L'imposture Michel Onfray

Le philosophe Michel Onfray a récemment défrayé la chronique dans une violente diatribe contre le christianisme publiée chez Bouquins, "Théorie de Jésus, biographie d'une idée". 


Le philosophe Michel Onfray en conférence à la Grande Loge Nationale Française (GLNF), temple de la franc-maçonnerie anti-catholique.

Dons son livre, Michel Onfray prétend que le Christ n'a jamais existé historiquement, c'est juste un ensemble d'idées, de concepts regroupés dans les Évangiles pour donner naissance à un personnage mythique. Pourtant, de multiples documents non chrétiens attestent de l'existence du Christ crucifié adoré par ses disciples (chez Flavius Josèphe, Suétone, Jules l'Africain, Tacite, Pline le Jeune, Lucien de Samosate, Celse, les écrits du Talmud, ...), bien plus par exemple que de contemporains attestant de l'existence de Jules César !
Alors pour quelle raison un tel acharnement, une contre-vérité manifeste, une obsession même, une telle aversion du christianisme qui semble aller contre le bon sens critique ?


LE REFUS DE LA FOI. POURQUOI DIEU AUTORISE-T-IL LE MAL ?

Sa haine du christianisme peut s'expliquer du fait qu'il ne comprend pas pourquoi Dieu, qui a pouvoir sur tout, autoriserait le mal sur Terre. Michel Onfray s’improvise théologien alors qu’il n’a aucune connaissance biblique, dans un débat avec le père Michel, chanoine de l’abbaye de Lagrasse, animé par Eugénie Bastié :


"le Dieu des chrétiens qui, théoriquement veut tout ce qui advient. C’est-à-dire qui veut la mort des enfants, qui veut la punition des innocents, qui veut que des gens qui incarnent pour moi le mal, n’aient aucun un problème dans la vie, enfin les prospérités au vice et les malheurs à la vertu, pour utiliser le vocabulaire de Sade." 

Non, Dieu ne veut pas tout ce qui advient. Cela fait souffrir Dieu, qui regarde Sa créature faire intentionnellement le mal. Chaque rébellion contre Dieu est ainsi une nouvelle blessure, un coup de fouet, un crachat, une trahison infligés au Christ, alors que Dieu a offert à l’homme la volonté, l’intelligence et la Grâce de pouvoir faire le Bien.


"Le Christ en Croix" - Pierre Paul Rubens

Chaque fois que vous entrez dans une Église, le Christ en Croix, c’est-à-dire un homme torturé, moqué, flagellé, humilié jusqu’à la mort, est là pour montrer les souffrances endurées par ceux qui ont été maltraités, méprisés ou martyrisés. Le poids du péché du Monde.
Dans le but de rappeler aux hommes que, s'ils sont des créatures de la Grâce divine, c'est pour se détourner du démon afin de s’orienter vers le Salut.
Chemin vers le Salut qui n'est pas un lit de roses, car il est difficile de pardonner, d'aider, de faire la charité, dans un monde devenu de plus en plus individualiste.


LE SERPENT, PRÉTENTION À LA SUPRÉMATIE DE L'HOMME SUR DIEU 

Plus loin, Michel Onfray interroge :
"mais comment se fait-il que dans le Paradis, il y ait déjà le serpent ? C'est quand même bizarre. On se dit, il y a le Paradis, et dans le Paradis il y a le serpent ; c'est-à-dire, le mal est dans le Paradis. Qu'est-ce que ça veut dire que dans le lieu même de la félicité, le mal soit là ? Qu'il ait pris la forme du serpent, et que le serpent parle et qu'il soit dans la tentation etc. Parce qu'à un moment donné, on entend, on entend le bruit du serpent dans la Genèse. Et et je me suis dit, mais comment se fait-il ? Il sort pas de nulle part ce serpent, il est dans le Paradis. Donc le mal est consubstantiel au Paradis ? Qu'est-ce que ça veut dire ?"
Le Serpent, tout comme l'homme et la femme, a le libre-arbitre, il a le choix entre faire le Bien ou le Mal, mais choisit sciemment de tromper par ruse la Création la plus aboutie de Dieu, l'homme et la femme en les pervertissant par la connaissance du fruit de l'arbre défendu, le Bien du Mal, prétendant qu'ils deviendraient alors des Dieux.
Le Mal n'est donc pas une création consubstantielle de la créature de Dieu, il est inhérent à l'intelligence, au choix, au libre-arbitre.


