Vatican II ou l'œcuménisme dévoyé

L’œcuménisme est la digue qui protège l’Eglise contre les assauts de ses ennemis, intérieurs comme extérieurs : Elle garantit la mobilisation cohérente des défenseurs de la foi pour repousser les attaques qu’elle ne cesse de subir : A chaque fois que les fondations de l’Eglise ont été menacées, c’est par un concile œcuménique qu’elles ont été sauvées.

Mais, au XXe siècle, en laissant dévoyer le sens même du mot « œcuménisme », l’Eglise a ainsi laissé abattre le rempart de la foi. Alors, les dogmes et la théologie se sont dilués dans des thèses impies qui non seulement ont mené à l’apostasie la plupart des fidèles, mais ont encore permis aux traîtres infiltrés dans l’Eglise de se hisser jusqu’aux plus hautes instances, d’où il leur est facile de la détruire de fond en comble. C’est pourquoi il est important de rappeler ici ce qu’est vraiment l’œcuménisme originel, et comment l’idée s’en est trouvée dévoyée.

Rappelons tout d’abord que, parmi les 21 conciles œcuméniques ou conciles généraux de l’histoire de l’Eglise catholique, Vatican II est le seul qui n’a condamné ni rien ni personne. Les esprits naïfs ne pourront s’empêcher de trouver cela admirable, mais nous allons leur montrer à quel point ils se trompent.

Si l’on considère l’histoire de l’Eglise, on peut constater que les fauteurs d’hérésies ont œuvré sans relâche à tenter de la détruire, et ce dans tous les siècles : il s’agissait de tracer, sur le chemin des croyants, des déviations vers l’abîme, puis de poster aux carrefours de ces fausses routes des séducteurs pour dire aux fidèles : Quittez le chemin sur lequel vous êtes engagés, prenez cette bifurcation car elle vous mènera plus sûrement au salut !

Heureusement pour les fidèles, jusqu’au 20e concile (1er concile du Vatican, 1869-70, inachevé en raison de la guerre qui avait éclaté), l’Eglise veillait sur ces séductions surgissant de façon récurrente et, quand elles devenaient menaçantes, convoquait un concile œcuménique pour protéger les croyants qui, ainsi alertés, se détournaient d’une voie qui leur avait parfois semblé séduisante à première vue

  1. La perpétuelle litanie des hérésies

Ainsi, dès le premier siècle, saint Jean condamne la secte des nicolaïtes (Apocalypse, 2.6, 2.14-15, 2.20). Au quatrième siècle, l’arianisme menace d’emporter l’Eglise, car il y est majoritaire : Le salut viendra du premier concile œcuménique, celui de Nicée, tenu en l’an 325 pour rappeler la vraie doctrine et mettre fin à la séduction d’Arius ; en 431, le concile d’Ephèse condamne le nestorianisme ; en 451, sous Léon le Grand, le concile de Chalcédoine (4e Concile Général) condamne le monophysisme ; en 680, le 3e concile de Constantinople (6e CG), condamne le monothélisme ; en 787, le Second Concile de Nicée (7e CG) condamne l’iconoclasme…

et ainsi de suite jusqu’au long concile de Trente (19e CG, tenu en plusieurs sessions de 1545 à 1563) qui condamne le protestantisme, l’hérésie des hérésies qui, après l’effritement incessant fatalement induit par ses principes fondateurs, a mené logiquement à l’apostasie quasi-généralisée que nous connaissons aujourd’hui.

Les hérésies furent à vrai dire innombrables, posées comme autant d’obstacles sur le chemin du salut. A celles que nous avons citées plus haut, ajoutons les suivantes pour bien montrer qu’elles ont fleuri en abondance et en tout temps : montanisme, apollinarisme, macédonianisme, pélagianisme, semi-pélagianisme, manichéisme, donatisme, eutychianisme, origénisme, adoptionisme, catharisme, traducianisme, sabellianisme, tertullianisme… et la liste est encore incomplète. Le devoir des prélats est de protéger la Vigne du Seigneur contre les mauvaises semences qui menacent de l’étouffer : c’est bien le rôle du concile général de condamner les menaces de son temps contre la Vérité, et non de redéfinir la Vérité pour la diluer dans les vapeurs du temps.

 2. Synodes locaux et conciles œcuméniques

Comme toujours, un peu d’étymologie ne peut nuire à la bonne compréhension des termes : œcuménisme vient du grec oikoumenê qui signifie la terre habitée ou l’univers : On comprend donc pourquoi les conciles œcuméniques sont aussi dits généraux ou universels.

Pourquoi ce terme de concile général ou œcuménique ? Tout simplement parce que, de tout temps, l’Eglise a tenu des synodes ou conciles locaux pour confirmer ou rétablir la discipline morale, doctrinale ou simplement pratique dans le périmètre du territoire concerné : Un synode peut être national, provincial ou diocésain.

Par opposition à ces synodes locaux ne concernant qu’une partie limitée de l’Eglise, l’autorité pontificale peut organiser des conciles œcuméniques, appelés ainsi car ils réunissent l’universalité de l’Eglise, à savoir l’ensemble des évêques du monde catholique, « de toute nation, race, peuple et langue » (Apocalypse, 7.9). Ces conciles généraux ont alors une autorité doctrinale que n’ont pas les synodes locaux.

Il va de soi que pour l’Eglise, lorsqu’il s’agit de doctrine, le qualificatif « général » ne concerne nulle autre doctrine que la doctrine catholique : Lorsqu’une société anonyme tient son assemblée générale, elle n’a aucune raison de convoquer les actionnaires des sociétés concurrentes pour discuter de sa propre organisation et de ses orientations. Dans le cas de l’Eglise, cela est d’autant plus vrai que la vérité révélée par le Christ et consignée aux canons par la tradition des Pères, des conciles œcuméniques et des publications pontificales n’a pas à se remettre en question sous prétexte qu’il existe des hérésies.

Ainsi, que dirait-on d’un congrès d’astrophysique qui s’efforcerait de prendre en compte des cosmogonies erronées affirmant que la terre est plate ou que le soleil tourne autour de la terre, sous prétexte de ne pas froisser ceux qui ont la faiblesse d’esprit de croire à ces fadaises ?

Au contraire, c’est précisément parce que l’hérésie se renouvelle en tout temps que la vérité a besoin d’être protégée par l’Eglise, qui a pour devoir de condamner solennellement et aussi promptement que possible toute nouvelle erreur dès qu’elle surgit : Le travail principal des conciles œcuméniques n’a jamais consisté à modifier la vérité révélée, mais à condamner les désordres qui s’installaient dans l’Eglise et les erreurs qui la menaçaient.

Le problème est généralement d’autant plus prégnant que les plus redoutables ennemis ont toujours agi de l’intérieur de l’Eglise :

«  Ils sont sortis du milieu de nous, mais ils n'étaient pas des nôtres  » (1e épître de St Jean, 2.19)

  1. Fondement du Protestantisme

Il est connu que le Protestantisme étant fondé sur une division sacrilège, il s’est lui-même fragmenté en si nombreuses parties que nul ne peut dire combien il existe de sectes protestantes. Il est assez cocasse, d’ailleurs, de constater que des doctrines qui ont, par leurs séductions, coupé de l’Eglise des peuples entiers pour les diviser eux-mêmes ensuite en d’innombrables sectes concurrentes, viennent finalement verser des larmes de crocodile en déplorant la division dont elles sont elles-mêmes les causes directes ; la fragmentation récurrente du Protestantisme est inhérente au sacerdoce universel qu’il professe : en vertu du libre examen des Ecritures, il y a, à la limite, autant d’églises protestantes que de prétendus croyants  : le Protestantisme est purement hérétique au sens le plus étymologique de ce terme.

Tout Protestant qui déplore sincèrement l’effritement dont il est le fruit n’a qu’une chose à faire : se convertir au catholicisme et retrouver ainsi l’unité perdue, cause de ses gémissements. Mais cela implique l’humilité du repentir et la reconnaissance d’une sacralité transcendante, ce qui, pour l’orgueil du Protestant féru de libre examen, est une épreuve presque insurmontable.

  1. La WCFO, germe de la corruption

C’est en 1910 que fut projetée la « World Conference on Faith and Order »(WCFO), appelée en français « Conférence Mondiale sur la Foi et la Constitution des Églises ». Cette société d’origine anglo-saxonne et protestante prétendait œuvrer pour l’unité des églises « professant la croyance en la Trinité » : Par cette définition, elle avait bien entendu pour but d’inclure l’Eglise catholique. L’Eglise byzantine, elle aussi jalouse de la primauté catholique, ne manqua pas, dès 1920, de s’agréger à cette entreprise dont les credos contradictoires s’associaient contre toute logique, sinon celle de nuire à la seule véritable Eglise de Jésus-Christ.

Il va de soi, en effet, que la cible de ce congrès était l’Eglise catholique à laquelle, par ce prétendu appel à la fraternité, les Protestants ambitionnaient d’arracher l’autorité légitime dont elle seule est dépositaire sans discontinuer depuis Jésus-Christ à travers la consécration épiscopale d’abord conférée à saint Pierre, prince des apôtres, puis transmise par lui sans discontinuer jusqu’à ce jour par le sacrement de l’ordre.

  1. Le petit doigt dans l’engrenage

La première guerre mondiale retarda la tenue de la première conférence. Mais dès la fin de cette sinistre boucherie, les astucieux initiateurs de la WCFO repartirent de l’avant et parvinrent à obtenir audience auprès du pape Benoit XV(1914-1922), en 1919. Première erreur pontificale, qui fut par ailleurs la première audience officielle accordée par un pape à un protestant depuis le XVIe siècle. Malgré cette faiblesse, Benoit XV confirma tout de même l’exclusivité catholique du culte chrétien et interdit toute participation catholique à ce conciliabule sans autorisation préalable du Saint-Siège par un décret du Saint Office le 4 juillet 1919.

