurgique, Kurzweil chez Google dit que l'homme va être God-like (comme Dieu), bien sûr, l'encadrement de notre pouvoir démiurgique il est impératif, et ne concerne pas que l'intelligence artificielle, mais il concerne aussi tout ce que l'intelligence artificielle va permettre de faire, dans les nano-biotechnologies, la génétique, la sélection embryonnaire, les neuro-technologies pour modifier le fonctionnement cérébral. En réalité, l'intelligence artificelle n'est qu'une petite facette de l'ensemble des révolutions technologiques bouleversantes qui arrivent."
Conférence de Laurent Alexandre donnée au CRIF le 21 novembre 2017

Laurent Alexandre cite ici Raymond Kurzweil, né de parents juifs, directeur chez Google aux États-Unis et figure de proue du messianisme transhumaniste, la transformation totale de l'homme en machine perfectionnée pour remplacer le pouvoir de Dieu.

"Je suis très en accord pour commencer avec ce que pense le rabbin (Steinsaltz) qui a été excellent à exprimer la sagesse des âges de cette grande tradition juive. La tradition juive est une valeur pour l'humanité ici et aujourd'hui, améliorant la condition humaine depuis des milliers d'années."
Raymond Kurzweil promeut le transhumanisme dans une conférence donnée le 2 novembre 2015 avec le rabbin kabbaliste Adin Even-Israël Steinsaltz

Sur la chaîne Akadem, le rabbin Uriel Aviges explique les racines juives du transhumanisme


Pour approfondir le sujet, des ouvrages incontournables :
"Le messianisme juif" - Gershom Sholem
"L'esprit révolutionnaire juif" - Eugene Michael Jones (une référence !)
"Deux siècles ensemble" (en deux tomes) - Alexandre Soljénitsyne
"Des origines du mondialisme à la grande réinitialisation" - Pierre Hillard
"Les juifs, le monde et l'argent" - Jacques Attali
"L'esprit du judaïsme" - Bernard-Henri Lévy
"Les juifs et le Concile Vatican II" - Léon de Poncins
"Histoire de l'antisémitisme" - Hervé Ryssen

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