"Adam et Ève" - Lucas Cranach l'Ancien (1472-1553)

Certains hommes ont choisi de s'affranchir sciemment des lois divines naturelles créées pour assurer le bien et le Salut de l'homme, ils épousent ainsi la doctrine du serpent, c'est-à-dire la prétention à se libérer de toutes contraintes, pour devenir au final esclaves du péché.

Le monument des droits de l'homme et du citoyen inauguré sur le champs de Mars à Paris par Jacques Chirac pour le bicentenaire de la révolution française en 1989, est une revanche du serpent sur Dieu. C'est la reconstruction du Temple de Jérusalem qui avait été détruit par le Christ, pour que l'homme puisse vénérer le serpent de la géhenne.
L'homme prétend ainsi prendre la place de Dieu, devenant seul maître de sa destinée, comme l'avaient faits Adam et Ève.
En réalité, l'homme se soumet ainsi au serpent, car sa soif de pouvoir sans limites n'est jamais rassasiée, toujours en demande. Le monument du bicentenaire est une parfaite allégorie de la défiance contre Dieu, tous les personnages représentés autour du Temple se prosternant devant le serpent.


ADEPTE D'UN JUDAÏSME MATÉRIALISTE

En fait, il semblerait que Michel Onfray ait opté pour un judaïsme soft, depuis qu'il a déclaré qu'il avait probablement des origines juives.


Michel Onfray se démasque en prônant ouvertement son judaïsme talmudiste matérialiste anti-chrétien dans son précédent livre "Dieu ? Le philosophe et le rabbin", écrit conjointement avec le rabbin Michaël Azoulay :


"La croyance dans le Dieu des juifs n'est pas la même chose que la croyance dans le Dieu du christianisme et qu'il y a quand même un certain type de rationalité dans le judaïsme qu'on ne trouve pas dans le catholicisme. Cette idée de Marie vierge mère de Dieu, ça suppose un certain type de foi, de croyance, c'est-à-dire à priori on met de côté la raison en disant ce n'est pas le sujet.
Ce n'est pas le cas des juifs qui veulent la raison, qui font la raison, qui construisent la raison, qui sollicitent la raison.
J'ai le projet d'un livre sur la physique quantique qui pourrait s'appeler "méta-physique quantique" qui ne serait pas en contradiction avec le Dieu des juifs et je pourrais croire en ce Dieu là. Le Dieu incarné, Jésus, là non surement pas !
Il y a une convergence dans le judaïsme avec l'intelligence et la raison qu'il n'y a pas dans le christianisme, qui suppose la foi. Le fameux Pascal, "Mettez-vous à genou, priez, et ça viendra", je ne pense pas qu'un juif puisse dire "mettez-vous à genou priez et ça viendra."

Dans le monde de Michel Onfray, il n'y a plus de place à la béatitude, la contemplation, la beauté, la Foi, le Don entier et gratuit de soi à l'autre, mais uniquement au matérialisme talmudique qui évacue la notion même de Dieu.
Et pour comprendre ce que représente la raison dans l'Église catholique afin de cultiver sa misère intellectuelle, Michel Onfray devrait au moins s'intéresser aux écrits de Saint Anselme ou de Saint Thomas d'Aquin.


SAINT PAUL, UN MALADE MENTAL HYSTÉRIQUE ?

La perfidie et le mensonge de Michel Onfray se dévoilent dans la propagande judéo-talmudique qu’il déploie, en incriminant les Saints de la religion catholique.
Dans son refus du christianisme, Michel Onfray se livre à un véritable acharnement contre Saint Paul, faisant passer l'Apôtre des gentils, l'évangélisateur du bassin méditerranéen, le docte auteur des épîtres de la Bible, pour un malade mental hystérique !