Sans se laisser décourager par le refus de Benoit XV, la WCFO tenta de nouveau sa chance avec son successeur Pie XI(1922-1939), en invitant l’Eglise catholique à participer à son premier congrès, tenu à Lausanne en 1927. Mais derechef, par un décret du Saint Office de 1927, le pape Pie XI défendit formellement à tout catholique de s’y rendre. Mieux encore, Pie XI condamna ce mouvement ‘panchrétien’ dans son encyclique « Mortalium Animos  » du 6 janvier 1928.

La WCFO ne baissa pas les bras pour si peu : Elle organisa un second congrès en 1937, à Edinbourg, cette fois, où fut décidée la création d’un Conseil Œcuménique des Eglises (COE), qui ne prit forme toutefois qu’en 1948 en raison de la seconde guerre mondiale.

Le mot était lâché : Conseil Œcuménique ! Il n’est pas anodin que les Protestants aient eu l’impudence de s’approprier ce vocable appartenant indiscutablement à l’histoire de l’Eglise catholique, car le but de ce Conseil hérétique n’était autre que de préparer le dévoiement du concept attaché à ce vocable. Ainsi, ils n’hésitèrent pas à frapper leur logo du mot grec « Oikoumenê » :

Le choix du vocable ‘Oikoumenê’ constitue ici une véritable usurpation, une violation de la tradition historique de l’Eglise, un cri de guerre lancé contre le catholicisme. Ce choix n’est pas anodin, car il préparait la trahison qui allait être opérée par Roncalli 12 ans plus tard, avant même l’ouverture du Concile Vatican II, comme nous allons le voir.

L’appropriation de ce vocable par cette assemblée d’usurpateurs est un cri de guerre appelant à l’union de tous contre le Christ et son Eglise :

« Et, de fait, ce sont des esprits démoniaques, des faiseurs de prodiges qui s’en vont rassembler les rois du monde entier pour la guerre, pour le Grand Jour du Dieu Maître-de-tout » (Apocalypse, 16.14)

Cette usurpation dialectique, alliée aux échos internes rendus par Yves Congar (cf §6) et ses amis, ne fut pas sans effet : Ainsi, au 3e congrès WCFO tenu à Lund en Suède en 1952, cette fois sous l’égide du COE fraîchement créé, l’évêque catholique de Stockholm envoya 4 observateurs : On peut voir dans cette seconde faute que 42 ans de manœuvres avaient déjà commencé à fausser l’esprit de l’Eglise, et que le relai interne fourni par Congar commençait à porter ses fruits : En faisant glisser l’adjectif « œcuménique » vers l’acception d’une association de religions contradictoires, ils transperçaient l’Eglise aussi sûrement que la couronne d’épines qui fut infligée à Jésus :

«  Ils tressèrent une couronne d'épines, qu'ils posèrent sur sa tête, et ils lui mirent un roseau dans la main droite ; puis, s'agenouillant devant lui, ils le raillaient, en disant : Salut, roi des Juifs !  » (Matthieu, 27.29)

  1. Congar, cheval de Troie de la WCFO

L’écho escompté dans l’Eglise par l’appel des Protestants à leur œcuménisme dévoyé ne tarda pas, puisque que le dominicain français Yves Congar publia, en 1937, juste avant le 2e congrès WCFO d’Edinbourg, son ouvrage « Chrétiens désunis. Principe d’un œcuménisme catholique » qui épousait parfaitement les vues de ce mouvement protestant : en supposant que l’œcuménisme doit inclure les hérétiques, on sous-entend que l’hérésie est égale en dignité à l’orthodoxie(1), qui aurait donc pour devoir de renégocier avec elle ce qui est vrai et juste. Du point de vue catholique, cette thèse est proprement irrecevable : Le pape Pie XI et son secrétaire, le futur Pie XII(1939-1958), ne furent d’ailleurs pas dupes un seul instant du piège qui était tendu à l’Eglise par la WCFO, et rejetèrent souverainement ces conciliabules hypocrites.

Nous pouvons nous demander aujourd’hui comment un théologien aussi inconsistant que Congar a pu jouir d’un tel prestige. Nous ne pouvons en cela nous empêcher de repenser à la prophétie de La Salette(2). Mais déjà le jour commence à poindre, signe que l’éclipse prendra bientôt fin…

Congar, se faisant l’écho du premier congrès Protestant de 1927, aidait le second par son ouvrage erroné et préparait le terrain du concile destructeur, en relayant à l’intérieur de l’Eglise le dévoiement de la notion d’œcuménisme. Cependant, comme il multipliait les erreurs doctrinales dans ses écrits, Congar fut sagement mis à l’écart par Pie XII, qui, en 1955, lui imposa le silence d’un monastère.

  1. Les « frères séparés » ou le triomphe de l’indifférentisme

Nous l’avons dit au début de cette étude, et nous le répétons ici : L’œcuménisme est la digue qui protège l’Eglise contre les assauts de ses ennemis, intérieurs comme extérieurs : Il garantit la mobilisation cohérente des défenseurs de la foi pour repousser les attaques qu’elle ne cesse de subir. En dévoyant le sens de ce concept, on prive l’Eglise de son rempart, et la théologie se dilue dans des élucubrations infâmes qui mènent à l’apostasie.

Elu le 28 octobre 1958 dans des conditions douteuses qui mériteraient à elles seules un article particulier, Angelo Roncalli (Jean XXIII) ne perdit pas de temps :

Dès le 25 janvier 1959, soit moins de trois mois après son élection, il annonça officiellement la convocation d’un concile œcuménique pour répondre, disait-il, au « besoin de mise à jour » (« aggiornamento ») du temps.

Moins de trois mois plus tard, en avril 1959, il fait retirer des prières du vendredi saint l’appel à la conversion des Juifs qui faisait partie de la liturgie depuis le VIIIe siècle : c’est là la première manifestation éclatante d’indifférentisme(6) de son pontificat, et la démonstration d’un souverain mépris de la tradition qui a toujours été la signature des francs-maçons infiltrés dans l’Eglise.

Frappant de plus en plus fort, et malgré l’incompatibilité insoluble entre le catholicisme et les hérésies, Jean XXIII créa, début juin 1960, le Secrétariat pour l’Unité des Chrétiens à la tête duquel il nomma le crypto-Juif Bea. Par sa seule existence, ce Secrétariat ouvrait la porte aux hérétiques en officialisant la nécessité d’un organe de dialogue entre l’Eglise et les hérésies et couronnait ainsi de succès les manœuvres protestantes de la WCFO et du COE en adoubant leur dévoiement impie de la notion d’œcuménisme. Il se retrouva alors face à une opposition de cardinaux orthodoxes(1) qui lui firent remarquer : « Mais, Votre Sainteté, ce sont des hérétiques, ils ont part avec Satan ! que viendraient-ils faire à ce concile, sinon y jeter le trouble ? » Le pape franc-maçon balaya leurs objections par cette simple réponse : « Ce sont nos frères séparés  ».

Cette apparente mansuétude cachait mal la filiation maçonnique de l’usurpateur, car elle sort tout droit de l’esprit indifférentiste (6) de la franc-maçonnerie, source de l’apostasie matérialiste qui a submergé le monde chrétien.

  1. Elargissement sans limite

Par une suite logique, en acceptant la suggestion de prendre en compte le culte byzantin et la nébuleuse protestante sous prétexte qu’ils se prétendaient chrétiens tout en ne l’étant pas vraiment, plus rien n’empêchait l’Eglise d’inclure ensuite d’autres religions dans ses considérations théologiques ou pastorales :

Ainsi, à peine nommé à la tête du Secrétariat, le cardinal Bea se rendit à New-York le 9 juin 1960 pour y rencontrer John Oesterreicher, fondateur du très douteux Institute of Judaeo-Christian Studies de l’université catholique de Seton Hall, qui lui ouvrit de fructueuses relations avec des instances juives américaines pour recueillir leurs suggestions afin d’expurger de la théologie et de la liturgie catholique ce qui pouvait leur déplaire !

Pour faire aboutir ce projet, dès le 18 septembre 1960, Bea obtint du pape l’extension du champ de compétences du Secrétariat pour l’Unité des Chrétiens à la question des Juifs. D’ailleurs, les commentaires et analyses parlant de ce secrétariat omirent de plus en plus fréquemment le complément « des chrétiens » pour parler seulement de « Secrétariat pour l’Unité ».

Cela aboutit sous Paul VI (1963-1978), antipape de naissance juive et continuateur du concile Vatican II jusqu’à son terme (8 décembre 1965), à la déclaration Nostra Aetate, publiée le 28 octobre 1965 lors de la 4e session du concile, qui se prosternait littéralement devant les Juifs et adressait des clins d’œil racoleurs à l’islam, pour culminer plus tard dans les « prières pour la paix » d’Assise initiées par Jean-Paul II (1978-2005) en 1986, qui passaient la vitesse supérieure, si l’on peut dire, en quittant la sphère monothéiste pour s’étendre aux cultes hindouiste, bouddhiste, animiste, et à tous les polythéismes de la planète.

