Paris JO 2024 - la cérémonie sataniste qui se moque de la royauté catholique française

La cérémonie d'ouverture des Jeux Olympiques de Paris du 26 juillet 2024 a défrayé la chronique par certains aspects fondamentalement malsains.
Outre le fait que devant des milliards de téléspectateurs, dont des enfants, montrer une femme décapitée est déjà une monstruosité, se moquer de la dernière reine de France, c'est tourner en dérision la royauté catholique qui a construit ce pays pendant des siècles, et mépriser un passé et un patrimoine historique qui est pourtant à l'origine de toute notre culture : monuments architecturaux, cathédrales, châteaux, poésie, philosophie, science, littérature, mode de vie, mode de penser.

Dans un cynisme purement satanique, par l'intermédiaire de cette cérémonie d'ouverture des Jeux Olympiques 2024, la république chante sa victoire sur la royauté catholique, se moquant de la reine Marie-Antoinette, lui faisant entonner par sa tête décapitée le chant révolutionnaire :
«Ah ! ça ira, ça ira, ça ira !
Les aristocrates à la lanterne.
Ah ! ça ira, ça ira, ça ira !
Les aristocrates on les pendra.»

Marie-Antoinette décapitée apparaît alors devant toutes les fenêtres de la Conciergerie, comme un fantôme hante le lieu de sa perdition.

La Conciergerie, lieu où se déroule ce spectacle lamentable, a servi de prison pendant la révolution française, la reine Marie-Antoinette y fut incarcérée plus de deux mois avant son exécution par décapitation le 16 octobre 1793, après un procès déplorable et totalement odieux où les pires accusations sans fondements seront prononcées contre la "veuve Capet", dont une calomnie diffamatoire d'inceste envers son fils.

Marie-Antoinette, reine de France, au temps de sa splendeur, peinture de Jean-Baptiste André Gautier-Dagoty (1775)

La cérémonie des JO 2024 ne raconte pas toute l'histoire.
Après l'exécution du couple royal en 1793, leur fils Louis-Charles de France, âgé de sept ans, plus connu sous le nom de Louis XVII, sera enfermé au secret dans une chambre obscure, sans hygiène ni secours, pendant six mois, jusqu'au 28 juillet 1794. Son état de santé se dégrade, il est rongé par la gale et surtout la tuberculose. Il vit accroupi. Sa nourriture lui est servie à travers un guichet et peu de personnes lui parlent ou lui rendent visite. Ces conditions de vie entraînent une rapide dégradation de son état de santé. Il mourra le 8 juin 1795 à l'âge de dix ans, après 3 ans de captivité.

Louis-Charles de France, Louis XVII, assassiné par la république à l'âge de 10 ans

Il ne pouvait continuer à vivre car les républicains ne voulaient pas entrevoir la possibilité de resurgir un héritier au trône de France.

Pour détruire toute possibilité de retour de la royauté, la république par son intermédiaire le Conventionnel luthérien Philippe Rühl, fait détruire le 7 octobre 1793, place royale de Reims, la Sainte Ampoule contenant le Saint Chrême qui permettaient de oindre tous les Rois de France depuis Clovis lors de leur cérémonie de couronnement.

Acclamer ce spectacle déplorable du groupe de Métal Gojira montre l'état de déliquescence de la civilisation européenne, une foule hypnotisée et lobotomisée par les média, qui n'arrive plus à discerner ce qui a fait la grandeur de sa culture.

"Un peuple qui n’enseigne pas son histoire est un peuple qui perd son identité"
François Mitterrand

La vice-présidente de l’Assemblée Nationale Nadège Abomangoli en lutte contre le "privilège blanc" et le "racisme systémique"

Fraîchement élue vice-présidente de l'Assemblée Nationale avec Clémence Guetté le 19 juillet 2024, Nadège Abomangoli représente l'image type de la militante engagée au parti mélenchoniste de La France Insoumise.