Voici comment Michel Onfray perçoit Saint Paul :
"Ce personnage est assez singulier, il a, à mon avis, tout ce qui permet de parler de l'hystérique... C'est vraiment l'hystérie clinique telle qu'on la retrouve décrite dans les manuels de psychiatrie. 
En 34 après Jésus Christ, il s'affale complètement devant du monde, c'est ce que la psychiatrie appelle de l'histrionisme, les scènes d'hystérie ne se font jamais sans public.
Quand on est hystérique, ce n'est jamais tout seul devant sa glace, c'est toujours en présence des autres. Il ne voit pas pendant trois jours, ça s'appelle une amaurose transitoire chez les psychiatres, il entend la voix de Jésus, ça s'appelle des hallucinations auditives, ...hallucinations sensorielles, tendances mythomaniaques, ...il reste trois jours dans cet état de crise sans manger ni boire, on a les agnosies et les anosmies. ...Il part pour trente années dans le bassin méditerranéen, trente années d'évangélisation, ce que le tableau clinique appelle de l'exhibitionnisme moral...
Paul de Tarse souffrait d'impuissance sexuelle...troubles de la sexualité...goût pour la pulsion de mort, et détestation de la pulsion de vie."


"Saint Paul écrivant ses épîtres" - Valentin de Boulogne (1618-1620)

On pourrait dans ce cas généraliser, et considérer que tous les Saints et croyants ayant eu une révélation comme Saint Augustin, Saint Pierre, Clovis, Sainte Geneviève, Saint Benoît, Hildegarde de Bingen, Sainte Catherine de Sienne, Constantin, Saint François d'Assise, ... sont des hystériques bon pour l'hôpital psychiatrique !
Pour Michel Onfray, il est inenvisageable que Saint Paul ait tout simplement donné sa vie au Christ, dans une Foi entière et gratuite pour sauver les âmes.
Michel Onfray poursuit dans le mensonge :


"Il y a des auto-da-fé chez Paul, c’est-à-dire que dans les Actes des Apôtres, il assiste à un auto-da-fé. Alors évidemment, on parle de livres de magie, il est bien évident que ce ne sont pas des livres de magie, ce sont des livres des autres religions. J’avais vu, dans une petite ville d’Australie, Saint Paul a joui de l’auto-da-fé, il y avait chez lui cet espèce d’amour de la violence, à chaque fois qu’il est figuré de manière symbolique ou allégorique dans la peinture, dans la sculpture, il a une épée. On me dit oui, mais c’est l’instrument de son supplice. Mais dans ce cas là, pourquoi Saint Pierre est-il représenté avec des clés ? Les clés ne sont pas l’instrument du supplice de Saint Pierre. Saint Paul est celui qui convertit violemment.
C’est celui qui dès le départ, quand il est juif et qu’il commence par persécuter Saint Étienne, il est pour la violence, et quand il change de côté, il est encore pour la violence, et il continuera sans cesse."

Saint Paul (Saül avant sa conversion au Christ) massacrait les chrétiens lorsqu’il obéissait aux lois du judaïsme, c’est donc en tant que juif, sous les ordres des sacrificateurs juifs de la Synagogue, que Saül persécutait les chrétiens :
"je suis Juif, né à Tarse en Cilicie ; mais j’ai été élevé dans cette ville-ci, et instruit aux pieds de Gamaliel dans la connaissance exacte de la loi de nos pères, étant plein de zèle pour Dieu, comme vous l’êtes tous aujourd’hui. J’ai persécuté à mort cette doctrine, liant et mettant en prison hommes et femmes. Le souverain sacrificateur et tout le collège des anciens m’en sont témoins. J’ai même reçu d’eux des lettres pour les frères de Damas, où je me rendis afin d’amener liés à Jérusalem ceux qui se trouvaient là et de les faire punir."
Actes 22:3-5

Après sa conversion à Damas, Saint Paul ne manie plus l’épée, ne persécute et ne tue personne, il devient prédicateur et annonciateur de la Bonne Nouvelle (Évangile) du Christ.
C’est lui qui se retrouve souvent persécuté, emprisonné par les juifs et les romains pour ses prédications :
"Le tribun, prenant le jeune homme par la main, et se retirant à l’écart, lui demanda : Qu’as-tu à m’annoncer ? Il répondit : Les Juifs sont convenus de te prier d’amener Paul demain devant le sanhédrin, comme si tu devais t’enquérir de lui plus exactement. Ne les écoute pas, car plus de quarante d’entre eux lui dressent un guet-apens, et se sont engagés, avec des imprécations contre eux-mêmes, à ne rien manger ni boire jusqu’à ce qu’ils l’aient tué ; maintenant ils sont prêts, et n’attendent que ton consentement."
Actes 23:19-21