On peut alors considérer que le concile Vatican II ne fut pas un concile œcuménique, mais une sorte de foire des religions, un conciliabule entre religions contradictoires. Pour une ouverture au monde, ce fut une ouverture au monde…

Là où les vingt conciles précédents avaient eu à cœur, en condamnant fermement les hérésies de leur temps par des réfutations théologiques circonstanciées afin de garder le cap du salut face aux vents pervers qui n’ont jamais manqué de souffler de toute part sur la Barque de Pierre, Le concile Vatican II ouvrit grand la porte à toutes les hérésies, n’en condamnant aucune, les recevant même avec beaucoup d’honneurs et allant jusqu’à cette posture inouïe dans l’histoire des conciles, qui consiste à proférer des formules ambiguës ouvrant la voie aux interprétations erronées en vue de livrer l’Eglise aux mains de ses ennemis. Il réalise ainsi l’action de la franc-maçonnerie parfaitement décrite par Léon XIII (1878-1903) :

« (…) le but de leur secret dessein : à savoir, de proclamer que le moment est venu de supprimer la puissance sacrée des Pontifes romains et de détruire entièrement cette Papauté qui est d'institution divine. » ( encyclique Humanum Genus, Léon XIII, 1884 )

Mais comment fut-il possible d’endormir à ce point la vigilance des pères du concile ?

  1. Le corbeau et le renard, ou l’euphorie du flatté

Nous tenons ici pour très probable le fait que l’élection de John Fitzgerald Kennedy à la présidence des Etats-Unis d’Amérique en novembre 1960 fut favorisée par l’appareil maçonnique pour préparer le concile Vatican II : En effet, Kennedy, quoique franc-maçon, fut le seul président officiellement catholique de l’histoire des Etats-Unis, ce qui explique son élection au moment opportun ; mais aussi, quoique franc-maçon, il avait gardé de nombreuses valeurs fondamentales du catholicisme, qui le mirent en opposition radicale avec l’Etat profond, auquel il s’attaqua de front , notamment par son remarquable discours à la presse du 27 avril 1961, commençant par ces mots :

« Le mot ‘secret’ est en lui-même répugnant dans une société libre et ouverte ; et nous, en tant que peuple, sommes intrinsèquement et historiquement opposés aux sociétés secrètes, aux serments secrets et aux actions secrètes. Nous avons décidé, il y a longtemps, que les dangers qu’il y a à tenir cachés, de manière excessive et incontrôlée, des faits significatifs, dépasse de loin les dangers mis en avant pour justifier cette mise au secret(…) » (J.F Kennedy, discours à la presse du 27 avril 1961)

Fustiger ainsi le ‘secret’ ne pouvait que déplaire aux sociétés du même nom. D’ailleurs, en novembre 1963, tandis que l’issue du concile était désormais certaine, tous les leviers étant alors solidement arrimés aux corps occultes sournoisement implantés dans l’Eglise par la franc-maçonnerie, Kennedy fut assassiné dans des circonstances restées mystérieuses, dont Henri Verneuil exposa une analyse crédible dans son film « I…comme Icare » en 1980, montrant que c’est l’ « Etat profond » lui-même qui s’est débarrassé d’un justicier encombrant dont il n’avait plus besoin.

Replaçons-nous dans le contexte de l’époque : En 1960, l’Eglise catholique semble au faîte de sa puissance, les conversions de Juifs et de Protestants depuis un siècle sont nombreuses (et notamment John Newman, Julien Green, Bergson, Simone Weil(3), Edith Stein, Israël Zoller…) les églises des nations catholiques sont pleines chaque dimanche et, malgré un goût prononcé pour la déraison fantastique, venu de l’influence américaine et du choc de la seconde guerre mondiale, la jeunesse européenne est toujours très largement croyante et assez massivement pratiquante, hormis toutefois quelques groupes, d’élite ou populaires, égarés par les sirènes du marxisme. En France, les séminaires se remplissent dans chaque département : A titre d’exemple, la seule Bretagne ordonnait plus de prêtres en 1960 que toute la France en 2020 ! En 1960, le Vatican est comblé de dons par tous les continents, les ordres réguliers ouvrent de nouveaux monastères et les missions vers le tiers-monde sont encore nombreuses et fructueuses : Ainsi, en apparence, l’Eglise semble aller mieux que jamais.

C’est dans ce contexte que J.F Kennedy devient le premier président catholique (mais aussi le dernier…) de la plus puissante nation du globe, alors elle aussi au faîte de sa gloire : Cette élection semble donner au catholicisme un ascendant irrésistible qui va lui conférer une autorité nouvelle sur l’ensemble de la planète, et d’autant plus que depuis le démantèlement de l’empire Ottoman, l’islam politique, obstacle sérieux à la conversion du monde, est en berne. Il ne se réveillera que bien plus tard, en 1979.

C’est alors que Roncalli peut convoquer le second concile œcuménique du Vatican. Plus rien ne semble pouvoir arrêter la conversion des impies, et l’élection de Kennedy en est le symbole le plus éclatant : Il faut donc appeler le monde au « dialogue », maître-mot de Vatican II, l’idée étant que ce dialogue ne pourra que mener à la conversion des brebis égarées. Il était nécessaire de créer ce climat d’assurance de l’ascendant irrésistible du catholicisme, afin d’amener les orthodoxes(1) à baisser la garde puisque le triomphe final de l’Eglise sur le monde semblait si proche. Et l’élection de John Kennedy ne put que contribuer fortement à atteindre cet effet psychologique escompté.

  1. Sabotage dès l’ouverture du concile

Angelo Roncalli, « Homme de l’année 1962 » selon la presse américaine

C’est, en effet, dans cette euphorie d’un catholicisme apparemment triomphant que le concile a été lancé en octobre 1962, et sa prise en main par la secte judéo-maçonnique a été opérée de main de maître : le cardinal Ottaviani, préfet du Saint-Office et cardinal orthodoxe(1), fut la première cible de l’action des traîtres : Ils commencèrent par contester l’ordre du jour des premières réunions. Ce sabotage fut mené par le franc-maçon Liénart(4), alors évêque de Lille : Le 13 octobre 1962, troisième jour du concile, Liénart se leva solennellement et prit la parole, alors qu’elle lui avait pourtant été refusée, pour exiger que fussent rejetés les travaux préparatoires du cardinal Ottaviani.

Bien que les vociférations de Liénart pour renverser Ottaviani n’entrainassent qu’un tiers des votes, soit environ 820 évêques sur plus de 2200, ce tiers constituait un séisme suffisant pour permettre à Roncalli de neutraliser définitivement l’orthodoxie(1), au prétexte de ramener le calme dans le concile. Ainsi, les orthodoxes durent s’incliner, et les commissions les plus douteuses purent alors fleurir sans vergogne dans ce concile qui allait devenir le plus misérable de l’histoire de l’Eglise.

L’audace de Liénart et de ses amis, au rang desquels il faut inscrire Ratzinger, le futur Benoît XVI (2005-2013), fut pour ainsi dire prophétisée par saint Pie X :

« (…) les artisans d'erreurs, il n'y a pas à les chercher aujourd'hui parmi les ennemis déclarés. Ils se cachent(…) dans le sein même et au cœur de l'Eglise(…). Nous parlons (…) de prêtres, qui, sous couleur d'amour de l'Eglise, absolument courts de philosophie et de théologie sérieuses, imprégnés au contraire jusqu'aux moelles d'un venin d'erreur puisé chez les adversaires de la foi catholique, se posent, au mépris de toute modestie, comme rénovateurs de l'Eglise ; qui, en phalanges serrées, donnent audacieusement l'assaut à tout ce qu'il y a de plus sacré dans l'œuvre de Jésus-Christ, sans respecter sa propre personne, qu'ils abaissent, par une témérité sacrilège, jusqu'à la simple et pure humanité » (St Pie X, Encyclique Pascendi Dominici Gregis, §2, 8 septembre 1907).

  1. L’angoisse de la menace nucléaire, ou la paix à tout prix

Le second appui politique en faveur de l’hétérodoxie est l’obsession de la « paix », particulièrement prégnante en cette période de guerre froide où une 3e guerre mondiale faillit éclater lors de l’affaire des missiles de Cuba, qui éclata comme par hasard le 16 octobre 1962, c'est-à-dire 5 jours seulement après l’ouverture des travaux préparatoires du concile : la vision apocalyptique d’une guerre nucléaire évitée de justesse contribuait à pousser les prélats à rechercher avant tout la paix : il fallait donc avoir pour souci principal de n’indisposer personne, plutôt que d’affirmer avec intransigeance la rigueur d’une doctrine qui ne peut que froisser ceux qui la refusent : et comment en serait-il autrement ? Car le moins qu’on puisse dire est bien que Jésus, lui, n’a pas hésité, pour défendre la vérité, à froisser les docteurs du Sanhédrin :

«  Malheur à vous, scribes et pharisiens hypocrites ! parce que vous fermez aux hommes le royaume des cieux ; vous n'y entrez pas vous-mêmes, et vous n'y laissez pas entrer ceux qui veulent entrer. »(Matthieu, 23.13)

  1. Les particularités de Vatican II

Ce double appui d’un optimisme béat sur le plan religieux et d’un angoissant besoin de paix sur celui des nations exerça une si forte pression sur les défenseurs de l’Eglise qu’ils ne purent que baisser la garde face aux assauts effrontés des judéo-maçons qui l’avaient infiltrée jusqu’à son sommet et purent alors organiser les grands chahuts qui dévièrent les orientations des travaux préparatoires du cardinal Ottaviani.

Ce qui distingue clairement Vatican II des vingt autres conciles œcuméniques de l’Histoire de l’Eglise, ce sont trois choses :

  •  Le dévoiement du concept d’œcuménisme aboutissant à la participation de sectes hérétiques, ennemies de l’Eglise, en tant qu’observateurs auxquels on a laissé le droit de faire des remarques ou des recommandations, que l’Eglise s’est ensuite efforcée de satisfaire.
  •  L’absence de condamnation des doctrines hérétiques du temps, à commencer par le communisme, cette fournaise satanique qui a exterminé plus de 80 millions d’hommes, de femmes et d’enfants.
  • L’obsession d’adresser à toute religion hérétique ou païenne des paroles complaisantes visant à faire oublier l’intransigeance traditionnelle de l’Eglise envers les hérésies. De là cet esprit de minauderie qui caractérise, depuis Vatican II, la parole des prélats catholiques.
  1. La minauderie, clef de la stratégie conciliaire

La religion universelle est ouverte à tous les hommes, au sens où elle les invite à se convertir à une vérité qu’elle n’a pas créée à partir de conjectures humaines, mais qui a été révélée par Jésus-Christ, Dieu fait homme.

