Pour forcer les Français à se faire vacciner à terme, le gouvernement met en place la vaccination obligatoire dans un premier temps pour les professions sensibles dites à risque (infirmiers, soignants, pompiers).
Il faut rappeler que la thérapie génique à ARN Messager est actuellement en phase expérimentale (phase 3) qui prendra fin le 27 octobre 2022 pour le vaccin Moderna, le 2 mai 2023 pour Pfizer.
Pour que le vaccin à thérapie génique puisse être administré, une personne doit être en pleine connaissance de cause et ne doit subir aucune contrainte.
Ce qui est évidemment contraire à la politique du pass sanitaire actuellement mise en place par le gouvernement Macron, qui condamne à une mort sociale les non-vaccinés.
En phase expérimentale, les scientifiques n'ont pour le moment pas de recul suffisant pour comprendre les mécanismes réels de la thérapie génique et ses conséquences à long terme sur l'organisme humain, en particulier avec l'apparition de nouveaux variants.
On constate avec l'expérience, que les vaccins ARN Messager n'empêchent pas la contamination, les anticorps produits au contact des protéines Spike créés dans les organismes des personnes vaccinées ne sont pas suffisants pour arrêter le virus.
Dans les Landes, le nouveau variant Delta a contaminé 23 personnes dans un EHPAD. 21 d'entre elles avaient été complètement vaccinées, et parmi elles, deux sont mortes.
Au Royaume-Uni, parmi les 117 morts du variant Delta, 50 étaient totalement vaccinés (42,7%) et 20 primovaccinées (17,1%). Autrement dit, 59,8% des personnes décédées en raison du variant Delta avaient reçu au moins une dose de vaccin.
Face à l'échec de l'expérimentation de la thérapie génique qui s'annonce, les différents gouvernements naviguent à vue :
- une nouvelle dose prévue avec Pfizer pour les personnes initialement vaccinées avec la thérapie génique Janssen en Islande, prévue au départ pour une seule dose. À noter que cette procédure n'a jamais été testée en phase 1, les cobayes testeurs vont subir à grande échelle les effets de cette thérapie pour la première fois !
- une troisième dose est prévue pour les personnes fragiles début septembre en Angleterre, Allemagne, Israël et en France, puis probablement pour le reste des déjà vaccinés, sans qu'on ait la moindre idée des conséquences.
L'efficacité des thérapies géniques n'est donc pas encore prouvée, par exemple, en Israël, en Islande, on programme un prochain reconfinement alors que la population est largement vaccinée.
Le docteur Kobi Haviv, directeur du Herzog Hospital de Jérusalem : « 85 à 90 % des hospitalisations concernent des personnes entièrement vaccinées »
Non seulement le vaccin semble inefficace avec l'apparition de variants, mais en plus il produit des effets secondaires non négligeables : en effet, des milliers de cas d'effets secondaires très graves et de morts ont été rapportés par les cobayes testeurs en France, mais sont soigneusement occultés par les mass-média, vous n'en entendrez jamais parler sur BFM TV, TF1, France Télévision ou CNEWS pour ne pas affoler la population.
À noter que le groupe Facebook recensant les personnes atteintes d'effets secondaires graves qui à l'origine comprenait plus de 270 000 abonnés, a été censuré.
Il est de nouveau en ligne (mais pour combien de temps ?).
Quelques exemples de cas secondaires rapportés après injection de la thérapie génique à ARN Messager
Différents témoignages d'infirmières qui constatent des effets secondaires graves après injection du vaccin Pfizer
Alerte sur le danger que représente les vaccins à ARN Messager, à voir absolument
Les concepteurs des thérapies géniques Pfizer et Moderna écrivent également noir sur blanc aux hôpitaux pour leur demander d'être extrêmement vigilants avec les vaccinés, spécialement chez les jeunes, car ils ont bien constaté un lien entre l'apparition de myocardites et péricardites après injection des thérapies géniques à ARN Messager.
Ces simples signaux d'alerte auraient du logiquement faire réagir le gouvernement et les instances médicales, pour arrêter immédiatement la campagne de vaccination obligatoire et interroger plus précisément les autorités sanitaires afin de voir ce qu'il faut préconiser de faire.
Mais non, aucune réaction.
Malgré cet immense scandale sanitaire qui s'annonce, cette fuite en avant vaccinale suicidaire et irresponsable fait fi de toutes recommandations éthiques et semble cacher des desseins autres que l'éradication même de la maladie.
Le président du Conseil Constitutionnel qui a acté en faveur de la mise en place du pass sanitaire, une obligation vaccinale déguisée, n'est autre que Laurent Fabius, impliqué il y a quelques années dans l'affaire criminelle du sang contaminé ayant fait des milliers de morts et des handicapés à vie.
Son fils, Victor Fabius, est le co-dirigeant du cabinet de consultants McKinsey qui assiste le gouvernement dans le plan de vaccination contre le covid-19. Il s'agit là encore d'une affaire de gros sous familiale qui se joue au détriment de la santé et de la vie des Français.
Plus de 7 milliards d’euros. C’est la somme astronomique versée par l’industrie pharmaceutique aux professionnels de santé dans onze pays européens en trois ans (de 2017 à 2019). Les conflits d'intérêts financiers ne sont probablement pas pour rien dans cette fuite en avant effrénée vers la vaccination généralisée.
La vaccination de masse pourrait devenir une bombe à retardement, un scandale sanitaire sans précédent dans l'histoire de la médecine. La responsabilité du gouvernement Macron serait alors directement engagée.
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