Michel Onfray ment quand il proclame que Saint Paul reste un homme violent quand il devient apôtre du Christ.
C’est faux, c’est un mensonge dans le but de mépriser et dénigrer le christianisme et la mission de Saint Paul, en cachant la violence du judaïsme, dans une véritable inversion accusatoire.
Si Saint Paul est souvent représenté avec une épée, c’est que le glaive avait, pour Saint Paul, allégoriquement symbole de Parole de Vérité :
"prenez par-dessus tout cela le bouclier de la foi, avec lequel vous pourrez éteindre tous les traits enflammés du malin; prenez aussi le casque du salut, et l’épée de l’Esprit, qui est la parole de Dieu."
Éphésien 6:16-17


"Saint Paul" - Antoine van Dyck (1618-1620)

Après sa conversion, Saint Paul n’a jamais prôné la violence ni organisé d’auto-da-fé, comme veut le faire croire Michel Onfray. Ceux qui se confessaient et reconnaissaient la parole du Christ, venaient eux-mêmes reconnaître leurs erreurs et brûler leurs faux livres :
"Plusieurs de ceux qui avaient cru venaient confesser et déclarer ce qu’ils avaient fait. Et un certain nombre de ceux qui avaient exercé les arts magiques, ayant apporté leurs livres, les brûlèrent devant tout le monde : on en estima la valeur à cinquante mille pièces d’argent."
Actes 19:18-19

Tout comme le Christ, lorsque l'Apôtre parle de glaive, de casque et de bouclier, cela ne signifie nullement que pendant sa prédication, il menace les païens et les non croyants avec une armée !
En passant du judaïsme au christianisme, Saint Paul accomplit la loi de Dieu selon l’Esprit et non plus selon la lettre dans le nouveau ministère du Christ :
« Il nous a aussi rendus capables d’être ministres d’une nouvelle alliance, non de la lettre, mais de l’esprit ; car la lettre tue, mais l’esprit vivifie. Or, si le ministère de la mort, gravé avec des lettres sur des pierres, a été glorieux, au point que les fils d’Israël ne pouvaient fixer les regards sur le visage de Moïse, à cause de la gloire de son visage, bien que cette gloire fût passagère, combien le ministère de l’esprit ne sera-t-il pas plus glorieux ! »
Corinthiens II 3:6-8

"Vous avez su, en effet, quelle était autrefois ma conduite dans le judaïsme, comment je persécutais à outrance et ravageais l'Église de Dieu, et comment j'étais plus avancé dans le judaïsme que beaucoup de ceux de mon âge et de ma nation, étant animé d'un zèle excessif pour les traditions de mes pères. Mais, lorsqu'il plut à celui qui m'avait mis à part dès le sein de ma mère, et qui m'a appelé par sa grâce, de révéler en moi son Fils, afin que je l'annonçasse parmi les païens, aussitôt, je ne consultai ni la chair ni le sang..."
Galates 1:13-16

TRAHISON DE LA VÉRITÉ DU CHRIST

Plus profondément, Michel Onfray est obligé de haïr le Christ.
Michel Onfray ne peut croire en Christ, tout simplement parce que Jésus Christ est la Parole vivante, d'amour, de vérité et de justice de Dieu.
"Je suis le chemin, la vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que par moi."
Jean 14:6
Or, Michel Onfray, qui se consacre pourtant philosophe des petites gens, défenseur des opprimés, porte-parole du petit peuple, pour conserver sa place dans les média, a occulté la vérité au profit de sa vanité et de son orgueil.


Il s'est plié hypocritement à la doxa médiatique et politique gouvernementale en prenant fait et cause pour la vaccination obligatoire contre le covid-19, ignorant les avertissements des médecins radiés, les milliers de témoignages d'effets secondaires graves liés aux vaccins, allant jusqu'à livrer les personnes non vaccinées à la vindicte populaire en les comparant à des "racailles", des "violeurs de jeunes filles", et leur interdisant d'entrer dans des lieux publics.
Maintenant que les élites gouvernementales ont assoupli les mesures concernant le vaccin, Michel Onfray retourne sa veste, il est pour la réintégration du personnel soignant non vacciné dans les hôpitaux.