Par conséquent, l’Eglise catholique, réceptacle légitime de la révélation car fondée par le Christ lui-même, n’a pas à se soucier des élucubrations de sectes qui prétendent parler à sa place. Pourtant, il est clair, au sujet des Juifs et des Protestants, que ces groupes hérétiques eurent une réelle influence sur le concile Vatican II.

C’est de cette minauderie accouchée par ce concile, et dont il fut l’un des principaux artisans, que l’antipape Wojtyla, alias Jean-Paul II, proclama l’énormité suivante : « Il existe une part de salut dans l’islam », avant d’aller solennellement embrasser le Coran, tissu d’erreurs et de blasphèmes(7) selon la foi catholique, sous le regard effaré des chrétiens encore conscients, et sous le sentiment d’ivresse victorieuse de musulmans qui n’en croyaient pas leurs yeux.

Car, en effet, la minauderie est le maître-mot de l’Eglise conciliaire depuis qu’elle a abjuré la véritable foi : Ne condamner personne, voilà comment séduire le monde, laissent penser ces stratèges de la duplicité. Le résultat de cette attitude est que non seulement elle n’a rallié à l’Eglise aucune communauté, mais elle a eu pour principal effet, tout en égarant profondément ceux qui voulurent à tout prix rester dans l’obéissance à Rome, de faire fuir les fidèles qui, constatant que ce qu’on leur avait présenté comme absolu ou « de foi » dans le catéchisme de leur enfance était devenu relatif et facultatif, eurent le sentiment que l’on s’était moqué d’eux et qu’il ne servait à rien de demeurer dans cette Eglise où la vérité qu’ils avaient crue éternelle pouvait changer du jour au lendemain.

En ce qui concerne les hérétiques, l’Eglise n’a jamais eu pour devoir de les inviter à réviser avec elle la doctrine universelle, puisqu’ils refusent d’y souscrire, mais son seul devoir est de les appeler sans relâche au repentir et à la conversion, dont la possibilité leur est toujours offerte, jusqu’au seuil de la mort.

De fait, ce n’est pas en ne condamnant pas que l’Eglise fait preuve de générosité. Au contraire, en ne condamnant plus les hérésies, elle livre les hommes à eux-mêmes, les privant de la bienveillante protection maternelle que leur accordait jadis l’épouse du Christ en leur servant de boussole, et à part quelques élus chanceux, ils ne sont pas de taille à lutter contre « l’énorme Dragon, l’antique Serpent, le Diable ou le Satan, le séducteur du monde entier »  (Apocalypse, 12.9). C’est ainsi que les rangs de l’Eglise se sont dépeuplés d’année en année, depuis que ses ennemis en ont pris la tête, et que les conversions, si nombreuses de Pie IX à Pie XII, se sont raréfiées.

  1. L’intransigeance de la véritable Eglise

La minauderie conciliaire a culminé l’an dernier dans le pur blasphème de la prosternation des prélats, « pape » compris, devant la déesse païenne Pachamama : cette image « d’ouverture » est une misérable supercherie qui retombera sur la tête de ces imposteurs-apostats, qui sont d’autant plus coupables qu’est élevée leur position dans l’Eglise.

L’attitude de ces prélats consistant à minauder devant les ennemis de l’Eglise tout en traitant par le mépris les Catholiques choqués par leur impiété de plus en plus manifeste, est un genre de négatif photographique des temps apostoliques, dont ils ont pourtant l’outrecuidance de se prétendre plus proches que ne le furent ceux qui précédèrent leur sinistre Concile, en vertu d’un soi-disant retour aux sources de la foi qui n’en est au contraire qu’une pure négation, une poudre aux yeux dialectique qui dissimule bien mal leur perfide apostasie.

 Jésus, lui, n’a jamais dit à ses apôtres que pour avoir la paix, il fallait s’efforcer de plaire à tout le monde, mais il leur a dit :

« Si vous étiez du monde, le monde aimerait ce qui est à lui ; mais parce que vous n'êtes pas du monde, et que je vous ai choisis du milieu du monde, à cause de cela le monde vous hait. » (Evangile selon St-Jean, 15.19)

Mais aussi dans l’Evangile selon saint Matthieu :

« Alors on vous livrera aux tourments, et l'on vous fera mourir ; et vous serez haïs de toutes les nations, à cause de mon nom. » (Matthieu ,24.9)

Devant le sanhédrin, qui l’accusait de s’être proclamé Fils de Dieu et voyait là un blasphème méritant la mort, il répondit sans crainte de l’inévitable condamnation qui allait suivre :

« Ils dirent tous : " Tu es donc le Fils de Dieu ? " Il leur répondit : " Vous le dites : je le suis. " » (Luc, 22.70)

Prophétisant le martyre qui frappa les chrétiens durant plus de 3 siècles et qui les frappe à nouveau depuis 14 siècles, Jésus déclara :

«  (…) et même l'heure vient où quiconque vous fera mourir croira rendre un culte à Dieu.  » (Jean, 16.2)

Saint Pierre et saint Jean, comparaissant à leur tour devant le sanhédrin :

« Et les ayant appelés, ils leur défendirent absolument de parler et d'enseigner au nom de Jésus. Pierre et Jean leur répondirent : Jugez s'il est juste, devant Dieu, de vous obéir plutôt qu'à Dieu ; car nous ne pouvons pas ne pas parler de ce que nous avons vu et entendu. » (Actes des Apôtres, 4.18-20)

Concernant les paganismes ou les hérésies qui nient la Trinité, il est écrit :

« Qui est menteur, sinon celui qui nie que Jésus est le Christ ? Celui-là est l'antéchrist, qui nie le Père et le Fils. Quiconque nie le Fils n'a pas non plus le Père ; quiconque confesse le Fils a aussi le Père.  » (Jean, 2.22-23)

L’Eglise n’a donc rien à négocier avec ceux qui contestent les vérités révélées : elle a juste à les appeler à la conversion, quelle que soit leur origine, et inlassablement..

Mais aujourd’hui, pour la première fois de son histoire, la première chose que l’Eglise ait à faire est de revenir à elle-même en chassant les traîtres qui ont pris possession de l’autorité épiscopale dans le but de la détruire. Quand le pouvoir reviendra à de vrais évêques, leur premier devoir sera de congédier les sectaires, déchirer les édits licencieux et abroger les canonisations sacrilèges de ces soixante années de ténèbres

Pierre Mellifont.

 Notes

  1. Dans ce texte, nous n’utilisons le terme orthodoxie que dans son sens véritable, et non en référence aux membres de l’Eglise de Constantinople, que nous appellerons Byzantins, le terme orthodoxes souvent employé pour les désigner constituant selon nous une erreur de langage en raison de la confusion qu’il peut entrainer, mais aussi parce qu’il n’a aucune raison de s’appliquer à une contre-Eglise schismatique, même si elle est doctrinalement la plus proche de l’Eglise catholique.
  2. « Rome perdra la foi et deviendra le siège de l’Antéchrist. L’Eglise sera éclipsée, le monde sera dans la consternation  », apparition de Notre-Dame à La Salette, 19 septembre 1846.
  3. Simone Weil fut une mystique et intellectuelle juive convertie au catholicisme, décédée en 1943, à ne pas confonde avec Simone Veil, qui promut l’avortement. Noter d’ailleurs la différence orthographique (Weil et non Veil)
  4. Le Cardinal Liénart confessera au soir de sa vie avoir été initié à la F-M dès l’âge de 17 ans.
  5. Paul Naudon, La Franc-Maçonnerie, Collection Que sais-je, 9e édition, 1984, p.28
  6. L’indifférentisme est l’hérésie définie par le pape Grégoire XVI le 15 aout 1832 dans son encyclique « Mirari Vos » : c’est la doctrine maçonnique affirmant que le salut peut être obtenu par soi-même sans le secours de la foi en Jésus-Christ. En d’autres termes, pour l’hérésie indifférentiste, toutes les religions se valent et croire au Christ ou non n’est pas déterminant.
  7. Le verset suivant, haineux et malveillant, est tiré du Coran et constitue un pur blasphème contre la doctrine catholique de la Trinité : « Les Chrétiens ont dit : "Le Messie est fils de Dieu ! " Telle est la parole qui sort de leur bouche. Ils répètent ce que les incrédules ont dit avant eux. Que Dieu les anéantisse ! Ils sont tellement stupides ! » (Coran, 9.30). Le Coran contient une soixantaine de versets semblables à celui-ci…

Le nazisme, un idéal socialiste révolutionnaire anticapitaliste

Le nazisme est un socialisme révolutionnaire anticapitaliste qui nie le Péché Originel, et affirme donc que l'homme est naturellement bon et à même de définir par lui-même le destin de la totalité de la collectivité des peuples. C'est la société qui est défaillante et qu'il faut reconstruire : le socialisme.

Il faut rendre un culte à l'État, en organisant un contrôle total par les gouvernements, des institutions, des moyens de production, de l'éducation des masses, avec ou sans leur consentement, pour corriger les dysfonctionnement de la condition humaine.

Comment les dirigeants ont-ils la connaissance du Bien et du Mal pour assurer la pérennité du peuple ? C'est selon les modes, le caractère des gouvernants qui imposent leurs propres convictions morales et idéologiques, dépendant de leur formation politique, sans l'autorité Divine, d'où le véritable poison du socialisme, qui a envoyé à la mort tous ceux qui refusaient de se plier au dogmatisme de l'État social.

