Mathieu Kassovitz ou la haine anti-France

Depuis plus de 30 ans, le réalisateur et comédien juif Mathieu Kassovitz se définit comme un fervent défenseur du multiculturalisme universel, du métissage ainsi que de l'apport de la richesse de la diversité en France. Il combat avec rage les courants politiques qui s'opposent à la mise en place de cet universalisme, en particulier le RN et les identitaires patriotes.

Son film culte "La Haine", qui a obtenu le César du meilleur film en 1996, encensé par la critique et par toute la gauche progressiste, racontait déjà les péripéties de trois jeunes de banlieue, un Noir, un Arabe et un Juif en révolte contre le racisme systémique de la société française.

Haine de la police, haine des Blancs, haine de la France. Les minorités juives, arabes, musulmanes et noires, réunies pour lutter ensemble contre l'oppression de tout ce qui constitue l'identité et la culture française, on retrouve là toute la rhétorique du talmudisme messianique.

Dans cette scène extraite du film "La Haine", un Blanc est considéré comme raciste par sa seule apparence physique, et se fait insulter par deux des héros du film. Dans le but d'inculquer dans les mentalités que le Blanc est par nature raciste et intolérant.

Se définissant lui-même comme militant juif et protecteur de l'identité du Peuple Élu, Mathieu Kassovitz a récemment défrayé la chronique en affirmant sur la chaîne France 5 le 19 mai 2025 que "il n'y a plus de Français de souche, ça n'existe plus" !

Le 25 mai, il enfonce le clou sur LCI "Il y a des Français de souche, ça s'appelle des fins de race. Leurs enfants vont se mélanger avec les autres et c'est tant mieux pour nous tous (...) Vous voulez fermer les frontières et rester entre Blancs ? Ça ne marche pas !"

Un discours purement raciste, mais qui laisse cependant sans réaction les intervenants sur le plateau, ce qui montre la puissance du lobby juif interdisant toute réaction contestataire. Les journalistes se censurent eux-même de peur d'être mis au placard, voire même d'être condamnés.

Mathieu Kassovitz trouve là un moyen d'exprimer sa rancœur, son mépris et sa haine contre la France et les Français, sans que ces derniers n'aient le droit de réagir, car sinon, ils seraient immédiatement traités de racistes et de fachos nazis antisémites. Les Français sont donc condamnés à devoir disparaître en étant humiliés chez eux.

Imaginez un instant qu'un chroniqueur ait attaqué la communauté de Mathieu Kassovitz en déclarant que "il n'y a plus de juifs, ça n'existe plus, c'est une fin de race", il aurait été condamné à un procès, une amende et probablement à une peine de prison !

Par le passé dans un entretien pour le quotidien belge "La Libre", le réalisateur avait déjà exprimé son aversion pour la race blanche : 
"Dans 50 ans, il n'y aura plus de racistes, juste des poches de Blancs séparatistes. On va tous se mélanger; le métissage est inévitable. Et au bout d'un moment, cela ne fera même plus partie de la conscience commune de juger quelqu'un pour la couleur de sa peau, parce que tu sauras même plus de quelle couleur est sa peau."

En tant que juif talmudiste, Mathieu Kassovitz voue également une haine incommensurable à l'Église catholique, accusée de persécutions contre les Juifs.

En 1963, pendant la guerre froide, pour décrédibiliser le Pape Pie XII et l'Église catholique ouvertement anti-communiste, les soviétiques vont récupérer une fiction théatrale écrite par l'Allemand Rolf Hochhuth, "Le Vicaire", voulant montrer la prétendue inaction du Pape face à la barbarie nazie contre les Juifs, pour en faire un message de propagande politique.
En 2002, la pièce controversée de Hochhuth sera adaptée en film par le réalisateur Costa-Gavras, avec Mathieu Kassovitz dans le rôle d'un prêtre, Ricardo Fontana, qui n'a jamais existé dans la réalité.
Ce prêtre de fiction tente d'alerter le Pape qu'un génocide des Juifs est en cours, mais ce dernier reste froid, sourd et indifférent, expliquant qu'il "veut la paix à tout prix" avec Hitler, et ne fait donc rien. Il devient de fait un complice du nazisme.
Aucun des protagonistes proches du Pape tels Robert Leiber, d'Arcy Osborne, Ludwig Kaas ou Josef Müller, qui ont joué un rôle fondamental dans la résistance catholique au sein du Vatican, ne sont mentionnés dans le film.


L'affiche du film de propagande anti-catholique "Amen." de Costa-Gavras sorti en 2002, avec en vedette Mathieu Kassovitz dans le rôle d'un prêtre fictif. La croix chrétienne et la croix gammée sont entremêlées, dans le but de montrer une soi-disant complicité entre les actions du Pape Pie XII et le Reich nazi.

Cette propagande idéologique sans fondements, est largement démentie par les faits historiques, et la reconnaissance internationale des actions du Pape Pie XII, en particulier par la communauté juive.
Le 13 février 1945, Israële Zolli (1881-1956), Grand Rabbin de Rome, se convertit au catholicisme et prend pour nom de baptême Eugenio, en hommage à Pie XII.
En 1963, Pinchas Lapide, qui fut consul d’Israël à Milan pendant le pontificat de Pie XII, déclare au journal Le Monde :
"Je peux affirmer que le Pape, le Saint-Siège, les nonces et toute l’Eglise catholique ont sauvé de 150 000 à 400 000 juifs d’une mort certaine… L’église catholique sauva davantage de vies juives pendant la guerre que toutes les autres églises, institutions religieuses et organisations de sauvetage réunis".
(Le Monde le 13 décembre 1963).
"Pendant la décennie de terreur nazie, quand notre peuple a subi un martyre terrible, la voix du Pape s'est élevée pour condamner les persécuteurs...Nous pleurons un grand serviteur de la paix."
Golda Meir, Premier Ministre israélien, octobre 1958.

À noter que Mathieu Kassovitz est un militant juif de gauche, favorable à la diaspora édictée par le talmudisme messianique (Kabbale juive).
Kassovitz se rend actif par des pétitions auprès d'organisations internationales juives talmudistes comme l'UJFP ou encore le collectif Tsedek!, en guerre contre le racisme d'État français, l'islamophobie, menant un combat pour libérer la Palestine de l'occupant israélien, et luttant pour la défense des droits des personnes LGBTQ+.

Curieusement, Mathieu Kassovitz ne vit pas en banlieue parmi la diversité métissée afro-maghrébine qu'il chérit tant, mais a choisi son domicile à Vincennes, dans un quartier huppé du sud-est parisien en lisière du bois, parmi les bourgeois blancs, les Français de souche, qu'il dénigre tant.
Hypocrisie, quand tu nous tiens !

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