Cette trahison qui a permis de démasquer l'âme de Michel Onfray, est le vrai signe de son renoncement au christianisme, sa soumission au mensonge.
Au lieu de médire injustement sur Saint Paul, Michel Onfray ferait mieux de l'écouter :
"C'est pourquoi, renoncez au mensonge, et que chacun de vous parle selon la vérité à son prochain; car nous sommes membres les uns des autres."
Éphésiens 4:25

Le Forum Économique Mondial de Davos est un paganisme religieux universel et gnostique

La gnose, c'est la prétention que la "connaissance" est en soi, et c'est à l'homme de trouver et de parfaire cette connaissance, révélée par des initiés qui ont le pouvoir de découvrir cette source cachée de connaissance universelle et de définir à partir de là, ce qui est meilleur pour l'humanité.

C'est dans le but de cette unification mondiale, que le Forum Économique Mondial de Davos présidé par Klaus Schwab, se tient tous les ans depuis 50 ans dans les Alpes Suisses. L'édition du 15 au 19 janvier 2024 réunit des chefs d'État, Premiers Ministres, présidents d'institutions internationales (dont Emmanuel Macron, Antony Blinken, Volodymyr Zelensky, Javier Milei, Pedro Sanchez, Antonio Guterres, Ursula von der Leyen ...) plus de 1600 chefs d'entreprises, professeurs, universitaires et essayistes.
Le but est de coordonner les programmes pour que l'homme et la nature ne puissent faire qu'un, afin de les fondre dans une version terrestre globaliste du Plérôme, typiquement moniste et panthéiste.

Le gouvernement mondial totalitaire de Davos et ses chefs d’État prétendent réaliser le paradis terrestre, liberté, égalité, fraternité par l’immigration de masse, le multiculturalisme et le métissage pour tous les humains au détriment des nations, des cultures, des races, des identités religieuses des différents peuples, en contrôlant leur destinée à tous les niveaux : économique, social, culturel et sécuritaire, de leur naissance jusqu’à leur mort.
C’est une utopie totalitaire qui mène à la guerre et aux camps de concentration.

Alors que la loi divine du Christ s’éprend de vérité, de justice, de morale pour préserver le bien commun :
"C’est pour la liberté que Christ nous a affranchis. Demeurez donc fermes, et ne vous laissez pas mettre de nouveau sous le joug de la servitude."
Galates 5:1

C'est dans ce cadre de pensée religieuse, que l'économie de marché, les institutions bancaires, culturelles, sécuritaires et sanitaires représentent les piliers des moyens pour atteindre cet objectif à Davos.

Le 17 janvier 2024, au cours d'une cérémonie religieuse païenne sur le thème "Climat et nature" au forum de Davos, la chamane indienne Raimunda Putani a déclaré au public que son message était de donner aux participants "la voix de la nature, la voix des forêts" et que "la guérison se trouve en nous-mêmes, dans notre spiritualité, dans l'union, l'unité de nos pensées".
Raimunda a demandé au public de comprendre que "la forêt est notre vie" et que nous devons être unis : "Si nous sommes tous unis dans nos cœurs et dans nos pensées, notre mère la Terre nous écoutera".
Raimunda a ensuite "béni" chacun des auditeurs présents sur la scène de son souffle magique.
Un rite cérémonial religieux typiquement gnostique, qui fait abstraction des identités des peuples et des nations. La pensée doit être unique, toute déviance et opposition aux décideurs de Davos sera considérée comme une hérésie, passible d'ostracisme et de bannissement social.

À noter que les dirigeants de Davos qui s'enorgueillissent de vouloir protéger la "mère Terre", n'ont pas hésité à mettre les gros moyens (comme tous les ans) sur les dépenses énergétiques pour polluer la planète sans compter. Cette année, plus de 1000 jets privés ont été affrétés pour amener les participants, l'État-major suisse a mobilisé plus de 4000 militaires pour assurer la sécurité du forum économique.