L'expérience du socialisme pendant le XXème siècle a particulièrement mis en évidence les défaillances de ce système. Prétendre maîtriser le fonctionnement d'une population, l'identifier comme un mécanisme dont il suffit d'ajuster les quelques défaillances à coups de tournevis sur des rouages, est un leurre.

Histoire de la terreur communiste

Partout, sous toutes ses formes (communisme, bolchevisme, marxisme, léninisme, trotskisme, stalinisme, castrisme, maoïsme, ..), le socialisme a condamné des millions de femmes, enfants, vieillards à la mort dans des camps d'extermination.

On veut aujourd'hui nous faire croire que nous vivons dans un parangon de vertu, un monde de liberté, alors que la carcan de la doctrine socialiste est toujours aussi insidieusement présent.

Bien entendu, on ne peut comparer le système socialiste actuel avec celui des camps de concentration du communisme russe ou chinois, mais à y regarder de plus près, dans les lois de la république française, l'État intervient et impose sa doctrine dans tous les domaines de la vie sociale d'un individu : son éducation, sa scolarité, son parcours professionnel, etc... ce qui est un système proprement socialiste.
A-t-on par ailleurs déjà oublié qu'il n'y a pas si longtemps, le gouvernement français vous a obligé à vous faire vacciner (sinon, plus de restaurants, piscines, cinéma et salles de sport), à porter un masque dans la rue, et que pendant des mois, vous a même interdit de sortir de chez vous durant la journée, sans un certificat dérogatoire ?
L'État peut du jour au lendemain bloquer vos comptes bancaires ou vous détruire socialement, sans aucune forme de jugement ni de procès, si il considère que vous êtes un danger pour le système.

Pour ne pas alarmer la population, Il est cependant nécessaire de mettre en place un semblant de démocratie, l'illusion que le peuple est maître de son destin, alors qu'en réalité, les candidats triés sur le volet prêchent plus ou moins la même doctrine socialiste, sinon, ils sont évidemment exclus du système.

Pour garder l'emprise sur les masses, il faut également déformer l'histoire du socialisme pour en occulter ses facettes monstrueuses. Ce n'est que très récemment que les historiens et intellectuels ont fait l'effort, bien après les précurseurs Alexandre Soljenitsyne et Vladimir Boukovsky, de critiquer de manière négative l'idéologie socialiste et ses similarités avec les structures de l'Union Européenne actuelle.

On va voir que le nazisme coche toutes les cases pour être classée comme une doctrine socialiste. Pourquoi a-t-il été mis à part des autres doctrines ?
Tout d'abord parce qu'il échoua dans le camp des vaincus de la deuxième guerre mondiale, et donc voué à l'ostracisme et à la diabolisation, en particulier pour son rôle joué dans la persécution des Juifs. Le nazisme incarne auprès de nos élites et média, le mal absolu.

Assimiler le nazisme à l'extrême-droite permet de discréditer tous les mouvements conservateurs et nationalistes de droite, et donc de laisser libre cours à la propagation du socialisme.

Le Parti nazi est qualifié d'extrême-droite par les élites et les mass média progressistes, alors que aucun de ses principaux doctrinaires n'a jamais appartenu, ni de près ni de loin, à un quelconque mouvement conservateur. Ils sont tous, par principe, de fervents idéologues issus du socialisme révolutionnaire anticapitaliste.
C'est d'autant plus ubuesque que les créateur du nazisme ont eux-même donné à leur mouvement le nom de National-Socialisme, donc fondamentalement opposé à l'extrême-droite ! Qu'a de commun le nazisme avec le socialisme ? On va constater que le nazisme est fondamentalement un mouvement socialiste révolutionnaire et anticapitaliste.

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ANTICAPITALISME ET ANTISÉMITISME

Pour les socialistes, la solidarité et le partage n'est pas conciliable avec le capitalisme, c'est-à-dire avec le profit sans limites dans les mains de spéculateurs sans foi ni loi, qui s'enrichissent au détriment des travailleurs sans rien produire.
Dès ses débuts au XIXème siècle, l'idéologie socialiste, par ses doctrinaires et intellectuels tels Karl Marx, Pierre-Joseph Proudhon, Charles Fourier, Jean Jaurès, Émile Zola, ... voyaient les Juifs comme les maîtres du capitalisme mondial qui s'accaparaient des richesses du monde, et qu'il fallait donc mettre hors d'état de nuire.

"Le Juif est l’ennemi du genre humain. Il faut renvoyer cette race en Asie ou l’exterminer."
Pierre-Joseph Proudhon

"Nous reconnaissons donc dans la juiverie un élément antisocial actuel et général, qui a été porté jusqu'à son niveau présent par l'évolution historique à laquelle les juifs ont, sous ce mauvais rapport, collaboré avec zèle; et à ce niveau il doit nécessairement se dissoudre. Dans sa signification dernière, l'émancipation des juifs est l'émancipation de l'humanité à l'égard de la juiverie."
"Quel est le fond séculier de la juiverie ? Le besoin pratique, l'intérêt personnel.
Quel est le culte séculier du juif ? Le marchandage.
Quel est son Dieu séculier ? L'argent."
"Eh bien ! En s'émancipant du marchandage et de l'argent, par conséquent de la juiverie réelle et pratique, l'époque actuelle s'émanciperait elle-même. Une organisation de la société qui supprimerait les conditions préalables du marchandage, et donc la possibilité du marchandage, aurait rendu le juif impossible. La conscience religieuse du juif se dissiperait comme une fade buée, dans l'air vital véritable de la société."

"Sur la question juive" - Karl Marx (1844)

"Les Juifs, par l'usure, l'infatigable activité commerciale et l'abus de l'influence politique, accaparent peu à peu la fortune, le commerce, les emplois publics (…). Ils tiennent une grande partie de la presse, les grandes institutions financières, et quand ils n'ont pu agir sur les électeurs, ils agissent sur les élus."
Jean Jaurès - Voyage en Algérie en 1895

"Il pénétra dans l’angle de droite, sous les arbres qui font face à la rue de la Banque, et tout de suite il tomba sur la petite bourse des valeurs déclassées : les « Pieds humides », comme on appelle avec un ironique mépris ces joueurs de la brocante, qui cotent en plein vent, dans la boue des jours pluvieux, les titres des compagnies mortes. Il y avait là, en un groupe tumultueux, toute une juiverie malpropre, de grasses faces luisantes, des profils desséchés d’oiseaux voraces, une extraordinaire réunion de nez typiques, rapprochés les uns des autres, ainsi que sur une proie, s’acharnant au milieu de cris gutturaux, et comme près de se dévorer entre eux. Il passait, lorsqu’il aperçut un peu à l’écart un gros homme, en train de regarder au soleil un rubis, qu’il levait en l’air, délicatement, entre ses doigts énormes et sales."
Émile Zola - Les Rougon-Macquart - L'Argent (1891)

"Est-ce qu’on a jamais vu un juif faisant œuvre de ses dix doigts ? est-ce qu’il y a des juifs paysans, des juifs ouvriers ? Non, le travail déshonore, leur religion le défend presque, n’exalte que l’exploitation du travail d’autrui. Ah ! les gueux ! Saccard semblait pris d’une rage d’autant plus grande, qu’il les admirait, qu’il leur enviait leurs prodigieuses facultés financières, cette science innée des chiffres, cette aisance naturelle dans les opérations les plus compliquées, ce flair et cette chance qui assurent le triomphe de tout ce qu’ils entreprennent. À ce jeu de voleurs, disait-il, les chrétiens ne sont pas de force, ils finissent toujours par se noyer ; tandis que prenez un juif qui ne sache même pas la tenue des livres, jetez-le dans l’eau trouble de quelque affaire véreuse, et il se sauvera, et il emportera tout le gain sur son dos. C’est le don de la race, sa raison d’être à travers les nationalités qui se font et se défont.
Et il prophétisait avec emportement la conquête finale de tous les peuples par les juifs, quand ils auront accaparé la fortune totale du globe, ce qui ne tarderait pas, puisqu’on leur laissait chaque jour étendre librement leur royauté, et qu’on pouvait déjà voir, dans Paris, un Gundermann régner sur un trône plus solide et plus respecté que celui de l’empereur."

Émile Zola - Les Rougon-Macquart - L'Argent (1891)

On voit que l'antisémitisme de Adolf Hitler et des dignitaires nazis ne fut pas une de leurs inventions, mais une reprise de slogans antisémites (Juifs au nez recourbé, doigts longs, visage et cheveux gras, spéculateurs, profiteurs, comploteurs,...) dans l'air du temps, et déjà connue et véhiculée par des idéologues socialistes du XIXème siècle.

Les doctrinaires du Parti nazi (tels Anton Drexler, Gottfried Feder, Joseph Goebbels, Gregor et Otto Strasser, Hermann Göring, Adolf Eichmann, Hermann Rauschning ...) étaient tous issus de la gauche socialiste.
Anton Drexler est le fondateur du Parti Ouvrier Allemand (DAP, Deutsche Arbeiterpartei). Le 12 septembre 1919, impressionné par les talents oratoires d'Adolf Hitler, il lui offre une petite brochure dont il est l'auteur : "Mein politisches Erwachen. Aus dem Tagebuch eines deutschen sozialistischen Arbeiters" (Mon réveil politique. Extrait du journal d'un travailleur socialiste allemand).
Ce qui convaincra Hitler d'adhérer au Parti Ouvrier Allemand dès 1919.
Par son charisme et ses dons oratoires, Hitler prend le commandement du Parti et change son nom en Parti Ouvrier National Socialiste Allemand (NSDAP, Nationalsozialistische Deutsche Arbeiterpartei), en expliquant le pourquoi de cette juxtaposition de noms, a priori contradictoires :
"Naionalisme et Socialisme sont deux conceptions identiques. Ce n'est que le Juif qui a réussi, en falsifiant l'idée socialiste et en la transformant en Marxisme, non seulement à séparer l'idée socialiste de l'idée nationaliste, mais surtout à les présenter comme eminemment contradictoires. Et il a effectivement atteint ce but. À la fondation de ce mouvement, nous avons pris la décision que nous exprimerions notre idée de l'identité de ces deux conceptions : malgré tous les avertissements, nous avons choisi, à partir de nos croyances et de par la sincérité de notre volonté, de l'intituler National-Socialisme."