Issue de la diversité "racisée", elle déverse depuis des années sa haine contre la France et les Français blancs, privilégiés par le "racisme systémique".
Les Noirs et les Arabes vivraient en France en milieu hostile, perpétuellement harcélés par les Français colonialistes blancs.
L'idéologie woke fait ainsi officiellement son entrée à l'Assemblée Nationale, suite à sa recomposition voulue par Emmanuel Macron, portant l'apologie du racisme et de la lutte des races à son paroxysme.

"Le racisme ordinaire, c'est quand 80% des personnes contrôlées sont des jeunes racisés, c'est-à dire des jeunes renvoyés à une altérité essentialisante."

"Dès qu'il est question de violences policières, et bien nous sommes face à un déni sur la question du racisme systémique au sein de la police, nous sommes face à un déni dans la volonté que la vérité et la justice se mettent en place.... Il y a une gestion particulière de la répression policière dans les quartiers populaires, on n'est pas forcément là pour protéger mais souvent là pour mater."

"« Crime par exaspération » 
TRADUCTION :
Un Noir vous saoule? Butez-le. Des racistes feront une cagnotte de soutien et vous sortirez de prison.
CONCLUSION : 
Mieux vaut buter un Noir que voler une canette de redbull pour éviter la taule."

Tout fait divers est essentialisé par Nadège Abomangoli en agression systémique contre les Noirs.

L'arrestation de délinquants est immédiatement perçue par Nadège Abomangoli comme un "racisme systémique" du gouvernement français contre les Noirs et les Arabes. 

Nadège Abomangoli nie le "Grand Remplacement", et ne se reconnaît pas dans les femmes blanches du système oppressif colonial blanc :

"Pécresse candidate qui parle de grand remplacement, Elisabeth II monarque colonialiste et vivant sur le dos du peuple… Ces histoires de « sororité » ne servent que le microcosme politique blanc et bourgeois en quête de reconnaissance. Aucune admiration. Ce ne sont pas mes sœurs."

Le Blanc est forcément raciste, c'est sa marque de fabrique parce qu'il vote des lois "xénophobes" : "Il est blanc"

Cette propagande de hiérarchie des races déployée par les militants LFI, qui serait immédiatement condamnée à de la prison ferme si elle venait des milieux d'extrême-droite à l'encontre des Africains, est totalement libre, déshinibée, et assumée lorsqu'elle vient des milieux wokistes qui dénigrent et rejettent la race blanche.

Pourtant, rappelons quand même que Nadège Abomangoli n'a jamais vécu enchaînée, ni sous les coups de fouet en France. Née à Brazzaville au Congo, ses parents ont émigré à Épinay-sur-Seine. Elle fait ses études dans la capitale, et est diplômée de l'Institut d'études politique de Paris. En 2015, elle est élue conseillère départementale du canton d'Épinay-sur-Seine. Elle est vice-présidente du conseil départemental de la Seine-Saint-Denis de 2015 à 2021, chargée de la politique de l’habitat et de la sécurité. Nadège Abomangoli est député à l'Assemblée Nationale depuis 2022.
Pour une femme racisée et oppressée par le système colonial blanc, on a connu pire !

Il est nécessaire également de souligner que dans des centaines de villes en France comme Saint-Denis, La Courneuve, Pierrefitte, Aubervilliers, etc... tous les boulangers, les épiciers, les bouchers, les restaurateurs, les vendeurs de fruits et légumes dans les marchés, ... sont africains ou d'origine extra-européenne, c'est un fait, c'est une réalité.
Ils ne sont ni maltraités, ni enfermés dans des cages, et ne vivent pas dans l'oppression du "racisme systémique".
Ils ont des voitures, des maisons, des appartements, des ordinateurs, des smartphones, des familles, des enfants, et sont libres de se déplacer où bon leur semble.

Si le député Nadège Abomangoli se sent oppressé par le "racisme systémique" des Blancs, je l'invitre à retourner en Afrique subsaharienne pour vérifier si c'est mieux !