"Pour nous, être nationaliste signifie avant tout agir en étant motivé par un amour sans limite et total pour le peuple, et être prêt, si nécessaire, à mourir pour lui. De le même façon, être socialiste signifie bâtir l'État et la communauté des hommes de manière à ce que chaque individu agisse dans l'intérêt de la communauté des hommes, et qu'il soit convaincu de la bonté et de la clairvoyance de cette communauté d'hommes, au point d'être prêt à mourir pour elle."
Adolf Hitler - Discours de Munich - 12 avril 1922

Le socialisme est indissociable de l'État nation, car par principe, le socialisme exprime la solidarité d'un peuple,  c'est le Juif qui aurait donc dénaturé l'idée de socialisme.

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"Ma sensibilité politique était à gauche; en tous cas, les tendances socialistes étaient tout aussi présentes que les tendances nationalistes."  
Adolf Eichmann - Mémoires

Les nazis devaient renverser le gouvernement par la révolution socialiste pour mettre à bas le libéralisme capitaliste.
Avant d'accéder au pouvoir, voici à quoi ressemblaient les tracts nazis déversés par milliers, ici, à l'attention des fermiers allemands, en 1932 :
"Fermiers Allemands, vous êtes representés par Hitler, et voici pourquoi !
Le premier danger pour le fermier allemand est le système économique américain, le grand capitalisme ! Il signifie la crise économique mondiale. Il signifie l'esclavage éternel de l'intérêt. Il signifie que le monde n'est plus qu'un large butin pour la finance juive de Wall Street, New York et Paris. Il asservit l'homme grâce aux slogans de progrès, de technologie, de rationalisation, de standardisation, etc...
Il ne connaît que le profit et les dividendes. Il veut transformer le monde en un cartel géant. Il met la machine avant l'homme. Il anéantit le fermier indépendant vivant sur sa terre. Son objectif final est la dictature du Judaïsme."

"The Weimar republic sourcebook" p142

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ANTI-MARXISME

Pour les nazis anticapitalistes, le marxisme n'était pas la solution car considéré comme un faux socialisme dénaturé par les Juifs, qui introduit une vision utopique internationaliste de "lutte des classes", alors que pour le nazisme, la hiérarchie et l'ordre de la société sont nécessaires au contrôle des masses, de la population.
La collectivisation avec la suppression de la propriété privée des moyens de production programmée dans la Russie bolchevique n'était pas nécessaire, les nazis prévoyant d'atteindre les mêmes objectifs, mais par d'autres moyens :
"Quelle est l'importance de cela, si je range fermement les hommes à l'intérieur d'un système disciplinaire duquel ils ne peuvent sortir ? Laissons-les posséder des terres ou des usines autant qu'ils voudront. Le facteur décisif est que l'État, par le Parti, est leur maître suprême, sans considération pour le fait qu'ils soient des propriétaires ou des travailleurs. Tout cela n'est pas essentiel; notre socialisme est bien plus profond. Il établit une relation entre l'individu et l'État, la communauté nationale. Pourquoi s'embêter à socialiser les banques et les entreprises ? Nous socialisons les être humains."
Adolf Hitler, cité par Hermann Rauschning, dans "Hitler m'a dit" p99-100

"Nous vivons au siècle du libéralisme finissant et du socialisme commençant. Le socialisme (dans sa forme pure) est l'assujetissement de l'individu au bien de l'État et à la communauté du peuple : cela n'a rien à voir avec l'Internationale ! Le Juif est internationaliste, comme le nomade et le tsigane sont internationalistes. Existe-t-il des Juifs patriotes ? Je ne crois pas. Pour ma part, je ne connais que des Juifs qui ont à l'égard de la nation, dans le meilleur des cas, l'attitude de spectateurs interéssés."
Joseph Goebbels - Journal 1923-1933 p50-51

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SIMILARITÉS ENTRE LE NAZISME ET LA RUSSIE BOLCHEVIQUE

L'État socialiste allemand du IIIème Reich, même sans la collectivisation forcée du système soviétique, n'en était pas moins totalitaire et radical sur le contrôle des moyens de production.
Sur les écriteaux placés par la police, sur les devantures des magasins et entreprises qui ne respectaient pas la réglementation des prix par exemple, il était mentionné :
"Magasin fermé sur ordre de la police pour cause d'augmentation des prix. Propriétaire en détention provisoire à Dachau."

Tout en critiquant violemment le marxisme, les nazis n'en reprenaient pas moins sa réthorique idéologique, presque mot à mot :
"Tout argent est poisseux parce qu'il vient avec de la sueur et du sang."
"Le capital naît en suant le sang et la boue par tous les pores."

Laquelle de ces citations est de Karl Marx, laquelle est de Joseph Goebbels ?

Et à votre avis, qui a écrit :
"Le travailleur dans un État capitaliste n'est plus un être humain, ni un créateur, ni un producteur. Sans qu'il puisse le comprendre, il est devenu une machine, un numéro, un rouage dans la machine. Il est aliéné par ce qu'il produit."
Karl Marx, ... ou Joseph Goebbels ?

"Le socialisme est l'objectif ultime de notre combat"
Joseph Goebbels - Journal 1923-1933 p125

"Le socialisme est l'idéologie du futur.”
Joseph Goebbels - une  biographie - Lettre à Ernst Graf zu Reventlow

Dans l'hebdomadaire de propagande national-socialiste "Der Angriff" du 15 juillet 1929, Joseph Goebbels est encore plus explicite :
"Le capitalisme prend des formes insupportables au moment où les objectifs personnels qu'il sert vont à l'encontre de l'intérêt de l'ensemble du peuple. Il procède alors des choses et non des personnes. L'argent est alors l'axe autour duquel tout tourne. C'est l'inverse avec le socialisme. La vision socialiste du monde commence par le peuple et passe ensuite aux choses. Les choses sont subordonnées au peuple ; le socialiste place le peuple au-dessus de tout, et les choses ne sont que des moyens de parvenir à une fin."
Joseph Goebbels - ”Capitalisme” Der Angriff, 15 juillet 1929 (journal hebdomadaire berlinois)

"Être socialiste, c'est mettre son ego au service de son prochain, c'est sacrifier son moi pour l'ensemble. Dans son sens le plus profond, le socialisme est synonyme de service."
Joseph Goebbels - Notes journalières (1926)

"Nous sommes socialistes parce que nous considérons la question sociale comme une question de nécessité et de justice pour l'existence même d'un État pour notre peuple, et non comme une question de pitié bon marché ou de sentimentalité insultante. Le travailleur a droit à un niveau de vie correspondant à ce qu'il produit."
Joseph Goebbels - "Ces damnés nazis. Pourquoi sommes nous socialistes ?" pamphlet de 1932

Le capitalisme est l'ennemi véritable du nazisme, Joseph Goebbels allant jusqu'à déclarer que :
"Mieux vaut succomber avec le bolchevisme qu'être réduit en esclavage avec le capitalisme." 
Joseph Goebbels - Journal 1923-1933

Adolf Hitler admirait par ailleurs le travail de Staline :
"Si Staline avait eu dix ou quinze ans de plus, la Russie serait devenue le plus puissant pays du monde, et deux ou trois siècles auraient été nécessaires pour faire changer cela. C'est un phénomène historique ! Il a augmenté le niveau de vie, cela ne fait aucun doute. Plus personne ne meurt de faim en Russie. Ils ont construits des usines là ou il y a deux ou trois ans il n'y avait que des villages inconnus, et des usines, tenez-vous bien, aussi grandes que les Hermann Göring Works. Ils ont construit des lignes de chemin de fer qui ne sont même pas encore sur nos cartes. En Allemagne nous nous disputons sur la fixation des prix des billets avant même de commencer à construire la ligne ! J'ai lu un livre sur Staline; je dois admettre que c'est une personnalité immense."
Hitler's table talk : 1941-1944 p661 - 26 août 1942 (Grand Amiral Raeder)

"Il est stupide de se moquer du système stakhanoviste. Les armes et les équipements des armées russes sont la meilleure preuve de l'efficacité de ce système dans la gestion de la ressource humaine dans l'industrie. Staline mérite notre respect inconditionnel. Dans son propre genre, il est un vrai camarade ! Il connaît très bien ses références, Gengis Khan et les autres, et la portée de sa planification industrielle n'est dépassée que par notre propre Plan Quadriennal. Et c'est évident également qu'il est tout à fait déterminé à ne pas avoir un chômage tel que celui qu'on trouve dans des pays capitalistes comme les États-Unis."
Hitler's table talk : 1941-1944 p587 - juillet 1942

La planification économique du Troisième Reich, le Plan Quadriennal, était une imitation du Plan Quinquennal de la Russie bolchevique.

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EXTENSION DE L'ÉTAT NATION : LE LEBENSRAUM ET LA GRANDE EUROPE

Comment concilier le nationalisme avec l'idéal socialiste, fondamentalement universel et fraternel ? 
Les nazis ont trouvé la solution, en élargissant les frontières au maximum dans deux directions :

- extension à l'est, pour rendre le peuple allemand indépendant des ressources énergétiques nécessaires à son fonctionnement autarcique. Ce qui sera communément appelé le "lebensraum" (espace vital), sa mise en application brutale à partir du 22 juin 1941 avec l'opération Barbarossa, lancera l'invasion de la Russie bolchevique.

- extension à l'ouest, avec la Nouvelle Europe ("Das Neue Europa"), la mise en place par l'Allemagne d'une Europe sans frontières, fraternelle et unie avec une monnaie unique, une Union Européenne sous contrôle de l'Allemagne nazie.

En fait, un internationalisme déguisé ressemblant vaguement à la Russie bolchevique, dont un de ses principaux constructeurs, le juriste Walter Hallstein, officier de la Wehrmacht, deviendra le premier président de la commission européenne de 1957 à 1967.

On comprend mieux pourquoi les élites de l'Union Européenne socialiste ont intérêt à diaboliser le nazisme, pour ainsi effacer ses véritables origines !

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SOLIDARITÉ DE L'ÉTAT SOCIALISTE

Comme dans les états socialistes, la solidarité doit être mise en oeuvre au niveau gouvernemental pour assurer le bien commun.

À partir du 1er mai 1934, Adolf Hitler rend la "journée nationale du travail" fériée, une fête célébrée dans tous les pays socialistes.

C'est le Troisième Reich qui a créé le fond de solidarité du Bien Être Populaire National-Socialiste (NSV : Nationalsozialistische Volkswohlfahr), qui fut l'organisation la plus influente pour aider les plus démunis par un programme social de redistribution des biens. La NSV qui comptait 3,7 millions d'adhérents en 1934, on comptera plus de 20 millions à la fin de la guerre.

En 1933, le Troisième Reich instaure le "Travail par la Joie", (KDF, Kraft durch Freunde), des aides aux loisirs bon marché qui permettent aux travailleurs allemands aux revenus modestes de passer des vacances dans des endroit luxueux à coûts réduits (croisières à Madère, dans les îles Canaries, excursions dans les Alpes bavaroises, en Italie, en Norvège, sur la mer Baltique ...). En 1938, on estimait à 180 000 le nombre de participants aux croisières organisées par le Reich.

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L'EXTRÊME-DROITE CONTRE LE NAZISME

Pour conclure, comme on assimile souvent nazisme et extrême-droite, voici quelques extraits de textes critiquant le national-socialisme d'Hitler de Jacques Bainville, représentant de l'Action Française, mouvement traditionnaliste d'extrême-droite qui atteint son apogée en France dans les années 1930, radicalement anti-hitlérien :
"Les éléments de la doctrine hitlérienne, à l'analyse, sont pourtant pauvres. Il n'y a rien chez elle qui ne soit connu et même que des livres français n'aient fourni. Gobineau est à la source du racisme. Le ministre hitlérien de l'instruction publique a cité l'autre jour comme une bible le livre d'un professeur d'anthropologie à la Faculté de Rennes, Vacher de Lapouge. Je me rappelle très bien que ce livre, L'Aryen, son rôle social, avait paru dans les environs de l'année 1900 et que Charles Maurras avait mis le très jeune lecteur que j'étais en garde contre ces rêveries de race pure. Un autre élément du national-socialisme c'est une sorte de naturisme, d'âge d'or agricole, d'artisanat élevé sur les débris des machines. C'est même en cela et par son refus d'accepter la conception matérialiste de l'histoire que ce socialisme est anti-marxiste. Mais qu'est-ce, sinon du Rousseau et George Sand, peut-être seulement remis à la mode de Gandhi et de son rouet ?"
Jacques Bainville - Extrait de la lettre "Prestige de la pensée allemande" (1933)

"Le programme des nazis ne tient pas debout. Toute la doctrine hitlérienne, si cela peut s'appeler une doctrine, est une suite de négations, une collection d'anti. C'est une pure démagogie, mais qui semble très bien adaptée au caractère allemand et faite pour lui plaire. Plus c'est absurde, plus c'est outré, et plus cela réussit. L'Allemagne n'est pas un pays où il soit vrai de dire que tout ce qui est exagéré ne compte pas. Il n'y a même que l'exagération qui, chez elle, paraisse avoir des chances de réussir."
Jacques Bainville - Journal Tome III, 1927/1935, note du 27 février 1935

"Qui eût dit qu'Adolphe Hitler, l'énergumène en chemise brune, recevrait un jour la visite du ministre des Affaires étrangères de Grande-Bretagne ? Qui l'eût dit après le massacre du 30 juin, après l'assassinat du 25 juillet ? (respectivement, "Nuit des longs couteaux" et assassinat du chancelier d'extrême-droite autrichien Dollfuss, le premier chef d'État à avoir dénoncé la menace du nazisme) On a pour l'Allemagne hitlérienne plus d'égards encore que pour l'Allemagne républicaine. On lui passe tout.
Pour les Allemands, quelle justification de la violence ! Pour les autres, quel étrange moyen de fonder la paix sur la moralité !
Le gouvernement britannique croit que le moment d'une grande tentative d'accord pacifique en Europe est venu. Il faut s'entendre ou périr. En tout cas, ajoute-t-il, on ne risque rien à sonder les dispositions du Führer... C'est vrai pourvu qu'on ne lui fasse pas sur l'essentiel des concessions imprudentes et qu'on ne ferme pas les yeux à la réalité de ses armements, tandis que lui-même aura toute facilité de tromper des partenaires trop complaisants." 

Jacques Bainville - Journal Tome III, 1927/1935, note du 27 février 1935

Source : "Le socialisme en chemise brune" - Benoît Malbranque

Paris JO 2024 - la cérémonie sataniste qui se moque de la royauté catholique française

La cérémonie d'ouverture des Jeux Olympiques de Paris du 26 juillet 2024 a défrayé la chronique par certains aspects fondamentalement malsains.
Outre le fait que devant des milliards de téléspectateurs, dont des enfants, montrer une femme décapitée est déjà une monstruosité, se moquer de la dernière reine de France, c'est tourner en dérision la royauté catholique qui a construit ce pays pendant des siècles, et mépriser un passé et un patrimoine historique qui est pourtant à l'origine de toute notre culture : monuments architecturaux, cathédrales, châteaux, poésie, philosophie, science, littérature, mode de vie, mode de penser.

Dans un cynisme purement satanique, par l'intermédiaire de cette cérémonie d'ouverture des Jeux Olympiques 2024, la république chante sa victoire sur la royauté catholique, se moquant de la reine Marie-Antoinette, lui faisant entonner par sa tête décapitée le chant révolutionnaire :
«Ah ! ça ira, ça ira, ça ira !
Les aristocrates à la lanterne.
Ah ! ça ira, ça ira, ça ira !
Les aristocrates on les pendra.»

Marie-Antoinette décapitée apparaît alors devant toutes les fenêtres de la Conciergerie, comme un fantôme hante le lieu de sa perdition.

La Conciergerie, lieu où se déroule ce spectacle lamentable, a servi de prison pendant la révolution française, la reine Marie-Antoinette y fut incarcérée plus de deux mois avant son exécution par décapitation le 16 octobre 1793, après un procès déplorable et totalement odieux où les pires accusations sans fondements seront prononcées contre la "veuve Capet", dont une calomnie diffamatoire d'inceste envers son fils.

Marie-Antoinette, reine de France, au temps de sa splendeur, peinture de Jean-Baptiste André Gautier-Dagoty (1775)

La cérémonie des JO 2024 ne raconte pas toute l'histoire.
Après l'exécution du couple royal en 1793, leur fils Louis-Charles de France, âgé de sept ans, plus connu sous le nom de Louis XVII, sera enfermé au secret dans une chambre obscure, sans hygiène ni secours, pendant six mois, jusqu'au 28 juillet 1794. Son état de santé se dégrade, il est rongé par la gale et surtout la tuberculose. Il vit accroupi. Sa nourriture lui est servie à travers un guichet et peu de personnes lui parlent ou lui rendent visite. Ces conditions de vie entraînent une rapide dégradation de son état de santé. Il mourra le 8 juin 1795 à l'âge de dix ans, après 3 ans de captivité.

Louis-Charles de France, Louis XVII, assassiné par la république à l'âge de 10 ans

Il ne pouvait continuer à vivre car les républicains ne voulaient pas entrevoir la possibilité de resurgir un héritier au trône de France.

Pour détruire toute possibilité de retour de la royauté, la république par son intermédiaire le Conventionnel luthérien Philippe Rühl, fait détruire le 7 octobre 1793, place royale de Reims, la Sainte Ampoule contenant le Saint Chrême qui permettaient de oindre tous les Rois de France depuis Clovis lors de leur cérémonie de couronnement.

Acclamer ce spectacle déplorable du groupe de Métal Gojira montre l'état de déliquescence de la civilisation européenne, une foule hypnotisée et lobotomisée par les média, qui n'arrive plus à discerner ce qui a fait la grandeur de sa culture.

"Un peuple qui n’enseigne pas son histoire est un peuple qui perd son identité"
François Mitterrand

La vice-présidente de l’Assemblée Nationale Nadège Abomangoli en lutte contre le "privilège blanc" et le "racisme systémique"

Fraîchement élue vice-présidente de l'Assemblée Nationale avec Clémence Guetté le 19 juillet 2024, Nadège Abomangoli représente l'image type de la militante engagée au parti mélenchoniste de La France Insoumise.

Issue de la diversité "racisée", elle déverse depuis des années sa haine contre la France et les Français blancs, privilégiés par le "racisme systémique".
Les Noirs et les Arabes vivraient en France en milieu hostile, perpétuellement harcélés par les Français colonialistes blancs.
L'idéologie woke fait ainsi officiellement son entrée à l'Assemblée Nationale, suite à sa recomposition voulue par Emmanuel Macron, portant l'apologie du racisme et de la lutte des races à son paroxysme.

"Le racisme ordinaire, c'est quand 80% des personnes contrôlées sont des jeunes racisés, c'est-à dire des jeunes renvoyés à une altérité essentialisante."

"Dès qu'il est question de violences policières, et bien nous sommes face à un déni sur la question du racisme systémique au sein de la police, nous sommes face à un déni dans la volonté que la vérité et la justice se mettent en place.... Il y a une gestion particulière de la répression policière dans les quartiers populaires, on n'est pas forcément là pour protéger mais souvent là pour mater."

"« Crime par exaspération » 
TRADUCTION :
Un Noir vous saoule? Butez-le. Des racistes feront une cagnotte de soutien et vous sortirez de prison.
CONCLUSION : 
Mieux vaut buter un Noir que voler une canette de redbull pour éviter la taule."

Tout fait divers est essentialisé par Nadège Abomangoli en agression systémique contre les Noirs.

L'arrestation de délinquants est immédiatement perçue par Nadège Abomangoli comme un "racisme systémique" du gouvernement français contre les Noirs et les Arabes. 

Nadège Abomangoli nie le "Grand Remplacement", et ne se reconnaît pas dans les femmes blanches du système oppressif colonial blanc :

"Pécresse candidate qui parle de grand remplacement, Elisabeth II monarque colonialiste et vivant sur le dos du peuple… Ces histoires de « sororité » ne servent que le microcosme politique blanc et bourgeois en quête de reconnaissance. Aucune admiration. Ce ne sont pas mes sœurs."

Le Blanc est forcément raciste, c'est sa marque de fabrique parce qu'il vote des lois "xénophobes" : "Il est blanc"

Cette propagande de hiérarchie des races déployée par les militants LFI, qui serait immédiatement condamnée à de la prison ferme si elle venait des milieux d'extrême-droite à l'encontre des Africains, est totalement libre, déshinibée, et assumée lorsqu'elle vient des milieux wokistes qui dénigrent et rejettent la race blanche.

Pourtant, rappelons quand même que Nadège Abomangoli n'a jamais vécu enchaînée, ni sous les coups de fouet en France. Née à Brazzaville au Congo, ses parents ont émigré à Épinay-sur-Seine. Elle fait ses études dans la capitale, et est diplômée de l'Institut d'études politique de Paris. En 2015, elle est élue conseillère départementale du canton d'Épinay-sur-Seine. Elle est vice-présidente du conseil départemental de la Seine-Saint-Denis de 2015 à 2021, chargée de la politique de l’habitat et de la sécurité. Nadège Abomangoli est député à l'Assemblée Nationale depuis 2022.
Pour une femme racisée et oppressée par le système colonial blanc, on a connu pire !

Il est nécessaire également de souligner que dans des centaines de villes en France comme Saint-Denis, La Courneuve, Pierrefitte, Aubervilliers, etc... tous les boulangers, les épiciers, les bouchers, les restaurateurs, les vendeurs de fruits et légumes dans les marchés, ... sont africains ou d'origine extra-européenne, c'est un fait, c'est une réalité.
Ils ne sont ni maltraités, ni enfermés dans des cages, et ne vivent pas dans l'oppression du "racisme systémique".
Ils ont des voitures, des maisons, des appartements, des ordinateurs, des smartphones, des familles, des enfants, et sont libres de se déplacer où bon leur semble.

Si le député Nadège Abomangoli se sent oppressé par le "racisme systémique" des Blancs, je l'invitre à retourner en Afrique subsaharienne pour vérifier si c'est mieux !

La militante afro-féministe Douce Dibondo diffuse sa haine de la race blanche sur Konbini

Dans son essai "La charge raciale : vertige d'un silence écrasant" aux éditions Fayard, l'essayiste Douce Dibondo fait de la propagande de haine de la race blanche, en luttant contre une supposée "charge raciale" qui serait dirigée contre les Noirs en particulier.

Cette théorie purement wokiste suppose que les Noirs et les personnes non-Européennes d'origine, vivraient en France dans un milieu hostile raciste.

La militante afro-féministe utilise également le média en ligne français Konbini, pour développer sa haine de la race blanche auprès de la jeunesse d'origine immigrée.

Pourtant, dans des villes comme Saint-Denis, La Courneuve, Pierrefitte, Aubervilliers, etc... tous les boulangers, les épiciers, les bouchers, les restaurateurs, les vendeurs de fruits et légumes dans les marchés, ... sont africains ou d'origine extra-européenne, c'est un fait, c'est une réalité.
Ils ne sont ni maltraités, ni enfermés dans des cages, et ne vivent pas dans l'oppression.
Ils ont des voitures, des maisons, des appartements, des ordinateurs, des smartphones, des familles, des enfants.

Cette propagande raciste, qui serait immédiatement condamnée à de la prison ferme si elle venait des milieux d'extrême-droite à l'encontre des Africains, est totalement libre, déshinibée, et assumée lorsqu'elle vient des milieux wokistes qui dénigrent et rejettent la race blanche.

Deux poids, deux mesures ?

Pourquoi l'État n'interdit-il pas cette propagande haineuse ?

J'invite donc, si elle n'aime pas la race blanche, Douce Dibondo à retourner dans son pays pour vérifier si c'est mieux !

Bernard-Henri Lévy et les démons de l'enfer du messianisme juif

"Pilate leur parla de nouveau, dans l'intention de relâcher Jésus. Et ils crièrent: Crucifie, crucifie-le! Pilate leur dit pour la troisième fois: Quel mal a-t-il fait? Je n'ai rien trouvé en lui qui mérite la mort. Je le relâcherai donc, après l'avoir fait battre de verges.
Mais ils insistèrent à grands cris, demandant qu'il fût crucifié. Et leurs cris l'emportèrent: Pilate prononça que ce qu'ils demandaient serait fait.
Il relâcha celui qui avait été mis en prison pour sédition et pour meurtre, et qu'ils réclamaient; et il livra Jésus à leur volonté."
Luc 23:20-25

Le Christ combat le prince de ce monde et ses multiples démons de l'enfer qui veulent détruire la Création Divine, les communautés nationales, le Bien Commun, pour recréer la tour de Babel, que Dieu avait autrefois dispersée :

"Je suis juif par ma très grande méfiance à l’endroit de tout ce qui peut m’arrimer et arrimer le sujet à l’esprit, au génie, à la clôture d’un lieu. Mon refus des nationalismes, la répugnance que m’inspirent les idéologies de l’enracinement, voilà ce que m’enseigne la pensée juive."
Bernard-Henri Lévy - "Comment je suis juif ?"

Avec bien sûr une haine viscérale contre la France et les Français, alliance Divine avec le Christ depuis Clovis et l'héritage des Rois de France par le testament de Saint Rémi :
"On n’écrit pas "L’Idéologie française" si l’on n’a pas, trente ans plus tôt, senti qu’il y a au cœur de la manière française d’être ensemble, au cœur de cette religion communautaire nationale qu’est la religion française, quelque chose qui laisse suinter la haine du Juif comme tel."
Bernard-Henri Lévy - "Comment je suis juif ?"

"Tant et tant de textes enfin, d’innombrables articles et discours de Vaillant-Couturier, mais d’autres aussi, j’y reviendrai, retrouvent les accents du chauvinisme le plus éculé, parfois même de la xénophobie la plus ignoble, pour chanter la gloire de Jeanne-la-paysanne, glorifier l’honneur et le parfum de nos terroirs, fustiger l"anti-France" aussi et le cosmopolitisme dissolvant des intellectuels bourgeois. Ce qu’on a oublié autrement dit, c’est que c’est le pays tout entier, de la droite à la gauche, de la gauche à l’extrême-gauche, de l’extrême-gauche à l’extrême-droite, qui, cinq ans avant Pétain, communiait dans le même cri rauque et déjà meurtrier :"La France aux Français !"
Bernard-Henri Lévy - "l’idéologie française" p32

La haine de Dieu, rabaissé en bas de l'échelle, pour lui préférer l'enfer talmudique :
"Le peu que je sais du judaïsme et de son génie, c’est que c’est la seule spiritualité qui n’enjoint pas de quitter le monde pour aller vers Dieu."
"Je crois cependant qu’entre la spiritualité juive et les autres, musulmane comprise, il y a une première différence essentielle : le commandement d’aimer la Torah plus que Dieu, d’aimer le Talmud plus que la Torah.
Bernard-Henri Lévy - "Comment je suis juif ?"

Seul Satan doit être vénéré, Bernard-Henri Lévy veut réhabiliter Judas, l'apôtre qui a trahi le Christ pour 30 pièces d'argent ! Le talmudisme est un véritable antichristianisme.

Les messianistes juifs prétendent commander les nations et dicter ce que leurs dirigeants doivent faire, dans les intérêts bien sûr du peuple juif.

ENTRAÎNER LES COMMUNAUTÉS DANS LA GUERRE

Vouant une haine viscérale à la "Russie tsariste" qui avait autrefois persécuté les juifs, et dans laquelle Poutine représente pour eux une résurgence, les messianistes juifs veulent prendre leur revanche en embarquant les pays européens dans une confrontation directe contre la Russie, au détriment de l'intérêt des nations.

À l'instar du messianiste juif Nicolas Tenzer qui veut envoyer des troupes françaises et bombarder la Russie ("on ne peut pas laisser les Ukrainiens combattre à notre place", "nous serions aussi capables de détruire physiquement la Russie" d'après lui), l'internationaliste juif Robert Badinter déclarait que "l'Europe est en guerre", et voulait créer un tribunal international pour juger le "criminel Poutine".

Ces messianistes juifs veulent donc déclencher une guerre totale avec l'appui de nos politiques et média, comprenant un soutien inconditionnel au "héros de l'histoire juive Zelensky", tant vénéré par BHL.

Christ Crucifié, viens nous en aide !